La question de la légalité et de la constitutionnalité du 25-Juillet ayant été très largement commentée, une question – pas la seule mais non des moindres - subsiste à l’heure actuelle : Kaïs Saïed sait-il où il va ? Et surtout où il nous emmène avec lui… Difficile à dire, vu qu’il ne nous le dit pas. Sauf si l’on veut se contenter de la moitié du quart de la vérité. SA vérité.
Depuis le 25-juillet, désormais date triplement historique, Kaïs Saïed nous dit de lui faire confiance mais nous prouve, chaque jour un peu plus, qu’il navigue à vue. Tout en ne nous donnant nullement le moyen de lui accorder le bénéfice du doute ou de nous faire notre propre opinion. Pour l’instant si ses discours sont tout à son honneur, les faits ne le servent absolument pas.
L'un des exemples les plus parlants étant celui du communiqué du 23 août, par lequel le président prolonge les mesures exceptionnelles prises un mois auparavant en vertu de l’article 80 de la Constitution, et ce…jusqu’à nouvel ordre.
Que veut-dire ce « à nouvel ordre » ? Il veut tout simplement dire qu’il ne sait pas encore quand tout cela sera concrétisé et prendra fin, étant donné qu’il n’a pas de plan qui va jusque-là. Le climat de flou qui règne à Carthage est la porte ouverte à toutes les divagations mais aussi à toutes les peurs.
Le fait est qu’on ne sait pas de quoi demain sera fait et Kaïs Saïed non plus ne le sait pas. Le président de la République qui a réussi à décrocher le sésame sans avoir eu besoin de faire campagne « dans le sens classique du terme », semble penser que le flou est une formule gagnante. Il continue de croire qu’un président qui n’accorde aucune interview à la presse, ne donne aucune allocution au peuple et n’a pas d’organe de communication officiel semble être une bonne chose.
Les Talibans ont pris le pouvoir à Kaboul il y a quinze jours. Mais eux, ont déjà quelque chose que nous n’avons pas encore. Ils ont déjà un porte-parole qui s’exprime au nom du mouvement et accorde des interviews aux médias pour expliquer au monde ses desseins sur la prise de pouvoir de l’Afghanistan. Ironie mise à part, en Tunisie, nous n’avons pas ce luxe.
La présidence tunisienne reste, à ce jour encore, sans porte-parole ni chargé de communication attitré. Pour déceler le vrai du faux, un conseiller au portefeuille et aux attributions non clairement définis fait office d’homme à tout faire et assume à lui-seul la sale besogne de répondre à toutes les questions. Encore faut-il qu’il en connaisse les réponses.
Pour connaitre les desseins du président tunisien, seul maitre connu à bord, il faut se limiter aux communiqués laconiques de Carthage et déchiffrer les rictus, mimiques et tirades passées entre les lignes pour comprendre – ou du moins essayer – ce que le président veut nous dire et ce qu’il compte faire. Que veut dire le regard enflammé de Kaïs Saïed et ses menaces lorsqu’il a dit, à Bir Mecherga, qu’il « traquera les spéculateurs où qu'ils soient ». Que veut-il dire affirmant avoir été obligé de « prendre les choses en main » en s’adressant au vice-président de la Banque mondiale pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, Ferid Belhaj ?
Kaïs Saïed, toujours aussi mystérieux et insaisissable, adore enrober ses déclarations d’une bonne couche de flou lui offrant le confort de ne pas révéler ce qu’il ne veut pas ou ne veut pas révéler.
Du haut de sa prise de pouvoir, Kaïs Saïed ne fait pas encore la différence entre communication et propagande. Se suffire des simples communiqués de la présidence à l’heure où l’opinion publique se pose mille et une questions sur les mesures prises, leur justification et leur limite, dans l’application mais aussi dans le temps qui leur sera accordé.
Les journalistes, seul pont entre le pouvoir et le citoyen, sont-ils capricieux de vouloir être informés afin d’être en mesure de comprendre pour pouvoir analyser et ainsi répondre aux questions ? N’est-ce pas là l’essence-même de leur existence et leur unique raison d’être ? À quoi serviraient-ils autrement si ce n’est pour éclairer le citoyen et répondre à son droit le plus absolu de connaitre la vérité qui le touche de plus près ? Un flou artistique règne à Carthage et avec, un climat de peur. Journalistes et citoyens ne sont pas les seuls à être largués – n’ayons pas peur des mots – les fonctionnaires de l’Etat le sont eux-aussi. Ministres y compris. Comment peuvent-ils prendre des décisions alors qu’ils ignorent s’il y aura quelqu’un derrière pour les épauler ? Les décisions importantes relatives aux relations internationales ou à la politique et stratégie de l’Etat sont mises sur pause en attendant des jours meilleurs. On ne sait pas si on sera là demain si même si on sera là pour y prendre part. Tout le monde est sur un siège éjectable et tout le monde attend une sentence qui peut tomber à tout moment. Une épée de Damoclès qu’on ne connaissait que trop bien sous Ben Ali…
Alors que la scène régionale bout en attendant que des informations claires soient enfin données sur la situation du réfugié politique algérien, Slimane Bouhafs – placé depuis 2018 sous la protection du Haut-Commissariat des Nations Unis pour les réfugiés (HCR) à Tunis – qui aurait été livré aux Algériens en échange de Nabil Karoui, arrêté en Algérie. Confirme-t-on du côté des Affaires étrangères tunisiennes ? On ne pipera mot de peur de commettre un impair. Pire encore, le ministre des Affaires étrangères, Othman Jerandi loue « le nouveau tournant engagé par le président de la République », depuis les mesures du 25-Juillet.
Un climat de peur règne à Carthage. Le flou n’arrange rien. Il ne fait qu’envenimer une situation de plus en plus inquiétante et qui risque de s’éterniser « jusqu’à nouvel ordre ». Ou, du moins, jusqu’à ce qu’on veuille enfin nous expliquer ce qui se passe exactement dans ce pays, encore une fois, livré à l’inconnu et à l’improvisation…
L'équipe gagnante aimant partager ses coups de coeur - elle a le goût fiable, sûr et bon *-, vous invite à écouter en guise de remerciements, Les Gymnopédies et Les Gnossiennes d'Erik Satie**.
Même si elle doute que vous ne connaissiez déjà.
Vous le valez bien.
Ne pas prendre pour une quelconque tentative de corruption ou graissage de patte.
Nous ne mangeons pas de ce pain.
Toujours fair play.
Bien à vous.
* En toute modestie...ha ha ha.
** Ames vulgaires, s'abstenir.
Et, cela suffit pour disqualifier son auteur.
Je ne vous ferais pas même l'honneur de vous faire la répartie, ou vous opposer des arguments, ce serait accepter de dialoguer avec l'infâme.
ceux qu'on voit à l'aéroport sont des Traitres, Collabos ... ou des immigrés économiques.
la majorité veulent vivre en Afghanistan, musulmans comme leurs ancètres et fiers de l'ètre.
GROW UP !!!
Mais ça, pour qu'une raclure de sedanwatelooser puisse le comprendre il lui faudrait lire un peu plus de livres que le coran qui ne génère qu'un courant faible à très fiable, mais suffisant en tout cas pour gripper les comprenettes presque inexistantes et/ou désespérément prises dans les sables mouvants de la bêtise. . .
MPP.
La seule différence entre une religion et une secte est la taille, soit les ravages causés dans les esprits.
Une religion n'est rien d'autre qu'une secte qui a réussi. Les deux plus puissantes l'ont fait, l'une par le glaive, l'autre par le cimeterre.
Aujourd'hui en France, les fantômes tout de noir bâchés, les sécessionnistes enturbannés et les séparatistes en seroual animés d'esprit de conquête sont les meilleurs v.r.p. d'Eric Zemmour et Marine Le Pen.
En fanatisme, Sedan ne le cède en rien à Frankofob et Water Leakage. Il ne sait ni qui il est, ni où il habite.
Bien à vous.
Une seule et même personne. . . sinon la même engeance !
Avec les mêmes tics pitoyables et infâmes de scribouillis. . .
MPP.
Vu le score, il y a au sein de notre équipe un meilleur buteur que l'autre.
On ne va pas s'arrêter à ce détail.
MPP et moi dirions bien volontiers que nous sommes infiniment supérieurs, mais notre modestie légendaire nous empêche de le faire*.
Bien à vous.
Paraphrase "innocente" de la la fameuse réplique d'Erik Satie...juste pour vous faire sourire.
La seule chose qui va lui faire revenir sur Terre est de voir les foules dans la rue.
Ce ne sera surement pas les Tunisriens qui sont sortis chanter et danser le soir du 25 Juillet mais plutôt ceux qui ont vraiment peur pour notre Tunisie et qui ont plus de quelques milliers de neurones encore en place et opérationnels.
A tous ceux là, je vous supplie de vous organiser en urgence et d'aller manifester le plus rapidement possible en nombre pour redonner à Mr notre Fou de Président un message clair.
Nous ne lui faisons absolument pas confinace sur la suite des évènements, ni à lui ni à tous les vautours qui commencent à l'entourer.
Nous voulons revenir à la DEMOCRATIE basée sur la seule CONSTITUTION.
Sinon c'est facile de faire le bravache en tapant sur le clavier au lieu de taper sur les flics. . .
MPP.
the people must take it to the street . NOW.
WAKE UP !!!
sublime humiliation.
félicitations pour Hamas, qui a aussi forcé les sionistes puants à quitter le sud Liban, les mains vides.
sublimes humiliation. depuis l'air est plus pur.
les sionistes ont voulu arracher un accord sur le Golan. Assad a dit NIET. tout le Golan ou rien.
l'égypte n'a jamais retrouvé sa plaine souveraineté dans le Sinai.
dans tous les cas çà confime le dicton: si vis pacem, para bellum.
la force finit par payer.
ils nous reste a faire de mème, pour le Franalphabétisme, la francophonie, la colonisation qui perdure depuis 1881.
il faut dégager de force, la France ses laquais et sa pourriture coloniale, sa polytechnique et son uniforme de l'armée française, ses "grandes écoles" = noblesse de diplome d'un autre àge.
get rid of France, their language and system. NOW !!
WAKE UP !!!
1- relancer l'économie
2- relancer un dialogue social, sans doute en premier avec l. 'ugtt et l' utica, forces plus structurées que les partis actuels.
3- mettre en place la décentralisation de façon à créer une classe politique loc'locale en contact avec les citoyens.
Après, Ks verra
pwahahahahaha ....
On a fait la campagne pour lui, il n'a pas gagné avec une bouteille d'eau et un capoussin comme on dit. Un grand nombre de pages sponsorisées travaillaient pour lui.
Sinon le pays est pratiquement à l'arrêt, les médias ont peut, l'auto-censure est de retour, a part BN, zitouna et Mekki sur Mosaïque fm, personne n'ose critiquer Kais Saied et ses agissements, tous des signes annonciateurs d'une dictature qui s'installe.
on ne les entend plus !!!
Maintenant pour résoudre le problème et solutionner les obstacles classiques en cours de route, il n'est plus question de s'appuyer sur l'aléatoire après avoir pris le taureau par les cornes ; le 25 juillet n'a pas été le fruit d'un hasard mais d'une réflexion basée sur plusieurs données et paramètres.
Bon, généreux, Anti-sceleratus...
And would you believe, anti-misogynist. It's true.
For a very special person:
https://m.youtube.com/watch?v=C3P9ACu0YKo
https://www.aldiwan.net/poem46398.html
There's a dark secret in me
Don't leave me left in your heart
Set me free
Feel the need in me
Set me free
Stay forever and ever, and ever, and ever
A.K
La merdouille tunisienne, bah ... on ne sait vraiment pas comment l'appeler !!!
Et du coup les talibans eux, ,ont les chinois les russes les turques , les qatarie, les iraniens et viendront après les américains qui se bousculent pour faire des affaires avec ....eux !!!
La merdouille Tunisienne n'a vraiment personne qui se bouscule pour faire des affaires avec elle !!!
La merdouille tunisienne n'a pas de boussole !!!
Je ne sais pas s'il est arrivé un jour à KS d'exposer ses "dessins". . .mais jusqu'à plus informé, ce qui intéresserait éventuellement les Tunisiens ce serait plutôt "les desseins" et/ou "les intentions" du Président de la République. . .quant à la suite des réjouissances. .
Et comme je n'ai pas vraiment lu plus de cette prose remarquable, je m'arrêterai donc là !
MPP.
J'ai tout lu. De haut en bas.
Il y a une paire de "dessins".
Je ne peux pas dire que ce fût un plaisir pour les mirettes.
J'ai la faiblesse de préférer celles des plages du temps jadis.
'?coutez Slim Gaillard dans "Laughing In Rythm" et "Arabian Boogie". C'est hilarant.
Bien à vous.
Et le paradis n'était même pas en fête ! (*)
C'est vrai que les plages (des hôtels) en Tunisie dans les années 70-80 en étaient "bien pourvues". . .et il y avait de quoi se rincer l'oeil. . .en se rinçant la glotte en belle compagnie.
Depuis, les "nonnes et les nonettes" ont tellement saturé l'horizon. . .jusqu'à vous dégoûter de mettre un pied hors des espaces libres de tout ratichon et de toute "belle-fait-gore". . .
Quant à la performance, jusqu'ici inégalée (?) d'écrire un livre sans un traître mot comportant un malheureux "E". . .fallait le faire !
Disons qu'il a ajouté son empreinte à la mode d'alors du "nouveau roman". . .
Savez-vous d'ailleurs qu'il existe une rue dans le 12ème Arrondissement de Paris dont la plaque est ainsi facétieusement libellée " RU G ORG S P R C" ?
Au plaisir de vous lire. . .
MPP.
(*) Il paraît que c'est là où "les saints dansent". . .quand l'été s'installe, que les robes deviennent si légères et que la mode "braless" exorbite(**) les hommes. . .et certaines femmes !(**)Attention. . . double sens. . .
Slim Gaillard a réussi (grâce à vous) à me dérider et à me faire oublier la donzelle et ses "dessins" insipides. . .
Sous des traits rigolos, Slim Gaillard était un très bon guitariste et encore meilleur au Piano. . . avec des mains immenses(*)qui ne enlevaient rien à son jeu spectaculaire. . .
Un mec qui arrive à faire de la musique en "trempant son pain dans le café"(**) ne peut être qu'un "type bien". . .
Encore merci. . .
MPP.
(*) https://www.youtube.com/watch?v=qphs31yLcZk
(**) https://www.youtube.com/watch?v=ntUNRiC5-z0
Content que vous ayez apprécié.
Merci pour les références.
Je ne doute pas que cela me déridera les zygomatiques.
Je ne l'ai plus écouté depuis des années.
C'est le temps des rappels...
Bien à vous.
PS. Clin d'oeil, bien que je pense que vous avez bien compris, merci pour le "bon point" dont vous avez gratifié @ Correcteur.
Venu de vous, c'est un honneur.
Pour le "e" disparu de "dessins", croyez-vous que l'auteure a abusé de "La disparition"* de celui qui vécut un temps sous nos latitudes, Georges Pérec ?
Pardon pour cet aparté hors sujet; ce bon point fait remonter en moi un bien vieux souvenir, ma petite madeleine. Nous étions en
5ème année primaire, notre prof d'arabe pose une question à laquelle je donne la bonne réponse. Pour me récompenser, il me donne quelques dattes gardées dans son placard. Sur le chemin du retour, une ribambelle de camarades chauffée par une furie du nom de Nezha, me pousuivit jusqu'à la maison au cri de "mazghoum". Aujourd'hui, j'en souris, c'est ma petite datte. Sur le moment, c'était loin d'être drôle*.
J'ai, de loin, préféré "La vie, mode d'emploi".
Je prétends toucher ma bille en "arabe" également, mais là je cale lamentablement. . .
Bien à vous. . .
MPP.
"Mazghoum" est disons un mélange de gourmand et vorace qui devrait arrêter ou repousser l'offre mais qui en est incapable. Il n'entendrait que l'appel du ventre.
Merci pour le commentaire au sujet de G. Pérec. Une chose me chagrinera toujours. On dit que par ses rejets toxiques, l'usine NPK de Sfax a contribué à ruiner sa fragile santé.
"Les choses" de la vie.
Portez-vous bien.
Mon jeune frère qui était rondelet pendant son enfance et qui ne se refusait rien mais vraiment rien, fut affublé par la fratrie de "boukerche" ou "boutohche". . .termes certainement plus méchants que "mazghoum". . .
En tout cas j'aurai enrichi mon vocabulaire grâce à vous !
Quant à G. Perec (*) je doute que ce soit son court séjour sfaxien (1962) qui fut la cause de son décès, car "il fumait comme un pompier" et quand on lui diagnostiqua un cancer des poumons il ne lui restait hélas ! que qqs mois à vivre. . .
Mais quelle vie intense il a vécu, courte mais finalement assez tragique par certains côtés. . .la matrice de son chef-d'oeuvre "La vie mode d'emploi" s'expliquant peut-être ainsi.
A bientôt sur d'autres "pages" peut-être (**) ?
MPP.
(*) Je l'ai fait à tort succomber à la mode du "nouveau roman", alors qu'il faisait partie de l'Oulipo. . . un autre "genre de littérature". . .
(**) J'imagine les gens de BN se posant la question s'ils n'ont pas ouvert "le dernier salon où l'on cause bouquins". . .
Merci pour ces explications au sujet de G. Pérec.
J'ai rarement été aussi triste en refermant un roman qu'en achevant la lecture de "La vie, mode d'emploi". Infiniment triste que ce pauvre Bartelbooth
-pardon, je n'ai pas le temps de vérifier l'orthographe- n'ait pas pu réaliser son rêve un peu fou.
"L'élégance du hérisson" de Muriel Barbéry, chez Gallimard, reprenant le même procédé sur lequel est construit "La vie, mode d'emploi", la vie d'un immeuble, a rencontré un grand succès, cependant il reste à mes yeux loin, bien loin de l'oeuvre de G. Pérec.
Le charme de BN est de nous autoriser ces sorties de route. Je leur en sais gré.
Avez vous connu "Les Papous dans la tête" de France Culture , aujourd'hui hélas disparue ?
On dit que G. Pérec et R Queneau étaient du premier cercle. Rien que des oulipiens ou presque. Un des leurs, Hervé Letellier a remporté le dernier Goncourt.
Ma journée a commencé avec vous. Elle s'achève de la même manière. Je ne m'en plains pas.
Au plaisir.
PS. Bien vu pour mazghoum. Disons que j'aurais été plus explicite si je l'avais traduit par glouton. Je n'ai pas l'appétit féroce, même si je n'ai pas un mauvais coup de fourchette. Guère plus de soixante kilos tout mouillé.
Alors mazghoum...
J'ai fait une rapide recherche sur le site de France Culture(*) et figurez-vous que j'ai troué une émission programmée pour le samedi 4 (aujourd'hui donc) à 19h heure française qui s'intitule :
"La Vie, mode d'emploi" : samedi 04 septembre 2021 (28mn)
Et j'ai même trouvé trace des "Papous dans la tête"(*), sans encore avoir eu le temps de. . . remonter le temps. . .ni les archives, ce qui devrait rester possible donc. . .
A +
MPP.
(*) https://www.franceculture.fr/programmes
(**) https://www.franceculture.fr/recherche?q=papous+dans+la+tête
Je vous encourage vivement à remonter le temps. Vous n'en regretterez rien. C'est vivifiant.
Des jeux littéraires où vous croiserez entre autres François Caradec, J. B. Pour,
H. Letellier, H. Cueco, Vassili Alexakis, Serge Joncourt et bien d'autres...
Et pour finir, le "cinglé du music hall" J.Ch. Averty collectionneur fou de vieilles galettes pour des "gidouilles rares pour vos zoneilles".
Vous m'en donnerez des nouvelles.
L'émission s'est arrêtée, Françoise Treussard n'avait plus la force de continuer.
Nous sommes beaucoup à en être meurtris.
Bonne écoute.
Sans être "passéiste" pour un fifrelin, je dois dire (naïvement ?) que nous avons beaucoup perdu avec les temps présents. Et j'ai plaisir à vous dire que dans le temps, je ne ratais aucune reprise de cette émission télé des "Cinglés du Music-hall" aujourd'hui disparue hélas !
Car en plus de mon amour invétéré pour la musique (en général(*) et classique (prioritairement Schubert et Ravel. . .) j'adore également les vieilles "chansons à texte" style Aristide Bruant. . . et les chanteuses de ce temps-là comme Germaine Montero, Fréhel ou Marie Dubas. . .etc.
Je vais essayer de retrouver les gens de l'Oulipo de France-Culture. . . et je vous en toucherai un mot. . .
A bientôt. . .
MPP.
Et le "legato" alors ?
Surtout quand on cause zizique !
Merci de lire :"qui n'enlevaient rien"
MPP.
Je ne le ai même pas vu.
La vérité si je mens. La vie de mon maire.
Legato, ma non troppo.
Bien à vous.
Avoir un porte parole c est pas le plus important
Pendant 10ans on a eu des portes paroles des commissions des élections des campagnes électorales à la noix '?'
Que du fake
Un simulacre de démocratie
Ras le bol
Du trompe l '?il
La situation actuelle est loin d être idéale
Mais mais mais
On est peut être entrain de se débarrasser des vendeurs de religion, de certains députés voyou etc
Et ça c est un acquis que personne auparavant n a oser aborder
Pourquoi? Mystère!
A propos, un dessin est... un dessin, un dessein est un but.
L'analogie entre Saied et Taliban est la prise du pouvoir par la force des armes.
Désolé pour vous chère madame S. Tajine. Aucune comparaison entre les Talibans et les manifestations du 25 juillet dernier ni entre les deux pays n'est rationnelle. Ce qui se passe en Afghanistan est tout simplement une énorme défaite des USA. (Le temps déterminera bientôt quelle sera la signification de ces trois lettres) Jusqu'à nos jours ça a signifié une hégémonie mondiale équipée d'armements comme jamais aucun pays auparavant. Selon les dire de Jimmy Carter, en deux siècles, seulement 16 ans sont passés sans guerre. Sinon les USA étaient toujours en guerre en train d'exterminer un peuple quelque part. Et à chaque fois ils sont repartis presque sans faire de bruit. Aujourd'hui ils se sont enfuis de l'Afghanistan en abandonnant une bonne partie des armements entassés dans ce pays.
En 1975, ils ont fui de la même façon le Vietnam. Mais les données étaient totalement différentes et ils ont pu se remettre. Cette fois-ci la débâcle est absolument mortelle. Ils ne se relèveront plus jamais. L'humanité va finalement pouvoir respirer et non mourir étouffée sous les genoux du Monstre comme l'a été le pauvre Jorge Floyd sous le genou du policier.
Eh bien les Talibans ont lutté durant plus de vingt ans contre l'invasion de leur pays. Donc chère madame 20 ans ne sont pas 15 jours'?'Au-delà de la comparaison provocatrice, la situation dans le pays est loin d'être chaotique comme à Kaboul par exemple et ce qui va et doit être définitivement changé en Tunisie ne peut pas se faire en quinze jours. Il y a une accumulation de problèmes dans le pays qui dure depuis plus 70 ans ne va pas être facilement transformée en quelques jours. C'est sûr que tout va changer. Tout un chacun doit apporter sa participation. Il y a déjà quelque chose qui a changé. Jamais plus on entendra plus parler de ce groupe d'imposteurs et d'escrocs, ni de leur constitution et encore beaucoup moins de leur cirque-parlement. Et ça été fait en moins de quinze heures'?' Patience chère madame S. Tajine.
Et vous donnez même votre propre exemple en affirmant que KS serait selon votre échelle des valeurs, "le nouveau dictateur". . .
MPP.
Vous êtes vraiment journaliste ?
Au cours de la dernière décennies, l'absence totale de maîtrise de l'information, la bafouille et la malhonnêteté, la déception, la maladresse, les fake news, la manipulation, la propagande qui font probablement couper la communication. C'est une stratégie, en utilisant les suspenses qui vous font tourner la tête. Bravo Monsieur le Président