L'ancien président de la République, Moncef Marzouki se retrouve de nouveau au cœur de l'actualité, à travers de nouvelles poursuites judiciaires. Alors qu'il était remarquablement absent de la scène nationale, le pouvoir en place semble l'avoir encore dans son colimateur.
Après de multiples condamnations, l’ancien président de la République, Moncef Marzouki a été déféré devant le pôle judiciaire antiterroriste pour vingt chefs d'accusation. Sur sa page Facebbok, il a annoncé aujourd'hui, que son frère, Mokhles Marzouki, a été convoqué lundi 11 novembre 2024 au poste de police d'El Kantaoui, au gouvernorat de Sousse. Pour cause, il est appelé à signer un papier l'informant que le dossier de Moncef Marzouki a été déféré devant le pôle judiciaire antiterroriste pour vingt chefs d'accusation. Plusieurs faits lui sont reprochés, dont notamment, la provocation de troubles internes, propagation de rumeurs, etc.
Profitant de cette situation, Moncef Marzouki rappelle dans un post Facebook qu’il a été déjà jugé dans deux autres affaires séparées et condamné respectivement à quatre ans et huit ans de prison. Il conclut amèrement avec le célèbre vers d’Abou el Kacem Chebbi « Les ténèbres se dissiperont ! ».
Une nouvelle occasion pour Moncef Marzouki de se présenter comme un héros, mais aussi comme une victime de la répression du régime place.
C'est dire qu'il ne s'agit pas de la première poursuite contre l'ancien président, qui n'a désormais plus le moindre poids sur la scène politique. Pourtant, l'ancien président a été condamné par contumace, en février 2023, à huit ans de prison ferme pour « planification d’attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement ou d'inciter les habitants à s'armer les uns contre les autres ou de porter le désordre, le meurtre et le pillage sur le territoire tunisien ». Une condamnation en rapport avec des menaces qu’il aurait proférées contre les juges, les sécuritaires et l’armée lors d’un discours donné à Paris.
Il a, également, été condamné à quatre ans de prison ferme suite à des déclarations sur France 24. Les choses ne se sont pas arrêtées là, puisqu'une autre enquête judiciaire a été ouverte contre Moncef Marzouki en mai 2024, suite à une conférence de presse qu'il a tenue en France. « Une conférence au cours de laquelle il a attaqué les institutions de l'État et un certain nombre de juges en exercice, en les diffamant et en leur attribuant des actes qui nuisent à leur réputation et à leur considération ».
Tant d'affaires en justice pour un ancien président n'ayant plus aucun poids politique, ni d'impact populaire, mais encore exilé à l'étranger. Ainsi, il ne pourrait être affecté par toutes ces enquêtes, ni ces condamnations, si ce n'est pour faire de lui, « une autre victime » du régime politique.
Une occasion inespérée pour Moncef Marzouki pour se présenter comme étant un militant des droits de l'Homme et un adversaire politique de taille, qu'on voudrait éliminer et abattre, alors qu'en réalité, il n'a pas plus la moindre chance de se positionner sur l'échiquier national...
Sarra HLAOUI
Si la Tunisie "allait bien", à l'époque, c'est parce que, d'une part, ZABA avait laissé les caisses de l'Etat pleines, et d'autre part, les emprunts entrepris à la pelle par les ignares et incultes analphabètes qui se trouvent actuellement, pour une bonne partie, au club Med d'El Morneguia, remplissaient artificiellement les caisses du pays !
Rajoutons à tout cela, plusieurs dons, dont le montant total n'était pas négligeable.
Les milliers de milliards qui furent empruntés par ces demeurés, dont une partie assez conséquente s'évapora en cours de route, furent dépensés en finançant des gabegies par des vicelards, qui ne faisaient que gagner du temps, le temps nécessaire pour bien se remplir les poches, avant de prendre la poudre d'escampette, pour les plus "intelligents" d'entre eux.
Ce fut la période la plus prolifique de l'open bar, post-2011.
Les derniers emprunts qu'ils effectuèrent, servirent uniquement à payer les intérêts des emprunts précédents.
Signalons aussi, qu'ils furent encouragés à aller de l'avant, grâce à la frange du peuple inculte qui hurla, tel une genisse en rut : "Khobz ou Mè et ZABA, Lè"
Et puis un jour, plusieurs années plus tard, le temps de rembourser nos dettes, se pointa.
Il s'est avéré que les caisses de l'Etat, étaient aussi asséchées que le sol martien.
Voilà, je vous ai présenté une petite ébauche du parcours des criminels dont vous ignorez totalement leurs implications directes, quant à la situation actuelle du pays.
Vous avez aussi, un aperçu de la situation à laquelle est actuellement confronté, notre intègre et patriote président sans peur ni reproche, Kaissoune.
" Ancien président " !
Quel titre honorifique dédié à un scélérat .
Si Bourguiba et B.Ali ont marqué l'histoire avec la dictature , votre
" Ancien président " , l'a marqué avec la trahison , c'est pire .
Pourtant le vécu ne laisse rien présager , l'histoire qui trompe , ex défenseur acharné des droits , exilé , puis retour au bercail pour faire le valet de la secte , au nom de l'amitié fidèle au gourou .
Son séjour à Carthage marqué par la déraison , un singe dans une cage , pour amuser la galerie , une marionnette aux mains des sbires de la secte .
L'histoire du militantisme balayée à jamais par un bref revers d'un soupçon de pouvoir .
Il s'est même permis de nous traiter de voyous , délinquants ,
( Nous : citoyens ) .
On ne déplore pas l'acte de trahison , mais on regrette profondément de donner l'occasion à un traître de s'introduire dans notre vie .
S'exiler encore , mais pour faire le tour des médias , plateaux et chaînes des racailles pour attaquer son propre pays , sa propre patrie , ses propres compatriotes , dénote d'une extrême folle trahison , la descente aux enfers de la bassesse , on peut ignorer une autre crapule semblable , l'ivrogne B.Brik , un clochard aussi , invité chez Elkenzira , Zitouna et autres , mais de la part d'un ex militant intello , c'est décevant , dégradant , de se faire humilier dans la boue .
J'ai évité de le nommer , pour ne pas souiller la réputation d'une grande famille à qui il a causé déshonneur et préjudice , à toute la région du Sud , qui a donné naissance à des combattants et martyrs ,
Daghbagi , mort avec les honneurs , pour donner son sang à sa patrie , son nom gravé dans notre mémoire , en lettres de sang , " sept suivent à la trace le démon de la mort appelle " , entre lui et cette chose nommé à tort " ancien président " , la différence entre hommes et excréments .
Durant la période Covid, alors que la Tunisie s'apprêtait à organiser le Sommet de la francophonie, Marzouki sillonne les pays francophones pour les inciter à ne pas aller en Tunisie pour ce sommet. Heureusement, le Sommet n'a été que reporté, et il a été majestueusement organisé en Tunisie, une année plus tard.