
Le porte-parole de l'Union générale tunisienne du travail, Sami Tahri a affirmé que la centrale syndicale ne demandait pas de trêve puisqu'elle n'était pas en guerre. « Les engagements du gouvernement doivent être appliqués, les revendications sociales auxquelles nous devons répondre, un dialogue social bâti sur des normes nationales et internationales qui doit être respecté... », a-t-il ajouté dans une publication Facebook du 22 août 2022.
Faisant allusion à l'attitude du gouvernement et sans le nommer, le porte-parole de l'UGTT a estimé que ce dernier s'était préparé à la guerre et qu'il avait usé de plusieurs stratagèmes visant à mobiliser l'opinion publique et à le manipuler. Il a invité ce dernier à se remémorer l'histoire de la Tunisie et à en tirer les bonnes leçons.
Pour rappel, la présidence du gouvernement avait annoncé, à la date du 12 août 2022, la signature d'un nouveau contrat social. Les parties prenantes à ce document sont l'UGTT et l'Utica. Par la suite, la centrale syndicale a affirmé qu'il ne s'agissait que d'un premier accord et qu'il n'y avait pas lieu d'utiliser ce terme. Plusieurs critiques ont été adressées à ce sujet. Un deuxième communiqué de la présidence du gouvernement publié le 15 août 2022 soit 3 jours après a fait référence à "des séances de dialogue portant sur les aspects sociaux, économiques et financiers" et non pas le terme "contrat social".
S.G
Que dire de ceux qui n'ont rien et qui rament tous les jours pour manger et on oublie le reste.
Si vous n'arrivez pas à joindre les deux n'est qu'un problème de gestion de votre vie. Comme ils disent, il faut pas péter plus haut que son cul

