Le tribunal administratif a affirmé avoir transmis à l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), à la date du 2 septembre 2024, des copies des jugements prononcés par son assemblée générale dans le cadre des recours portant sur la liste des candidats à la présidentielle du 6 octobre 2024.
Dans un communiqué publié à la même date, le tribunal administratif a assuré avoir aussi transmis immédiatement après la prononciation des jugements un certificat attestant desdits jugements aux deux parties en litige conformément à l'article 24 de la décision de l'Isie n°218 du 4 août 2014 portant sur les règles et les procédures de candidature à la présidentielle. Cet article indiqué que l'Isie est appelé à appliquer les jugements émanant de l'assemblée générale du tribunal administratif à condition d'en être informée par décision ou certificat.
Le tribunal administratif a, aussi, rappelé que selon l'article n°10 de la décision n°543 du 4 juillet 2024, l'Isie est appelée à annoncer la liste finale des candidats à la présidence au plus tard le mardi 3 septembre 2024.
Un communiqué qui vient démystifier les propos émis par le président de l’Isie annonçant ne pas avoir reçu de documents par écrit émanant du tribunal. Par ailleurs, l’instance électorale devait annoncer la liste finale le 3 septembre au plus tard, faisant que le tribunal était dans les délais.
L'Isie avait annoncé le 2 septembre 2024, l'exclusion des noms de Mondher Zenaidi, Abdellatif Mekki et Imed Daïmi de la liste des candidats à la présidentielle du 6 octobre 2024, malgré l'obtention par ces derniers gain de cause auprès de l'assemblée générale du tribunal administratif. Les trois ont annoncé ne pas reconnaître cette décision.
Parallèlement à cela et à la même date, le candidat à l’élection présidentielle du 6 octobre, Ayachi Zammel a été placé en garde à vue.
S.G
L'heure exacte!!!
Dans cette mascarade, il y a un sketch mal écrit !
Le T.A DOIT ENVOYER le jugement (AL HOKM) et non la prononciation du jugement (MANTOUK AL KOKM), et dans un delai de 48 heures.
Pour MEKKI le delai a expiré le jeudi 29/08.
Pour ZNAIDI le delai a expiré le Samedi 31/08
Pour DAIMI le delai a expiré le Dimanche 01/09
FATEKOM AL KITAAR. Et les Tunisiens sont très intelligents.
SALIM MANTOUK KHOBZA
Un tribunal descend dans l'arène, prend position politiquement, et insiste, au.nom de quoi, en vue de quoi et pourquoi.
La bataille fait rage depuis des années entre des parties dont le jeu est tout sauf transparent.
Cette échéance aiguise encore plus les différends puisque l'un des enjeux et peut-être le principal paraît la défaite de l'actuel président.
L'un des motifs avancés par les joueurs, et pas tous, serait l'état de l'économie.....voire la société.
On devinerait mal un meilleur cheval de bataille, l'objet étant rassembleur par essence, et c'est le terrain de prédilection si l'on veut se donner des airs qu'on n'a pas.
Sur ce point précis, aucun des prétendants, le vocable est bien choisi sans humour, ne brille par sa sensibilité sociale, ni par son sens de l'équité quand on écoute ce qu'on rapporte de leur prose.
Et, ils ont été servis, relayés, repris et même déclarés "compétents" pour la place visée.
On sait clairement qu'on cherche sa revanche, beaucoup n'ayant toujours pas digéré le coup du 25/7.
Comme disait l'autre à propos d'un président, Macron pour les intimes, c'est un bon président.
Si les affaires politiques du pays se résumaient à une appréciation des qualités personnelles, je crois même de ce point de vue notre juge aurait la vue basse.
Je constate le déchaînement de violences, même de menaces de guerre civile, ce qui rappelle un peu le chantage d'un certain islamiste réclamant avec délai impératif svp des milliards de "compensations ou indemnités", je ne sais plus.
Je m'amuse à la lecture de ces indignés, la moraline grasse, sans mémoire et sans dignité qui ont encore le culot de prendre la pause pour parler d'honneur.
Sans conviction, je voterai Kais Saied, et je ne donnerai jamais ma voix aux suborneurs, manipulateurs et prétendants de tout acabit.
Quand on vote, on choisit.
En général, on se passe des clbseiks "avisés" des juges, des journalistes et de tous les grands sachsnts qui ont cette qualité rare de savoir mieux que vous ce qui vous est utile, nécessaire, vital.
Et vous prédisent l'avenir du pays.
Pauvres juges.
Pauvres internats dépités.
Mais, rassurez-vous, nous avons encore de la compassion.
Ni d'ailleurs un pape.
Car l'homme libre, que le tunisien est, a toujours le choix et il n'est pas manichéen.
Ton cheval de course, "erudit" en droit constitutionnel, tout en bafouant et profanant royalement son domaine d'études, est aussi amateur et assoiffé de pouvoir que ces prédécesseurs affamés. Notre bonhomme, ne voulant pas retourner à la légitimité, persiste et signe en voyant des calomnies et des complots partout où il veut les voir. Pire, il procède à la politisation d'institutions indépendantes et d'une administration publique, supposées républicaines et impartiales. Une grave dérive.
Du risque d'un embrasement, réel, monsieur s'indigne ? En pur daltonien fait cependant la sourde oreille quant aux monologues incendiers de sidou. La guerre, il l'a d'ores et déjà entamée et ce n'est pas une guerre de libération. C'est une guerre du tout contre tout ! Plusieurs cadres supérieurs et hauts fonctionnaires l'attestent, c'est un vrai climat de terreur qui règne actuellement au sein de l'administration publique.
Un état ne peut jamais fonctionner ainsi !
Finalement, à quelques différences près, pape et anti-pape sont tous deux, les faces d'une même médaille, celle du conservatisme et de la radicalité, avec une bonne couche d'incompétence et de médiocrité. Ils ont beau maquiller résultats et indicateurs, non sans grossièreté et insolence, le tunisien sait.
Et tôt ou tard, il ne se laissera pas faire. Patience n'est pas soumission !
Hahaha mdr
A ce point en se permet tou
