A l'occasion de sa participation à la deuxième édition du "US-Africa Leaders Summit" qui se déroule du 13 au 15 décembre 2022 aux États-Unis d'Amérique, le président de la République, Kaïs Saïed, s'est entretenu avec les journalistes et le comité de rédaction du Washington Post. D'après un article publié par le même journal, Kaïs Saïed a affirmé que des forces étrangères non-identifiées cherchaient à encourager l'opposition à son régime. Il a assuré que de fausses nouvelles sont responsables des critiques adressées par les forces occidentales aux mesures du 25 juillet 2021. « Il y a tellement d'ennemis de la démocratie en Tunisie qui veulent tout faire pour torpiller de l'intérieur la vie démocratique et sociale du pays », a-t-il déclaré lors de la même rencontre.
Dans un article intitulé "Le Leader de la Tunisie rejette l'opposition des USA à l'érosion démocratique" et publié par le Washington Post à la date du 14 décembre 2022, la journaliste, Missy Ryan, a considéré que le statut du pays en tant que réussite du Printemps arabe et allié proche des États-Unis était en danger en raison de l'intention de Kaïs Saïed de consolider son pouvoir. Elle a estimé que le président tunisien manœuvrait de façon défensive et défiait l'administration de Joe Biden.
Le Washington Post a rappelé que la visite de Kaïs Saïed aux USA se déroulait quelques jours avant la tenue des élections législatives anticipées du 17 décembre 2022. Le président tunisien, selon la même source espérait que cet événement mettrait fin à une période de désaccord avec les USA. Néanmoins, la divergence des récits américain et tunisien et différentes interprétations des événements depuis l'élection de Saïed en 2019, l'annonce des mesures du 25 juillet 2021 et le gel puis la dissolution du parlement auraient aggravé la discorde. Le journal a indiqué que l'administration Biden menaçait de suspendre l'aide à la Tunisie alors que Kaïs Saïed refusait toutes critiques. Le journal a évoqué la réduction, par l'administration Biden, de près de la moitié l'aide civile et militaire à la Tunisie dans son budget de l'exercice 2023 en raison d'un renversement démocratique.
La journaliste est revenue sur la déclaration du secrétaire d'État, Antony Blinken, suite à l'adoption de la nouvelle constitution en juillet 2022. Ce dernier avait qualifié la chose d'une érosion alarmante des normes démocratiques au cours de l'année écoulée et qui a annulé de nombreux acquis durement obtenus par le peuple tunisien depuis 2011. L'administration Saïed avait, en guise de réaction, convoqué le plus haut représentant diplomatique des USA en Tunisie et avait qualifié la chose d'ingérence inacceptable dans les affaires tunisiennes.
Le journal a, également, affirmé que le gouvernement persécutait les journalistes et les activistes pour avoir critiqué le pouvoir en place. Il a évoqué les enquêtes visant des civils devant les tribunaux militaires et la promulgation de lois portant atteinte à la liberté d'expression. « Des opposants politiques ont aussi fait l'objet de procès et d'interdiction de voyage... Le puissant syndicat du pays "UGTT" s'est récemment prononcé contre l'agenda de Saied et a dénoncé la tenue des prochaines élections », a ajouté la même source.
S.G
Ks n'aurait pas du s'abaisser à leur donner une interview
Il n'est même pas conscient de l'image médiocre qu'il renvoie.
Citons les svp:
les commerçants
les riches
les francophones
les juges
les journalistes
les avocats
Les syndicats
le peuple
les tunnels à Carthage
les lettres postales
...
EN bref, il n'y a que Saed qui est tunisien et qui n'est pas un traitre, les autres sont des sous hommes a coté de ce monsieur si parfait si intelligent si omniscient et qui ne prend que des bonnes décisions
DIEU merci pour Mr Saed, DIEU merci de me sauver de mon sort et de m'apprendre la vie
J'ai hate que par laGRace de DIEU, mr Saed explqieu au monde un nouveau model de développement qui réconcieliera Chinois, americain, européesn japonais, sous l'égide du prophete de carthage.
MErci pour cette constitution divine écrite par un seul homme
merci pour nos médias public revenu au telos de ben ali
merci pour les procès contre les journalistes
et il ose encore parler de démocratie aux USA LOL ?
les américains ne sont pas bêtes et son discours nous fait passer pour des ....
Il parle comme Ben Ali en 2010 ...
et Il parle comme n'importe quel dictateur africain lambda
Pauvre saied il est entrain de répéter ce que les Mc do ont fomenter et bien organiser pour leur confirmer la réussite de leur plans.