
L’ouverture de la Conférence des cadres du mouvement Nidaa Tounes a été marquée par l’annonce de l’adhésion de nombre de personnalités nationales au parti.
C’est ainsi que Maher Ben Dhia, ancien ministre et ex-membre de l’UPL, a indiqué qu’après un temps de réflexion, il a décidé d’intégrer les rangs de Nidaa où il a trouvé un accueil favorable et une convergence des idées auxquelles il croit.
D’autre part, Sofiene Toubel, chef du bloc parlementaire de Nidaa, a annoncé le retour de Mondher Belhaj Ali, le ralliement de Mohsen Hassen, d’Alifa Farouk, Ridha Bouajina, Samir Abdelli, Majdouline Cherni et bien d’autres.
M. Toubel a ajouté que près de 40 personnalités feront leur adhésion à Nidaa en attendant une deuxième liste qui sera révélée ultérieurement, sachant que le parti est en train d’entreprendre des contacts en vue de faire intégrer plusieurs noms au sein du parti.
A noter, par ailleurs, que, contacté par Business News, Mondher Belhaj Ali a précisé que « sa présence, aujourd’hui, à la Conférence des cadres de Nidaa, constitue un pas positif, mais qui demeure insuffisant », selon ses propres termes.
S.H
Commentaires (17)
Commentermajdouline, SOCRATE est ressuscité
Les prostitué(e)s de la politique
Mais chez nous c'est devenu une gymnastique très prisée.
Certains quittent une "maison" pour gagner plus ailleurs mais ils y reviennent par "nostalgie".
Surtout quand on est ventru.
J'ai respecté l'égalité des sexes conformément à la Constitution.
On s'en fou !!
Demandez-leur de voter à notre place.
Un parti ne gagne pas avec des personnalités fabriquées de toute pièce par l'appui de politiques et de médias. Il se gagne par un programme convaincant et pas par des personnalités convaincantes ou connues.
La legion etrangere du futur parti unique
Nestor Burma
L'essentiel est de ne pas faire revivre au pays les années Troika qui ont abattu les fondements de la Tunisie au lieu de restaurer ce qu'il y avait à restaurer, et dont les conséquences néfastes suivront le pays cinquante ans encore, même en cas de reprise en mains immédiate du pays dans le sens du progrès.
L'éparpillement n'a que trop duré et s'il persiste notre pays est dans de beaux draps. Pourvu que le rassemblement se développe encore plus en faisant abstraction des maudits égos.
Malheureusement chez nous les dés sont pipés.
Les pays démocratiques modernes choisissent entre droite et gauche. Quoi de plus naturel en ce 21ème siècle. Nous par contre on a à choisir entre progrès et passé. C'est une règle du jeu moyen-âgeuse imposée car une partie du peuple se laisse berner facilement et ça durera encore un bon bout de temps.
Donc autant s'y préparer à temps.
Amicalement.