
La porte-parole du tribunal de première instance de la Manouba, Sondes Nouioui, a indiqué, dimanche 21 avril 2024, que le parquet près le tribunal a confié aux agents de la brigade judiciaire la charge de mener les enquêtes nécessaires pour élucider les circonstances du cambriolage et du saccage du siège régional du Mouvement Ennahdha.
Selon les premiers éléments, l'acte de vandalisme e a été découvert dans la soirée de vendredi 19 avril. Le commissariat de police de la Manouba et le parquet ont ordonné la réalisation des constatations techniques et la collecte des empreintes après une première inspection des traces d'effraction à la porte du siège qui était fermé depuis avril de l'année dernière.
Le propriétaire du local a été auditionné, confirmant que le local était à sa disposition et qu'il était resté fermé depuis environ un an jusqu'à la date de l'incident, selon la même source.
S.H
La réalité fait mal, et l'être humain a tendance à vouloir l'accommoder avec haine et rancune envers celui qui la diffuse.
Tenez par exemple ce jeune homme de ma connaissance habitant à la cité olympique et qui convola en injustes noces avec une gonze de la cité Enasr dont il s'amouracha lors d'une réunion chez des connaissances mutuelles. L'homme en question alla même jusqu'à contracter de nombreux prêts à la BNA afin d'organiser sa nouvelle vie qui comprenait un mariage dans un hôtel 3 étoiles de la capitale ou le tout Tunis vint s'abreuver d'un mauvais vin.
Qu'elle ne fut pas la déception de ce jeune homme lorsque sa dulcinée, qui avait adopté un comportement insolite lors de sa lune de miel en Turquie, passa aux aveux. Elle lui avoua qu'elle n'était pas la fille vertueuse dont elle en avait l'air et que ses voyages précédents à Dubaï avaient pour but de servir d'objet a des hommes d'affaires ayant l'âge de son Père et dont la perversité n'avait d'égal qu'en leur bestialité. Son alibi principal fut que l'auteur de ses jours, en l'occurrence un Père a la retraite d'une usine gérée par un Sfaxien d'une avarice sordide, avait grande difficulté à s'acquitter d'une facture de la STEG dont les arriérés lui donnaient des insomnies.
Mais pis que ça, la jeune mariée avoua à son âme s'?ur désemparée que sa vertu fut réparée dans la période immédiate qui précéda leurs noces, des mains et du bistouri habile d'un chirurgien véreux de la capitale. Le jeune homme en état de dépression aigue, ressentit une haine intense envers certains de ses amis d'enfance qui vraisemblablement avait eu vent du passé brulant de sa futur épouse sans ne jamais l'en informer.
La révolution Tunisienne a des similarités avec la tragédie ci-dessus. Les Tunisiens sont passés de l'euphorie de la révolution ou ils étaient caressés dans le sens du poil par des sionistes malodorants venus les encourager, à un état de dépression et de désillusion, exacerbé par les écrits d'un flic de Ben Ali vivant de casse croutes au thon rance et de Boga Cidre.
La vérité fait mal et seul le temps peut guérir l'homme de sa douleur.
JOHN WAYNE
nettoyez le pays de la peste sioniste , asap.