Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Slim Khalbous est revenu ce lundi 28 mai 2018 sur le mouvement de grève observé par les enseignants universitaires affiliés au syndicat Ijaba.
Répondant aux questions des députés lors d’une audition parlementaire, Slim Khalbous a affirmé, qu’il était pour la pluralité syndicale, qu’il comprenait les revendications des grévistes mais qu’il a des réserves sur le mode de protestation choisi (Ne pas fournir sujets d’examen).
Le ministre a indiqué que la porte de son département est toujours ouverte pour le dialogue tout en rassurant les Tunisiens quant au spectre d’une année blanche :« Il n’ y aura pas d’année blanche en milieu universitaire pour cette année ! » .
Par ailleurs, Slim Khalbous a déclaré que les chiffres présentés par Ijaba quant aux universités bloquées par les grèves sont erronés, « il y a une exagération dans les faits, sur les 18 000 enseignants tunisiens, seuls 1000 font grève » a-t-il affirmé, avant d’ajouter qu’il y a une exagération dans les indications avancées : « à Tunis centre à titre d’exemple, il n’y a que 2 ou 3 universités où les enseignants n’ont pas rendu les sujets d’examen ».
A noter enfin que l’audition parlementaire a été perturbée par l’intervention d’un étudiant qui a interpellé de vive voix le ministre, le tenant pour responsable du blocage actuel de toute perspective d’un avenir meilleur pour les jeunes étudiants tunisiens.
N.B.G
Slim Khalbous : Je comprends la revendication des grévistes mais la manière de faire dérange
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Slim Khalbous est revenu ce lundi 28 mai 2018 sur le mouvement de grève observé par les enseignants universitaires affiliés au syndicat Ijaba.
Répondant aux questions des députés lors d’une audition parlementaire, Slim Khalbous a affirmé, qu’il était pour la pluralité syndicale, qu’il comprenait les revendications des grévistes mais qu’il a des réserves sur le mode de protestation choisi (Ne pas fournir sujets d’examen).
Le ministre a indiqué que la porte de son département est toujours ouverte pour le dialogue tout en rassurant les Tunisiens quant au spectre d’une année blanche :« Il n’ y aura pas d’année blanche en milieu universitaire pour cette année ! » .
Par ailleurs, Slim Khalbous a déclaré que les chiffres présentés par Ijaba quant aux universités bloquées par les grèves sont erronés, « il y a une exagération dans les faits, sur les 18 000 enseignants tunisiens, seuls 1000 font grève » a-t-il affirmé, avant d’ajouter qu’il y a une exagération dans les indications avancées : « à Tunis centre à titre d’exemple, il n’y a que 2 ou 3 universités où les enseignants n’ont pas rendu les sujets d’examen ».
A noter enfin que l’audition parlementaire a été perturbée par l’intervention d’un étudiant qui a interpellé de vive voix le ministre, le tenant pour responsable du blocage actuel de toute perspective d’un avenir meilleur pour les jeunes étudiants tunisiens.
Que de la demagogie, c'est triste, pour un representant du peuple qui dit des conneries surtout devant un hemicycle vide,et qui est la pour se venger et cracher son venin sur un institut. je suis un universitaire qui a preferé partir c'est pour ne plus voir ces gueules de politiciens hypocrites, manipulateurs , habités par la haine et le pseudo nationalisme . le professeur, l'enseignant est devenu un clown depuis bien longtemps,Pendant le regne de ben ali , la culture et l'enseignement ont ete completement cassés, donc il faut cesser de chercher des petits reglements de compte, c'est honteux et la tunisie n'a pas besoin de ces charognards et revenchards qui cherchent le buzz ni plus ni moins.
Dans le gouvernement, il est impensable qu'il y ait un ministre plus incompétent que khalboussi. Il a été incapable pendant cinq mois d'arrêter une grève menée, d'après ses dires, par un cinquième des enseignants (1000 sur 18000). Apparemment, il fait partie de ce millier, on a fini par le croire. Son comportement n'a pas d'autres explications. Les députés auraient dû lui demander de leur donner Sa Méthode permettant de sauver l'année. Pauvre khalboussi.
