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Le secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères en visite en Tunisie
Le secrétaire d'État aux Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement du Royaume-Uni, David Lammy, effectue une visite de travail en Tunisie le 31 janvier 2025, d’après un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères le même jour.
Selon le ministère, cette visite « vise à renforcer les relations d'amitié et de coopération tuniso-britanniques, qui connaissent un développement constant, notamment depuis la conclusion de l'Accord d’Association entre les deux pays en 2019 ».
Les deux parties vont également échanger sur les questions régionales et internationales d'intérêt commun.
S.F
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Commentaires
Vladimir Guez
Get Out
a posté le 31-01-2025 à 10:12
:;)
pour ceux qui ont vu ce super film de Jordan Peele.
pour ceux qui ont vu ce super film de Jordan Peele.
veritas
Trop dangereux ce ministre .
a posté le 31-01-2025 à 09:56
Ce ministre a des positions israéliennes comme il y'en a jamais eu il est prêt à donner sa vie pour l'état hébreux '?'il faut faire très attention il est très acharner et a des positions très ferme '?'cette visite n'inspire rien de bon .
Agatacriztiz
Une idée
a posté le 31-01-2025 à 09:16
Je sais pertinemment que ça n'a rien à voir, mais les britanniques pourraient investir dans une chaîne de montage de taxis, à l'image des "cabs" qu'ils ont en Angleterre et plus particulièrement à Londres, ce pour remplacer progressivement les tacots qui se permettent d'arborer le sigle "taxi" sur le capot de leurs antiquités.
Il paraît qu'ils en ont même des hybrides et des électriques.
Modèles uniques, peints en jaune, pour ne pas désorienter l'usager local, ces mêmes taxis verraient leurs futurs chauffeurs soumis à l'examen du permis de conduire "de places" atteignant la même difficulté que celui du permis des taxistes londoniens (un des plus durs du monde) pour avoir le droit de circuler dans la capitale.
Vu la capacité de voyageurs que peut ou pourrait autoriser la configuration
de leurs places assises, ils pourraient remplacer les "taxis collectifs", véritables nuisances des routes des villes tunisiennes.
Il paraît qu'ils en ont même des hybrides et des électriques.
Modèles uniques, peints en jaune, pour ne pas désorienter l'usager local, ces mêmes taxis verraient leurs futurs chauffeurs soumis à l'examen du permis de conduire "de places" atteignant la même difficulté que celui du permis des taxistes londoniens (un des plus durs du monde) pour avoir le droit de circuler dans la capitale.
Vu la capacité de voyageurs que peut ou pourrait autoriser la configuration
de leurs places assises, ils pourraient remplacer les "taxis collectifs", véritables nuisances des routes des villes tunisiennes.
Pépites
