Chez les nahdhouis, le principal programme c'est d'islamiser le pays et appliquer la chariaa et epouser 4 belles femmes à la fois , mais ils n'ont pas le courage de le dire et c'est pour ça qu'ils ajournent leur prise du pouvoir , pourtant le peuple est suffisament pauvre et ignorant ! les lâches!

« Je suis contre l’idée que le mouvement présente un candidat issu du parti à la présidentielle. Lors du deuxième tour, il peut y avoir un risque de polarisation sachant que le pays est actuellement dans une situation très difficile. J’estime que les élections législatives sont plus importantes », a déclaré le député du bloc parlementaire Ennahdha, Mohamed Ben Salem, au micro de Mosaïque FM ce samedi 3 août 2019.
Le parlementaire, qui était aujourd’hui présent à la réunion du Conseil de la Choura tenue à Hammamet, répond ici de manière indirecte à la récente déclaration de Abdelkrim Harouni, président du même conseil, qui avait estimé que Ali Laârayedh, Abdelfattah Mourou et Abdellatif Mekki sont aptes à se présenter à la présidentielle.
E.B.A.
Commentaires (15)
Commenterle parti des lâches
Chez les nahdhouis, le principal programme c'est d'islamiser le pays et appliquer la chariaa et epouser 4 belles femmes à la fois , mais ils n'ont pas le courage de le dire et c'est pour ça qu'ils ajournent leur prise du pouvoir , pourtant le peuple est suffisament pauvre et ignorant ! les lâches!
La peur au ventre d'un dictateur.
La déconfiture de ce parti est bien partie.
La peur de Ghannouchi est si grande, il ne se présentera jamais et ne laissera personne d'autre de son parti se présenter.Les Tunisiens vont lui envoyer une gigantesque claque.
De moribonde, la pieuvre est passée à l'état de décomposition !
Ecrit par A4 - Tunis, le 05 Novembre 2017
La pieuvre noire est moribonde
Elle n'en a plus du tout pour longtemps
Elle est gluante, nauséabonde
Comme l'eau fétide d'un étang
Elle est obligée pour survivre
De s'amputer quelques tentacules
De jeter au feu tous ses livres
Et mettre à l'heure ses vieilles pendules
Mais ses horloges usées sont rouillées
Bloquées dans des époques anciennes
Et rien ne sert de les chatouiller
Il n'y a plus d'aiguilles qui tiennent
Elle suffoque dans son marécage
Et ça fait longtemps qu'il n'a pas plu
Qu'il n'y a plus perles ni coquillages
Que les eaux du golfe n'arrivent plus
De temps à autre elle rejette un doigt
Le plus malade ou le plus pourri
Cela n'empêche qu'elle est aux abois
Les yeux tristes et la peau flétrie
Elle est même rejetée par les siens
Par ses amis et ses grands maîtres
Elle n'a plus presque aucun soutien
Pour la sortir de son mal-être
Vous la voyez étalée à terre
Répugnante comme un vieux torchon
Faisant en cachette des prières
Pour invoquer diables et démons
Son mal incurable la dévore
Va la jeter un jour dans le trou
Avec ses doigts assassins, ses cors
Et sa sale tête de gourou