Une récente information circulant sur plusieurs plateformes en ligne a suscité de vives réactions parmi les internautes. Selon ces publications, l'Union générale tunisienne du travail (UGTT) aurait déposé une plainte contre le gouvernement tunisien. Cette nouvelle a surpris et étonné de nombreux citoyens qui n'avaient pas prévu une telle action de la part de l'organisation syndicale.
Certains internautes ont salué le courage de l'UGTT pour avoir osé affronter le gouvernement et porter plainte. Ils considèrent cette action comme une étape importante dans la lutte pour les droits des travailleurs et le maintien d'un dialogue social constructif. D'autres ont exprimé leur soutien à l'UGTT, estimant que le gouvernement devrait être tenu responsable de ses actions et qu'il est essentiel de défendre les droits des travailleurs.
Certains internautes se sont interrogés sur les implications politiques et économiques d'une telle plainte. Ils ont exprimé leurs préoccupations quant aux répercussions que cette action pourrait avoir sur la stabilité du pays et sur l'économie tunisienne déjà fragilisée. Ces voix soulignent la nécessité d'un dialogue ouvert et constructif entre le gouvernement et l'UGTT pour parvenir à des solutions viables qui répondent aux préoccupations des travailleurs tout en préservant les intérêts du pays.
Après vérification auprès du bureau de presse de l'UGTT, il s'est avéré que cette information était bel et bien vraie, confirmée par Ghassen Ksibi, le chargé de communication de l'Union.
La plainte déposée par la centrale syndicale, auprès de l'Organisation internationale du travail, fait référence au traitement réservé par le gouvernement tunisien à l'UGTT. Selon l'organisation syndicale, les autorités du pays ont fermé les portes aux négociations et au dialogue social, ce qui constitue une entrave aux droits des travailleurs et des syndicats. L'UGTT estime que le gouvernement agit délibérément pour continuer à suivre les instructions du Fonds monétaire international (FMI), ce qui entraîne une détérioration des conditions de vie de la classe moyenne.
Le syndicat a assuré avoir pris cette décision afin de dénoncer les pratiques du gouvernement qui empêchent le dialogue social et nuisent aux droits des travailleurs.
Pour l’UGTT le gouvernement continue d'appliquer les recommandations du FMI sans prendre en compte les conséquences sociales de ces mesures : « La classe moyenne tunisienne subit une détérioration de son niveau de vie, ce qui nécessite une action urgente pour protéger les droits des travailleurs et rétablir un équilibre social et économique ».
Pour rappel, l’UGTT avait annoncé une initiative baptisée « La Tunisie de l’avenir » de sauvetage du pays le 27 décembre 2022 avec la LTDH et l’Onat. Contrairement à celle de 2013, cette initiative n’est pas exclusivement politique. Elle porte, également, sur la situation économique et sociale du pays.
Suite à l’annonce de l’initiative de sauvetage, une invitation a été adressée à plusieurs organisations. Le FTDES a rejoint le trio pour créer un nouveau quartet. L’Utica a choisi de ne pas répondre à cette invitation. S’exprimant le 10 janvier 2023 à ce sujet, Slim Ghorbel, membre du bureau exécutif de l’Utica a expliqué que le rôle de l’organisation était exclusivement économique et social. Pour ce qui est de l’Utap, le quartet a décidé de ne pas la convier aux réunions en raison de la crise au sein de l'organisation.
R.A
Mais c'est extraordinaire cette outrecuidance de l'UGTT, qui nous dit (ex texto de la News) :
« La classe moyenne tunisienne subit une détérioration de son niveau de vie, ce qui nécessite une action urgente pour protéger les droits des travailleurs et rétablir un équilibre social et économique ».
AU MOMENT que le Pays précipite vers le Default!
Comme quoi, une fois l'Etat déclaré en FAILLITE, "la classe moyenne tunisienne" serait d'un coup plus riche et aisée...! Belle logique du POPULISME à quatre sous !!
Car c'est justement pour EVITER le PIRE, que la Kasbah soit se soucier de poursuivre les négociations avec le FMI et entamer les réformes selon les ACCORDS préalablement établis et l'enorme travail effectué pour y parvenir, tout en mettant en oeuvre, un système de COUVERTURE, par une carte d'achat à prix réduit (subventionné), pour la classe sociale plus démunie.
C'est tellement simple: on doit faire ENTRER dans les caisses de l'Etat, le quasi 2 MILLIARDS $ du Fond. Si NON, c'est la DISETTE collective ! Point la ligne.
N.G.M. - Activiste indépendant pour les Droits Humains
"Après vérification auprès du bureau de presse de l'UGTT, il s'est avéré que cette information était bel et bien vraie, confirmée par Ghassen Ksibi, le chargé de communication de l'Union".
Avant de réagir bêtement par la désinformation, "n'a jamais dit" devrait LIRE par entier l'article et non se baser simplement par le titre.
N.G.M. - Activiste indépendant pour les Droits Humains