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Limogeage de la directrice du centre des personnes âgées de Grombalia
12/04/2019 | 17:57
1 min
Limogeage de la directrice du centre des personnes âgées de Grombalia

 

La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, Naziha Laâbidi a décidé, ce vendredi 12 avril 2019, le limogeage de la directrice du centre de protection des personnes âgées de Grombalia ainsi que la suspension du « surveillant » de l’établissement, à la suite de la diffusion hier soir, du reportage des "Quatre vérités" sur la chaîne privée ElHiwar Ettounsi, consacré à l’agression des pensionnaires du centre.

 

Naziha Laâbidi a autorisé, à l’issue d’une réunion d’urgence, la direction des Affaires judiciaires à déposer une plainte concernant les dépassements enregistrés et de poursuivre en justice le surveillant, ainsi que toute autre personne impliquée dans l’agression des pensionnaires du centre.

 

S.H

12/04/2019 | 17:57
1 min
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Commentaires (9)

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Monia
| 13-04-2019 14:47
pas étonnant du tout, pour comprendre il suffit d'humer "l'air du temps" de la gauche "caviar" soi-disant près du peuple, juste pour s'en mettre "plein les fouilles" à l'instar du clan opposé tout autant populiste et "goulu", se disputant le même électorat. Il faut croire que le jeu en vaut la chandelle pour ainsi saborder les valeurs fondamentalement patriotiques.

Najib
| 13-04-2019 11:26
Le travail dans l'esprit du patron de la boite , Sami Elfehri , et du " khouanjisme " du maître Chakib , oblige l'animatrice à n'attribuer sa gratitude qu'à Tabboubi , le couvrant d'éloges , essayant de faire comprendre que la ministre n'a pris les mesures de limogeage et d'ouverture d'enquête qu'après aval du gourou de l'UGTT , car la crapule auteur du crime est l'un de ses sujets syndicalistes . " Entrer avec ses idées et sortir avec les idées du chef " est la règle que suit actuellement la plupart des pseudos journalistes , chroniqueurs et animateurs des médias tunisiens . C'est une condition nécessaire , surtout , dans les médias privés afin de garder son job . On n'est plus à l'époque où le journaliste est penseur , philosophe , historien et artiste .

Muriel Bessis
| 13-04-2019 10:13
Il serait important d'apporter un contrôle très stricte en ce qui concerne le personnel de ces associations ..Les témoignages sont nombreux

A__Zut !
| 12-04-2019 21:14
Erratum.
Et double zut !

A__Zut !
| 12-04-2019 21:11
Erratum.
Et double zut !

A__Zut !
| 12-04-2019 21:05
Il n'en fallait pas moins de la part du Département.

Même si le ministère public avait et a encore la possibilité de s'autosaisir de l'affaire sans attendre un dépôt de plainte.

Notamment pour ce qui concerne les actes de maltraitance de cette communauté fragile (les retraités dudit Centre) commis à l'intérieur et par un ou des agents de l'institution même qui en avait la garde.

On s'attend, par ailleurs, à ce que la suspension du "surveillant"(sic) de l'établissement soit suivie d'une mesure disciplinaire de renvoi, indépendamment de toutes poursuites pénales pour agression caractérisée, voire aussi, pour ce qui semblait être une tentative d'enlèvement du journaliste d'El Hiwar Ettounsi.

Mais qu'en est-il de ses complices ? Ne devraient-ils pas faire également l'objet de mesures disciplinaires __avant d'éventuelles poursuites ?

On peut, enfin, légitimement se demander comment les faits de maltraitance à l'intérieur du Centre ont pu se produire et durer dans le temps jusqu'à parvenir à l'oreille de journalistes mais non à celle de sa hiérarchie et/ou de son autorité de contrôle !

Trançonneuse
| 12-04-2019 20:09
il suffirait que Belloumi arrête son émission pour que le pays tombe dans l'impunité totale... ce n'est pas logique et que font les inspections?

HatemC
| 12-04-2019 18:36
Tous les salariés sont impliqués et complices '?' aucun ne peut dire qu'il n'a rien vu '?' TOUS COMPLICES et TOUS a enfermer '?' hommes et femmes '?' HC

Zohra
| 12-04-2019 18:24
Indignes, irresponsables, profiteurs,. Chaque jour qui passe une catastrophe. Massaibs