
Le professeur en économie, Moez Soussi, a indiqué que la Tunisie avait besoin de mobiliser des financements à hauteur de 28 milliards de dinars, dont près de 13,8 milliards de dinars en devises. Il a affirmé être optimiste à ce sujet. Le professeur en économie a considéré qu’il n’y aura probablement pas d’accord entre la Tunisie et le Fonds Monétaire International durant les deux ou trois prochaines années. D’un autre côté, la Banque mondiale continue à appuyer la Tunisie sur le plan budgétaire. Il a rappelé que la Tunisie optait, en plus des prêts étrangers et des accords bilatéraux, pour des bons du trésor et des emprunts obligataires afin de mobiliser des fonds à l’échelle nationale.
Invité le 30 juillet 2024 à « Sbeh El Ward » de Hatem Ben Amara sur Jawhara Fm, Moez Soussi a évoqué le recul du déficit de la balance commerciale parallèlement à une économie témoignant de certaines pénuries. Il a expliqué que le gouvernement appliquait une politique de prudence au sujet des importations. Il a assuré que la baisse des réserves en devises, soit des jours d’importation, provoquera une baisse de la valeur du dinar et donc, une hausse de l’inflation.
Pour ce qui est de la baisse de production des phosphates, Moez Soussi a critiqué l’absence d’investissements dans ce secteur et le non-renouvellement des équipements et du matériel. Il a expliqué que toute économie défaillante au niveau de l’offre n’était pas rentable. Le professeur d’économie a insisté sur la qualification de la politique économique tunisienne de prudente. Il ne s’agit pas, selon lui, d’une économie d’austérité.
Moez Soussi a appelé à mettre en place des réformes encourageant l’investissement et soutenant la productivité. Il est revenu sur la thématique de la transition énergétique. Le déficit énergétique représente, à lui seul, en 2024 onze milliards de dinars. Sortir de la crise est tributaire de la définition d’objectifs clairs. Il a expliqué que le tiers des jeunes âgés entre seize et trente ans n’était ni à l’école ni en formation ni employés.
S.G
On sait tous que les signes de développement d'un pays sont l'éducation nationale et donc l'enseignement de bonne qualité et la santé mais aussi l'infrastructure, les transports et l'énergie.
Je connais beaucoup en ce problème d'énergie
Je travaillais en Tunisie et personne ne voulait mfntfndre dire qu'il fallait pallier à tout kanque d'énergie.
Les ressources étaient nombreuses dont celui de l'énergie renouvelable sur lequel j'avais insiste.
Mais voilà, depuis Bourguiba et pire de nos jours, tous ceux qui s'occupent de ce sujet ne sont pas du domaine. Attendons nous encore a des coupures d'électricité cet été.
nosprochaines générations de tout contretemps ou de tout fiasco qui ne demandent aucun avis de n'importe qui soit-il de survenir
Ce pays est tellement mal ger2 qu il est facile de trouver entre 1 a 10 milliards de dollars par an et je pese mes mots