
Le décret portant création du conseil supérieur provisoire de la magistrature est paru ce dimanche 13 février 2022, soulevant un grand débat parmi les observateurs de la scène nationale et ceux qui suivent de près le développement de la situation en Tunisie.
Une lecture du décret donne un aperçu de l’étendue des pouvoirs que s’est accordé le président de la République à ce niveau. « Le président de la République » a été cité quatorze fois tout au long du texte de ce décret. Rien que ce chiffre démontre la latitude que s’est accordée le chef de l’Etat pour contrôler l’autorité judiciaire, et principalement, le parcours professionnel des magistrats.
Un droit de regard du pouvoir exécutif sur la justice contre lequel des générations de magistrats se sont battus et qui s’était concrétisé par l’installation du Conseil supérieur de la magistrature, malgré ses lacunes.
Par simple décret, le chef de l’Etat a balayé toutes ces années de militantisme pour revenir vers une situation similaire à celle contestée avant la révolution de 2011.
S.H
2. Je vous attribue 10/10 en calcul pour avoir su dénombrer la citation de "Président de la République" dans le decret-loi
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Continuez d'hurler au loup, si Kais ne l'avait pas fait nous aurions terminé pour le plus grand bonheur des islamistes et corrompus en Afghanistan..
D'ailleurs ces derniers hurlent tans par crainte d'être poursuivis et condamnés pour leurs innombrables crimes depuis 10 ans, le pouvoir leur n'échappent ils en deviennent encore plus fou que le fou.
Kais SVP,je fais le même rêve depuis un moment:
Vous voir sacré Empereur des Tunisiens,comme le fut Bokassa!
Ti énti rkébr,rkébt,oukéft fi sbôo el kabéla? Allez courage,tenez profitez du prochain anniversaire le 20 Mars pour nous faire une de ces cérémonies à Carthage,avec votre sacre en grand;
Votre nom était prédestiné : ech nouwè Kais Said ouè éllè Kasr Said?
Allah yonsor Sidnè!