
Durant son allocution du 4 décembre 2021 à l’occasion de la commémoration de l’assassinat de Farhat Hached, le secrétaire général de l’Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), Noureddine Taboubi a affirmé l’attachement de la centrale syndicale à la démocratie et aux droits humains.
Noureddine Taboubi a affirmé que l’UGTT était préoccupée par le flou caractérisant la situation actuelle en Tunisie, ainsi que l’instabilité politique et la dégradation de la situation.
« Le pays traverse une phase dont on ignore l’issue ! La rivalité a régné sur la situation actuelle ! Tous les indicateurs montrent l’impact des politiques lacunaires appliquées durant les dernières années ! », s’est-il exclamé.
La Tunisie témoigne d’une perturbation du dialogue et d’une baisse du taux de confiance, selon Noureddine Taboubi. Il a souligné la détérioration des infrastructures et des services publics et la hausse du taux de chômage. Il a déploré la dégradation du pouvoir d’achat des Tunisiens causée par la hausse continue des prix.
Par la suite, Noureddine Taboubi a évoqué la question des déchetteries anarchiques sur l’ensemble du territoire. Il a salué, à cette occasion, les ouvriers et travailleurs des municipalités. Il a affirmé que l’UGTT soutenait la grève du 10 décembre de Sfax en raison de l’absence d’une stratégie en matière environnementale.
Le secrétaire général de la centrale syndicale a, également, évoqué l’impunité et l’absence de poursuite à l’encontre de ceux qui enfreignent la loi. Il a souligné la gravité de la situation au sein du secteur de l’enseignement et la situation des établissements scolaires.
« L’administration tunisienne a été rongée par la corruption. Elle a fait face à plusieurs tentatives visant à l’impliquer dans les querelles politiques », a-t-il poursuivi.
Noureddine Taboubi a conclu que l’ensemble de ces éléments ont conduit à
« Nous réaffirmons que notre organisation représente une force de proposition et une composante essentielle de l’équilibre, de militantisme et du processus de réforme politique et de la transition démocratique en Tunisie », a-t-il déclaré.
Il a rappelé que l’UGTT avait accueilli avec optimisme l’annonce des mesures exceptionnelles annoncées par le président de la République du 25 juillet 2021 et son engagement dans la tenue d’un dialogue national.
« Nous restons attachés à l’accompagnement des mesures exceptionnelles par une feuille de route claire et précise afin de déterminer les traits d’une nouvelle Tunisie bâtie selon le modèle d’un État civil, démocratique et social. Actuellement, nous craignons les atteintes aux acquis de notre peuple, non-pas en raison de la suspension de la constitution et de l’activité parlementaire, mais à cause de l’hésitation dans l’annonce de la délimitation dans le temps de l’application des mesures exceptionnelles, d’une feuille de route claire mettant fin aux pressions étrangères et réinstaurant la relation de confiance… Cette feuille de route doit être formulée à travers un dialogue national franc et regroupant l’ensemble des forces attachées à la souveraineté nationale, à la liberté et à la justice sociale », a-t-il insisté.
Noureddine Taboubi a considéré que l’absence de dialogue et d’approche inclusive portera atteinte à la Tunisie et à la paix sociale. Il a affirmé que la clarté était le seul moyen permettant de réinstaurer une relation de confiance.
Le secrétaire général de l’UGTT a appelé à la séparation des pouvoirs, la révision de la loi électorale et de la loi relative au parti politique, à la réinstauration des institutions constitutionnelles et à la tenue d’élections générales anticipées.
« La Tunisie doit se doter d’une cour constitutionnelle indépendante et non soumise aux pouvoir politiques… Nous appelons à une troisième voie baptisée le sauvetage de la Tunisie… L’Etat passe avant les individus », a-t-il ajouté.
Noureddine Taboubi a affirmé l’opposition de l’UGTT à toute tentative d’infiltration et d’attaque à l’encontre de la justice tunisienne. Il a appelé à l’application du rapport de l’Inspection générale du ministère de la Justice.
Le secrétaire général a, également, averti contre l’impact de l’indécision et de l’hésitation en matière de lutte contre la corruption et la spéculation et l’application des accords sociaux.
Noureddine Taboubi a considéré que le gouvernement Bouden devait se doter d’une vision et d’un programme afin de ne pas connaître le même sort que celui des anciens gouvernements.
Noureddine Taboubi a, également, mis en garde contre les nominations résultant des appartenances et allégeances politiques portants atteintes à l’administration et aux institutions publiques.
S.G
De lui questionner qu'est qu'il est devant Feu Hached ?
De rien !
Il n'est qu'un minus et une simple tartempion qui doit prendre des leçons pour se dire qu'il est "patrons" des travailleurs, honnêtes, coriaces et dévoués mille fois mieux que lui ce clown.
Irresponsable!
On ne gouverne pas un pays en claquant les doigts, comme on ne peut pas satisfaire toutes les conditions du jour au lendemain.
Nous ne comprenons pas n'en plus les demandes incessantes de L'UGTT, sachant que le pays est dans une situation catastrophique, dont une part vient des revendications sans cesse de cette centrale.
Le pays dans l'état actuel à besoin de réformes bien étudiées, de dégraissement de l'ensemble de nos administrations, de la privatisation de certaines entreprises publique etc etc....
L'UGTT, comme un grand nombre de commentateurs le souligne, elle n'a pas à s'interférer dans le domaine politique du pays, cette centrale n'est pas habilité à ça, elle n'est pas non plus un gouvernement bis.
Nous avons assez de ces tètes pensantes pour dire tous et n'importe quoi.....le pays à besoin de se mettre en marche vers l'avant, de redresser l'économie du pays, d'investissement, de vivre en bonne santé, et une bonne éducation pour nos enfants.
La commémoration de Farhat Hached c'est bien, mais de transformer cet héritage en une guerre contre le président et son gouvernement ne tiens pas debout.
Mais que vient faire Taboubi en se cachant derrière la bannière de L'UGTT et que cherche t'i ....à renverser le régime peut être....alors attention à ne pas franchir la ligne rouge.
voici un poème :
qalou lana imma Sayed wa illa lan yabqa fi Tounes ahad
qalou lana imma Sayed wa illa qotaan al Nhadhouiyin tahtallou al balad
qolna lahom bi-issa Sayed, wa walidon wa man walad, wa fassidon wa man fassad
bal bi-issa man yahssibu anna al jahsha wa al walhsha assad
alam nanssa ma faala al tughat al mujrimun wa man jahad
qolna lahom: azifa al rahil fa waddiuu hatha al balad
fa Tounes lil ahrar , lil thuwar hadhinaton wa li man samad
thahika Sayed, ghadhiba Sayed, khaba Sayed, abbssa Sayed, wa walidon wa man walad
.......
( à suivre )
Il se croit filou et rusé en se comportant ainsi pour avoir du populisme.
Sincèrement ils font pitié.
Des sans scrupules.
D'autre part, un constat important s'impose : presque toute la classe politique est pourrie. Pourrie, entre autres, par le culte de la personne, les égos, la corruption, l'opportunisme, l'arrivisme, etc :
En commençant par les défunts : Bourguiba (fin de règne), Ben Ali et Béji Caied Essebsi BCE (le deuxième plus grand traitre de la révolution, il a pactisé avec le premier traitre Kherriji (Ghannouchi) en aout 2013, dans l'hôtel chic de Paris : le Bristol, dans la suite du milliardaire et ripoux Slim Riahi, rencontre organisée par Nabil Karoui, patron de Nesma, qui s'avèrera co-fondateur de Nidaa Tounes. BCE a permis le retour des RCDists$, dont Abir Moussi et a tout fait pour favoriser son fils Hafedh)
En passant par Ghannouchi (cheikh bac moins trois, inculte et profondément malhonnête) et Abir Moussi (comme tout RCDist, une opportuniste primaire, mais elle était admirable dans son combat contre les frérots) et Marzouki le tartour, oueld el harki,
En continuant par Nabil Karoui (monsieur makarouna), Makhlouf (un voyou de première) et Mechichi (un incompétent notoire qui a pactisé depuis le début avec les frérots et les klebs), etc (la liste est longue).
Plus précisément, la classe politique et les partis politiques sont tels que :
'?' Leur nombre dépasse largement 100, dont 18 représentés à l'ancienne ARP,
'?' Aucun ne fonctionne, en interne, de façon démocratique
'?' A part 2 partis (poubelles) antagonistes, qui se distinguent un peu des autres et sont en chute libre, les autres sont :
'?' Soit des « zéros-virgule », des satellites, à la botte de '?' , des opportunistes primaires, une pourriture
'?' Soit des « zéros-pointé », leur place est ailleurs
Donc, on s'en fiche de cette classe politique, de cette partitocratie, de cette racaille.
On s'en fiche aussi d'un régime présidentiel. Ou avez-vous vu un vrai pays démocratique avec un régime présidentiel ? A part peut-être le cas particulier de la France.
On ne veut pas, PLUS, de za'im. Arrêtons de tergiverser et de tourner en rond, c'est un cercle vicieux : le serpent qui se mord la queue. On veut un PEUPLE SOUVERAIN, bien représenté.
Pour cela, il faut absolument changer le code électoral :
Le régime en Tunisie est essentiellement parlementaire, avec des prérogatives limitées à la présidence de la république (défense nationale, diplomatie'?'). C'est un régime moderne et il n'est pas mauvais. Mais il est un peu fragile et pas très stable (voir la 4ème république en France). Il a besoin d'ajustements.
Autre constat : il y avait un gros problème au parlement à savoir la partitocratie : des partis plus ou moins représentatifs font ce qu'ils veulent'?' Et il devient nécessaire et urgent de limiter le rôle des partis dans le fonctionnement de cette assemblée.
Donc, en définitive : le scrutin législatif actuel (par listes à la proportionnelle et au plus fort reste) est inadapté.
Pour balayer cette racaille et la faire dégager par la petite porte, il suffit d'adopter un scrutin législatif plurinominal, majoritaire, à plusieurs tours.
De plus, ce mode de scrutin garantit, in fine, que les candidats élus soient tous élus par une majorité d'électeurs. Ce qui est un des buts ultimes de toute élection. Et cela permettra de vraiment renouveler la pourriture de l'ARP et la classe politique actuelle.
Cela permettra évidemment d'éviter la partitocratie car il est PLURINOMINAL : On vote directement pour des personnes et non pas (par listes) à des partis politiques.
$ N'oublions pas les caciques (bien connus) du régime Ben Ali qui ont marchandé leur allégeance pour Ennahdha contre une certaine immunité.
Personnellement, je te conseille de ne pas essayer de les déclarer la guerre ! Les khwenjia ont essayés! Le résultat tu la connais !
Ce sera lui qui tiendra les commandes du pays puisqu'il peut décider de sa paralysie et même de sa révolution.
Rien ne peut l'arrêter ... a part un accident.
Ce que la révolution n'a pas réussi, ce sera un pur variant Corona nommé "AB: Ammara Bezzouir", qui est associée à un processus très invasif et à létalité garantie.
Nos amis de l'UGTT se prétendent être les légitimes héritiers du légendaire HACHED. J'aimerai rappeler à ces honorables que si Feu Hached avait sacrifié sa vie pour la libération de la Tunisie du joug de la colonisation, ses prétendus fils « batards » '?uvrent d'arrachepied pour le retour de cette maudite colonisation par la destruction de la République, l'endettement et la déconfiture de l'Etat Tunisien.
Le peuple des anes parlants apprendra à ses dépens que l'UGTT et les anarchistes de goffet ezzawali qui ont spolié le syndicat et sont LE PROBLEME ET NON LA SOLUTION.
Rappelons que j'entends par ane parlant toute créature de ce bas monde facilement manipulable par un ordi, une tablette ou un smartphone : Connecte toi et ils feront le reste.
Bref de quoi je me mêle ; ils ont ce qu'ils méritent.
Il est co-responsable des recrutements sans fondement dans la fonction publique. C'est un idéologue, je n'ai jamais aimé les idéologues, il cache derrière leur idéologie une pathologie narcissique.
Pour défendre les travailleurs il faut travailler à améliorer l'orientation et la formation de nos jeunes des métiers qui recrutent. Il faut faire de la formation de très grande qualité et s'inspirer des meilleurs au monde.
Plus un salarié est formé, plus ses compétences sont grandes, mieux il est payé. Les mesures populistes et d'assistanat sont des insultes à la dignité humaine. Elles maintiennent ces faux prophètes au pouvoir.
Les pays développés en voie de déclassement (type France) ont confié la formation à des centaines d'organismes privés plus incompétents les uns que les autres et continuent de payer des prestations sociales à des personnes qui n'accèdent pas aux formations et donc à l'emploi, plutôt que de former massivement jeunes et moins jeunes dans des métiers à haute valeur ajoutée et à haut potentiel d'employabilité, ratant ainsi le TGV pris par les pays asiatiques qui eux forment des travailleurs d'élite. Fort heureusement beaucoup d'efforts sont faits dans les formations en alternance.
Qu'attend t-on pour former nos jeunes et lancer des campagnes massives d'information sur la formation ?
Qu'attend l'Algérie pour inciter tous ces jeunes potentiels haraga à se former dans des métiers dont le pays a besoin ?
Les discours rouges de Taboubi ne passent plus
TAHYA TOUNES
Toujours le même discours accompagné d'arrogance et de mises en garde.
Depuis 2011, c'est le même disque rayé, avec les phrases au ton de mise en demeure.
On va faire ceci, on va faire cela et c'est le pays qui trinque.
Bravo TABBOUBI... tu paiera tôt ou tard tes vils gesticulations. Sale corrumpu tes mains sales aussi sales que tes proches des Nahdaouis
La majorité de l'aide financière reçu par le pays n'a pas profité à l'investissement, mais plutôt à augmenter les salaires dans un secteur publique sans rendement ou productivité sous l'impulsion de l'Ugtt. Malheusement ,Il en sera de même pour l'avenir
Qui protège les syndicats du Port de Rades et des autres ports? Comment demander le maintien des infrastructures quand 97% du budget dans un ministère comme l'?ducation vont pour payer les salaires (parfois pour des gens qui n'ont pas de diplômes pour enseigner ou qui ont des congés de maladie basés sur des certificats médicaux frauduleux). C'est de la corruption.
L'UGTT désire une feuille de route claire. Au moins une douzaine d'institutions respectés ont déjà publiés des etudes de plusieurs feuilles sur le futur de la Tunisie:
- La dette de la Tunisie n'est plus soutenable (FMI, B of A, Moody's, Fitch, The Banker...)
- donc, la Tunisie aura besoin de renégocier sa dete avec le club de Paris (B of A), c-a-d se soumettre a des conditions et restrictions sévères. On est chanceux d'avoir faire avec le club de Paris, la Chine vient de confisquer un aeroport a l'Uganda pour non paiement d'une dette de 200 millions, la dette de la Tunisie dépasse 100% du PIB a 112556 MDT.
- l'alternative est que le FMI accorde un nouveau pret (ce qui n'est pas responsable), ça sera aussi avec des conditions sévères.
- la meilleure alternatives est acceleration des investissement étrangers et un prêt pont de $2B (bridge loan) de la BCT. Le seul secteur ou les investisseurs sont prêts a considérer la Tunisie est le secteur des énergies renouvelables. Si les entrepreneurs locaux ne veulent plus traiter avec les travailleurs tunisiens que dire des étrangers.
- L'UGTT doit abandonner son blocage des investissements étrangers, KS doit accélérer les appels d'offres pour les investissement en énergie renouvelable. Les partenaires étrangers tel que Scatec doivent exécuter les projets et investir en un temps record.
- Si la Tunisie est soumise aux conditions du club de Paris elle ne pourra jamais s'en sortir comme l'Argentine, Soudan ou le Nigeria.
- La lutte contre la corruption ne doit pas être prioritaire, quand on a un bateau qui coule on doit boucher les trous avant de chercher et juger les coupables. Dans un pays ou la corruption est si répandue poursuivre les corrompus en justice prendra une éternité et on ne va pas mettre la moitie de la population en prison.
A l'un de ses illustres prédécesseurs (virtuels), on demanda un jour : Où vas-tu, Oedipe ? Et le grand Oedipe répondit : Je ne sais pas, mais j'y vais ... Normal, donc, que Taboubi n'apprécie pas beaucoup ce remake d'Oedipe Roi !
Allah Lè Yar7èm....ilhoum Waldin !
Les visiteurs en Tunisie avaient raison lorsqu'ils pensaient que les bouchers pendaient la tête des animaux à la porte d'entrée, car les citoyens ne font pas confiance à leur boucher et veulent être sûrs que la viande vendue est bien fraîche.
A moins que Ce syndicat du crime et ce ramassis de bandits et malfrats balafrants à la p'tite semaine ne reconaisse son rôle principal dans la décomposition du tissus économique et de la mise à terre de l'économie du pays
Je vous rappelle que vous étiez l'élément le plus destructeur qu'a connu l'économie tunisienne. Vous n'avez même pas le droit à la parole.
Honteux.
L'UGTT est une honte pour les Tunisiens. Normalement cette institut avait un rôle primordial pour la construction, de gardiennage et évolution des acquis des travailleurs.
L'ugtt de Feu Farhat Hached n'a aucun racun rapport lactur'el UGTT de cirque gérée par un clown et un faux prétentieux m'as-tu vu.
Ces deboussolés n'a savent pas comment cacher leurs connivences.

