
La présidente du parti « La Troisième République », Olfa Hamdi a indiqué que le président de la République, Kaïs Saïed n’avait pas le droit de lui interdire de se présenter à la présidentielle prévue d’ici la fin de l’année 2024. Elle a, aussi, appelé l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) à réformer l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
Dans un communiqué du 21 mars 2024, Olfa Hamdi a réaffirmé son intention de se présenter à la prochaine élection présidentielle. D’après elle, les jeunes représentent la moitié des électeurs pour l'année 2024. Elle a considéré que l'exclusion de ces derniers était un crime électoral. La politicienne a, aussi, estimé que les manœuvres visant à l'exclure elle ou tout autre jeune était lié aux craintes du chef de l’État d’échouer lors de la prochaine présidentielle.
Pour ce qui est de l'Isie, Olfa Hamdi a estimé que celle-ci avait perdu sa légitimité et n'était pas indépendante. Elle a rappelé que ses membres actuels ont été nommés par Kaïs Saïed. Leur nomination a eu lieu en vertu du décret 117. Or, ce texte n’est plus applicable en raison de l’adoption de la nouvelle constitution. La présidente du parti « La Troisième République » a estimé qu’une nouvelle instance devait être formée. Elle a, également, estimé que l’Isie actuelle menait une campagne de ciblage et d’incitation à l’encontre de l’actuelle ARP en évoquant et en publiant des textes relatifs à la révocation des députés.
Olfa Hamdi a appelé l’ARP à ne pas prendre parti dans les conflits opposant les différents candidats à la présidentielle. Le parlement doit, selon elle, refuser toute atteinte à la loi électorale considérant qu'une telle chose représenterait une atteinte à la démocratie tunisienne. La politicienne a indiqué que l'année 2024 était celle de l'évaluation de la prestation de l'exécutif et non du législatif. « Nous vivons une situation similaire à celle d'avant le 25 juillet 2021 caractérisée par une hostilité entre l'exécutif et le législatif… Nous ne pouvons pas accepter un autre 25-Juillet. Je m'engage à ne pas dissoudre le parlement après mon élection à la présidence de la République par conscience de la dangerosité de la situation que nous traversons et en raison de l'importance du travail exercé par les représentants du peuple », lit-on dans le communiqué.
Olfa Hamdi a considéré que les acteurs politiques ne devaient plus faire confiance à Kaïs Saïed. D'après elle, le pays se dirige vers une crise politique profonde pouvant conduire à la fin de l'expérience démocratique. Elle a appelé le président de l’ARP, Brahim Bouderbala à définir une date de la plénière dédiée à l’élection des nouveaux membres de l’Isie conformément à l’article 134 de la constitution de 2022. Le choix des nouveaux membres doit s'opérer en fonction de la composition démographique du pays, mais aussi après concertation avec les entités politiques concernées par l'élection présidentielle. Brahim Bouderbala doit, également, s’opposer à toute tentative visant à modifier la loi électorale actuelle.
Olfa Hamdi a mis l'accent sur l'importance de l'ARP et de son rôle. Elle a critiqué l'attitude du pouvoir politique exécutif actuel considérant que ce dernier multipliait les infractions et les atteintes et n'assumait pas ses responsabilités juridiques, politiques et éthiques. D'après elle, les déclarations du chef de l'Etat, Kaïs Saïed, du 6 mars 2024 évoquant la primauté de la constitution démontraient que l'Isie recevait directement des ordres de ce dernier. Elle a, aussi, considéré que Kaïs Saïed avait menacé l'ARP en évoquant le recours aux mécanismes de révocation d'élus prétextant une opération d'infiltration du parlement.
S.G
Laissez la jeunesse réformer notre pays ne soyez pas jaloux le temp est un luxe que personne ne peut acheter.
Quant au président de la république c'est la honte s'il rentre dans ce genre de combine pour bloquer certain candidat, déjà que le changement dans la news constitution de 35 a 40 ans pour pouvoir se présenter était une aberration, dans les pays développés on avance nous on recul.
Réveillez vous mr le président vous êtes honnête mais n'avez pas les compétences pour réformer complètement le pays de a à z et en plus de cela vous ne savez pas vous entourer de bonne personne pouvant le faire!!
a bon entendeur les gueux
K .S a une sacré popularité
aucune chance pour toi
tu es anonyme en Tunisie
personne ne te connais
tu ressembles à un gros tambour vide...qui fait trop de bruit
que feras tu des pauvres citoyens de ce bled
la guillotine
va te chercher une vie normale
ou retourne au USA
le berceau de tes illusions
HAHAHAHAHAH
tu maitrise pas cette langue. pas étonnant que tu sois pas réélu.
Rumeur, je suis assil iRRiF ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram, tu peux m'envoyer tes islamistes pour couper la tête, tu seras content Mr le résident en ALLEMAGNE sous un pseudo anonyme
Sauf votre acte de naissance
Hhhh
Il faut que le régime accepte les concurrents et les concurrentes, et doit libérer la grande, Maître Abir Moussi.
Piano piano, je veux être généreux avec vous, vous aurez 2%
C'est aussi malheureusement le cas, surtout pour les femmes en général : ils ne laissent rien passer aux autres femmes et cela restera malheureusement longtemps le cas en Tunisie.
Jalousie, jalousie et jalousie, retenez bien cela !
Bou-Petit-Cou, 3llolou et ses 40 voleurs, Ghannouchi ; la momie BCE , Sachafouna Kaiis Saied n'ont et ne peuvent que raconter des histoires, ils ont raconté des contes de fées et ont travaillé pour eux - même construit des châteaux et des mausolées à vie pour eux et leurs familles. Mais ils ont tout volé - même le papier toilette - et tout ce qui n'est pas cloué.
Les nouvelles générations, en ce qui concerne au moins les sciences modernes et l'amour du pays, sont en tout cas à l'ordre du jour.
Pour faire simple, la Tunisie a besoin surtout de sa jeunesse intellectuelle pour sauver ce qui peut encore l'être.
Bon vent à nos nouvelles générations de MOINS de 50 ans !
Wè Rabbi Yosternè Ilkol !