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Mohamed Essafi : la réforme du système éducatif est impossible sans la participation de toutes les parties prenantes
31/01/2024 | 11:12
1 min
Mohamed Essafi : la réforme du système éducatif est impossible sans la participation de toutes les parties prenantes

 

Le secrétaire général de la Fédération générale de l’enseignement secondaire, Mohamed Essafi, est intervenu, mercredi 31 janvier 2024, sur Diwan FM.

Il a commenté, durant l'émission « Fi 60 dkika », la déclaration du ministre de l’Éducation, Mohamed Ali Boughdiri, qui a annoncé il y a quelques jours, que le ministère s’oriente vers l’instauration du régime de la séance unique pour les élèves. Le syndicaliste a souligné, à ce propos, que si la partie syndicale est en faveur de la mesure, il est nécessaire d’adopter une approche participative quant à la réforme du système éducatif.

« Cette expérience a été adoptée dans quelques établissements pilotes, aujourd’hui il s’agit de savoir, avant de la généraliser, si nous avons préparé le nombre suffisant de salles de classe dans tous les établissements et si nous avons le nombre nécessaire d’enseignants. L’infrastructure doit suivre mais aussi la coordination avec les autres ministères concernés, notamment le ministère du Transport. On ne peut pas parler d’un projet pilote sans aborder la réalité du système éducatif, nos institutions publiques souffrent de lacunes. Devant la politique d’austérité et le manque de ressources humaines vu les restrictions dans le recrutement, nous pensons que ce projet est impossible à concrétiser sans recourir à la participation de toutes les parties prenantes et principalement l’UGTT » a expliqué Mohamed Essafi.

 

 

 

M.B.Z

31/01/2024 | 11:12
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Commentaires
Tunisino
La solution est autre
a posté le 31-01-2024 à 15:31
Les bêtes de la république des imbéciles, toutes parties confondues, sont toujours dans leurs calculs illettrés, égoïstes et destructeurs, ils sont en séparation totale des besoins réels du pays, et continuent à faire perdre aux sinistrés tunisiens du temps et de l'argent. Toute reforme n'est ni politique, ni syndicale, mais technique qui tient compte du présent et du futur du pays. Le système éducatif n'est finalement qu'une machine à diplômés/compétences selon le besoin du pays, du présent et du futur, tout est à établir selon cette approche, du réseaux des institutions, à l'infrastructure nécessaires, aux moyens matériels et humains, aux formations à assurer, aux programmes des études, etc. Mais quel présent et quel futur? Ce n'est certainement pas le présent et le futur selon les littéraires et les illettrés, politiciens et syndicalistes, médiocres, perdants, et arnaqueurs, mais ceux réfléchis et prédis scientifiquement par des compétences extrêmes afin que la Tunisie devienne un jour un pays avancé. Par ailleurs, reformer l'éducation ne suffit pas, il faut commencer par mettre le pays sur les rails du progrès durable et tout suivra. Une machine éducative qui filtre les plus intelligents pour les offrir les meilleures formations pour les jeter à la poubelle depuis 1956, a conduit à la Tunisie de 1987 et de 2011. Apres 2011, c'est une autre histoire, les perdants écartés proprement et improprement par Bourguiba et Ben Ali se sont jetés sur le pouvoir pour pratiquer leurs fantasmes malades, en omettant toute responsabilité envers les sinistrés tunisiens, pour faire perdre aux tunisiens une trentaines d'années de développement. Dictature ou démocratie, tout est une histoire de qualité d'hommes, brillance et responsabilité. Toute troisième république doit interdire aux imbéciles d'atteindre des responsabilités, à travers un travail intelligent dans l'administration, les partis, les organisations, et les associations, démocratiquement et dans le cadre du projet stratégique du pays, pour que les accidents du passé et du présent ne se répètent pas!
hedi
Out
a posté le 31-01-2024 à 14:12
Les syndicats out ,finie l,ere du Banditisme syndical, vous n,êtes plus dignes de représenter les enseignants