
Crédit Photos : The Legal Agenda
Une foule de citoyens s’est rassemblée, mardi 15 avril 2025, devant le Théâtre municipal, en plein cœur de Tunis, pour exprimer sa colère et sa tristesse après le tragique effondrement du mur d’un établissement secondaire à Mezzouna, dans le gouvernorat de Sidi Bouzid.
Survenu la veille, ce drame a coûté la vie à trois élèves et fait deux blessés graves, déclenchant une vague d’indignation à travers le pays.
Les manifestants ont scandé des slogans dénonçant des politiques publiques jugées injustes, notamment en matière d’infrastructures et d’investissements dans les régions de l’intérieur.
Crédit vidéo : Kashf
À travers pancartes et cris, les protestataires ont mis en lumière un sentiment persistant de marginalisation dans plusieurs zones défavorisées, où les établissements scolaires souffrent d’un grave manque d’entretien et de ressources.
Certains manifestants ont également appelé à un changement radical du système, qu’ils disent voué à « s’effondrer », n’hésitant pas à établir un parallèle avec la rigueur affichée par le régime lorsqu’il s’agit de restreindre la liberté d’expression et de « surveiller les murs sur les réseaux sociaux ».
M.B.Z
Crédit vidéo : Kashf

Vous n'avez rien retenu du coup d'Etat de 2011.
La prochaine fois, ça en sera fini de la Tunisie, yali mè ti7'mdouch Rabbi.
Vos cervelles sont aussi stériles et improductives, que les étables et les écuries, sanctuaire originel des bagla-liha.

