
Noureddine Taboubi, secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), a déclaré, dimanche 27 août 2023, en marge du congrès ordinaire de l'Union générale des municipalités tenue à Hammamet : "la question concernant mon retour à la lutte revient aux interrogations des Tunisiens : où est-ce que nous menons notre pays et quelle est sa trajectoire économique et sociale ? Nous avons passé treize ans, malgré la succession des responsables, à échanger des discours de diffamation et de criminalisation à l'encontre du peuple. Il est grand temps que chaque individu assume sa responsabilité historique et revienne à la raison. C'est pourquoi j'ai dit que le militantisme a des conditions déterminées par le degré auquel le pouvoir s'écarte de l'intérêt du pays."
Noureddine Taboubi a continué en disant : "Nous réalisons tous que la dégradation de la situation économique a atteint un niveau sans précédent, ce qui nous fait craindre tout préjudice pour notre patrie."
Il a ajouté dans sa description de la situation générale dans le pays : "Aujourd'hui, les gens se sentent étouffés, démotivés et perdus, se demandant quel est l'avenir du pays. Lorsque les événements du 25-Juillet ont eu lieu en raison d'une crise politique étouffante, le peuple s'est retrouvé face au président de la République. Aujourd'hui, avec l'aggravation de la crise, tout le monde se demande quelle est la solution."
En ce qui concerne son appel à la mise en place d'un dialogue national, le secrétaire général de l'UGTT a considéré que le dialogue est devenu urgent et nécessaire, compte tenu de l'accent mis par le pouvoir sur des batailles inutiles et la diffamation de tous, plutôt que de se concentrer sur la résolution de la crise économique et sociale.
S’adressant au président de la République, Noureddine Taboubi indique: "En tant que président élu, il est de votre devoir d'écouter tout le monde et d’œuvrer à trouver des solutions aux multiples crises... Il n'est pas logique que les citoyens du pays, qu'ils soient de l'opposition ou du pouvoir, ne dialoguent pas. Il est logique que tout le monde, malgré leurs différences, se rassemblent pour sauver le pays et promouvoir l'intérêt du peuple en répondant à ses préoccupations."
D’autre part, il a indiqué que le chef du gouvernement Ahmed Hachani doit ouvrir la porte au dialogue social et le mettre en œuvre pour trouver une solution à la crise difficile que vit le citoyen tunisien.
Dans un autre contexte, il a condamné ce qu'il a qualifié de diabolisation du secteur de l’enseignement par l'autorité, se demandant "dans quel état d'esprit les enseignants retourneront-ils à l'enseignement ? "
Il a souligné que “le syndicat, avec toutes ses structures, se mobilisera pour défendre les enseignants, les municipalités et tous les secteurs épuisés... Si un dialogue sérieux et responsable est trouvé, nous dialoguerons, sinon une lutte unifiée des secteurs se tiendra."
Il a poursuivi : "Il n’y a plus de compensation, arrêtons de nous moquer des Tunisiens... Le peuple a compris la situation et il le fera savoir au moment opportun.”.
S.H
A conjoncture pareille, nul n'est tenu à l'impossible.
Dans tous les cas, les analyses de L'UGTT restent pertinentes mais est ce qu'il a les moyens et la force pour influer sur la situation ?
Et je sentais l'haleine sortir de TOUS ces com qui ressemblait plus à 1 mauvaise hygiène buccale
Qu'à 1 Mer....
Voilà, C dit maintenant 1 câlin à la chatte de la voisine, mieux que de lire des "élucubrations" des gorges profondes qui polluent intellectuellement notre site...
Ce n'est pas de la faute de BN, mais vous êtes des perdants patentés et BN doit gagner de l'argent pour payer ses employés ....
Vous avez compris ce que je voulais vous dire les i,cultes, rédigez en Français ne veut pat dire que vous maîtrisez l'art et la manière de vous exprimer en dit long, très long sur votre nive.....
Toujours aussi arrogant, vomissent ces menaces à tout va à l'encontre du gouvernement jusqu'au premier d'entre eux.
Qu'il soit heureux d'être encore soigner dans un pays en plein marasme économique.
Mais de quoi il parle au faite, le problème des enseignants il a été décrit par le Ministre, les enseignants doivent appliquer la directive ou bien laisser leurs places à d'autres.
Tous les sujets dont il fait allusions sont déjà-vu, ce blaireau il a un temps de retard.
Taboubi le temps des palabres c'est fini.
L brute et
Le Truand
DJANGO UNCHAINED : Nouvelle piste des incultes Tunisien et leur nouveau DJANGO "Je parle au com publié" !!
Voilà mes amis de BN, vous me provoquez toujours et vous publiez ces "com venus d'ailleurs" des années 1970 et je suis sur que les "morveux" today savent TOUT, Ne Con-prennent rien du tout de leur haine déversée à longueur de journée et j'ai découvert qu'ils deviennent de + en + covidés de new....
Sachez qu'il n'y a aucune différence entre "covidés" et "ovidés" ?
Kesaco ? Je délire, je me défoule etc...
Je ne défends pas "Teboubi", mais je défends nos ancêtres et 1934 et l'histoire de l'UGTT!
Bien que je ne suis pas d'accord souvent de l'UGTT à cause de leurs casseroles de chez Lucie aussi....
Le temps a fini par le démasquer.
Aujourd'hui, il virevolte, il nous annonce le contraire, comme si rien n'était.
Une chose est certaine, le peuple n'oubliera pas ses multiples prises de positions ordurières, que lui et son prédécesseur nous avait imposé tout au long de leurs mandats respectifs, et qui à terme, avaient plongé la NATION dans une chute libre vers les abysses..
"Il n'y a plus de compensation, arrêtons de nous moquer des Tunisiens... Le peuple a compris la situation et il le fera savoir au moment opportun.'?'
Ce dangereux personnage doit rendre des comptes à la justice et aux patriotes !!!
Il doit payer tout le mal qu'ils nous avaient causé pour avoir fait plonger le pays dans un chaos sans fin.
L'UGTT est perimée. Un objet comme un fax qui a prouvé sa valeur avant 50 ans et dont beaucoup de monde on du mal à l'échanger.
L'UGTT est est entrain de finir peu à peu
Taboubi entend par dialogue, les dialogues que l'UGTT entreprenait avec Ennahdha, c'est-à-dire:
- l'UGTT nomme ses gouverneurs,
- l'UGTT nomme ses ministres,
- l'UGTT fait recruter les enfants des responsables de l'UGTT dans la fonction publique.
Le Citoyen que je suis, se permet à son tour d'adresser un message à Taboubi, en ces termes:
- Primo: je ne vous permets pas de menacer le Président,
- Secundo: Monsieur Taboubi, en tant que personne, vous et les autres membres de la Centrale syndicale, vous avez des comptes à rendre à la Justice. Vos dossiers sont bien fournis, et il seront inévitablement traités,
- en tant qu'organisation syndicale, l'UGTT a anéanti l'économie tunisienne avec ses grèves, presque quotidiennes. Ces grèves n'ont épargné aucun secteur.
L'Etat tunisien ne tolérera plus jamais votre comportement irresponsable envers la Nation.
L'Etat aux mains tremblantes, c'est fini, c'est du passé.
La devise actuelle du gouvernement, face au terrorisme syndical est la suivante:
UNE JOURNEE DE GREVE, EST UNE JOURNEE NON PAYEE.
Même leurs représentants à l'éducation en prison, ils l'ont rien fait.
D'ailleurs, à partir du jour où il a renouvelé sa candidature sans aucune raison et hors la loi, il a perduvla face et il a fait dégradé énormément cette importante structure, à savoir l'UGTT.
Dans ces conditions, le fait de continuer de maintenir cette position, ceci ne pourrait qu'affecter négativement l'UGTT.
Il continue à répéter avec le même langage et toujours , peut-être avec le même temps , des histoires semblables.
Rien dd nouveau , aucune dynamique claire et visible de l'UGTT.
Bref, il hurle """ comme l'a avancé l'un d'eux.""
Alors de grâce, que le "petit boucher" retourne sur son lit d'hôpital et qu'il aide du moins qu'il laisse les vrais responsable faire leur boulot.

