
Dans une publication Facebook du 15 mars 2024, la présidente du parti « La Troisième République » Olfa Hamdi s’est comparée au légendaire général carthaginois, Hannibal Barca. D’après elle, le point de ressemblance entre eux serait leur capacité de se frayer un chemin malgré tout obstacle.
« J’ai sûrement les mêmes gènes que Hannibal… Nous nous frayons un chemin lorsqu’on nous bloque la route… Nous sommes attachés à la réussite de la Tunisie-Carthage… Nous sommes aussi patients qu’un éléphant… Le travail continue quel que soit le climat politique », a-t-il écrit.
Olfa Hamdi a accompagné sa publication d’une photo d’elle aux côtés d’une mosaïque représentant Hannibal Barca.
Rappelons que Olfa Hamdi a affirmé, à plusieurs reprises, qu'elle comptait se présenter à la présidentielle prévue d'ici la fin de l'année.
S.G
L'ambition est légitime et les urnes trancheront-Cependant, il est prudent de garder les pieds sur terre :La Fontaine a écrit "La grenouille qui veut se faire aussi grande que le boeuf"
Entre l'éventuel rêvé "Zaama" comme on dit chez nous et l'échec "Zama" il suffit d'un "Ah" :à bon entendeur salut-
Je suis prêt à financer ses séances de traitement Chex un Psy.
Hannibal Barca, Barca comme bar9 qui veut dire éclair en punique, phénicien, arabe et hébreux (ancien et moderne). Entre temps, Edisson et Tesla sont passés par là. J'opterais donc pour un truc dans l'air du temps comme "Olfa Tricity". Ou si on veut ancrer tout ça dans l'époque du zaman el jamil, il y avait une danseuse du ventre dont le nom artistique était "lambouba", donc pourquoi pas "Olfa Lambouba"?
Heureusement que le ridicule ne tue pas. Arrogance quand tu tiens nos politicards, il n'y a aucun espoir.
Un tel éléphant , cela ne trompe plus énormément
Ahhh, cette même sortie impayable d'irrécupérabilité à l'instar de celle de l' Homme en question, une sortie décisionnelle qui a fait basculer le cours de l'histoire et qui le hantera jusqu'à sa mort... Cette sortie qui marquera le début de 600 ans de domination romaine sur l'Occident dont on peut s'accorder à regretter une toute autre trajectoire que celle finissant à ce jour par des choix monstrueux d'accidentés du bulbe déKKKlinants délétères aux deux rives mutuelles si chères !
Haniblia, la fille d'Hannibal, prétend.
Elle se pavanait, si fière et si haute,
Mais son charme, hélas, n'était que de la fausse note.
Avec un nom si noble, elle se croyait reine,
Mais son esprit, bien pauvre, n'était qu'une peine.
Elle pensait conquérir, tel son père jadis,
Mais son charisme bancal ne séduisait pas plus qu'un radis.
Elle portait le nom d'un grand général,
Mais dans son c'?ur, point de génie, point de moral.
Ses rêves de grandeur semblaient bien trop vains,
Car dans l'ombre de son père, elle n'était qu'un refrain.
Haniblia, oh Hanablia, si vaniteuse et creuse,
Ton ambition démesurée n'est qu'une ruse.
Ta prétention, ta suffisance, ne font pas illusion,
Car au final, tu n'es qu'une pâle imitation.
Alors que le monde se souvient d'Hannibal avec gloire,
Toi, Haniblia, tu n'es qu'une histoire dérisoire.
Dans l'ombre de ton père, tu resteras à jamais,
Une figure fade, un souvenir qui s'efface.
Que ta prétention serve au moins de leçon,
Qu'on se souvienne de toi comme d'un flocon,
Un flocon éphémère dans l'histoire des grands,
Haniblia, la fille d'Hannibal, sans éclat, sans élan.
Ecrit par A4 - Tunis, le 02 Août 2015
Pour vous c'est juste un nom qui se perd dans l'Histoire
Entre grandes batailles et éphémères victoires
Entre Gadès et Tyr et autres territoires
Entre vieux ports commerciaux et lointains comptoirs
Pour vous c'est juste un nom et des dessins gravés
Sur une tablette oubliée sur le pavé
Une colonne, une mosaïque enclavée
Entre vieux contes et souvenirs délavés
Pour vous c'est juste un nom, un nom et des gravures
Un nom sans silhouette, sans âme ni figure
Un nom brut sans un décor ou enjolivure
Résonnant encore sous son immense envergure
Pour vous c'est juste un nom, des dates et des images
Montrant malgré tout qu'il y a legs et héritages
Méritant de votre part respect et hommage
A l'homme aux éléphants, à l'enfant de Carthage
Pour vous c'est juste un nom ... pour moi c'est autre chose
Car moi j'étais bien là pour défendre sa cause
C'est moi qui combattais sous l'égide d'Hannibal
J'étais son soldat et c'était mon général
Pour moi c'est différent, j'étais à ses côtés
Admirant son audace, sa ruse et loyauté
Suivant dans les Alpes sous un ciel étoilé
Le chemin de la gloire avec des pieds gelés
Pour moi c'est pas pareil, quand je dis Hannibal
Je le vois solide en haut de son piédestal
Je le vois encore à Cannes ou à Trasimène
Battre, anéantir les vaillantes armées romaines
Pour moi c'était grandiose, je ne peux oublier
Ses fiers soldats, ses fantassins et cavaliers
Ses éléphants, ses boucliers, épées et glaives
Son courage ne connaissant ni repos ni trêve
Comment pourrais-je oublier quand moi j'étais là
Debout à ses côtés le jour où il s'en alla
Jour de triste silence où lui le grand maître
Décida d'abandonner lâches et traîtres ?
Comment ne pas avoir le c'?ur meurtri, en braise
Quand on sait qu'il y a au loin, dans une terre glaise
Un héros oublié qui brûle d'impatience
De retrouver un jour la terre de son enfance ?
C'est bien grâce à lui, mon général, mon idole
A la tête couronnée de milliers d'auréoles
Que le nom de Carthage, Carthage l'éternelle
Retentit encore au delà des arcs-en-ciel
Je le vois toujours avec son regard radieux
M'apostrophant très inquiet, les yeux dans les yeux
Me demandant qu'est devenu son héritage ?
Qu'avons nous fait de Sa somptueuse Carthage ?