Ce qui s'est passé aux USA n'est que la suite, le couronnement presque logique d'un mandat présidentiel bâti sous le signe de la mise en cause du droit international et de l'expression brutale de la puissance. Ainsi, ce pays dont beaucoup y voient le symbole des libertés et des démocraties se montre sous son vrai jour. Méprisant les droits des peuples à disposer d'eux-mêmes, il érigé ses lois et règles en normes universelles. Un empire que rien ne semble freiner dans ses appétits et qui use de tous les ressorts pour perdurer. Temple du capitalisme et du libre-échange, il refuse aux autres ce qu'il s'accorde et s'en donne les moyens par la politique de la canonnière s'il le faut.
Cette violence qui s'exhibe en plein jour est inscrite dans son histoire toute coloniale, d'abord par le massacre des peuples autochtones, les Indiens, et la volonté concrète de soumettre tous les pays à ses choix.
Alors, lorsque les admirateurs d'un Trump y voit l'homme au service de son pays, America first, ils doivent désormais considérer sous un jour nouveau la réalité et noter qu'il est en vérité l'homme d'un clan, d'une fraction, celle des blancs contre le reste du pays.
Ce n'est pas du populisme, une notion vide qui sert d'opérateur de disqualification contre les politiques soucieux des plus petits, des sans grade ou sans statut, mais du racialisme, un proto fascisme qui a pour moteur une conception suprèmatiste en interne et dans le rapport à l'autre essentialisant comme lorsqu'il interdit aux musulmans l'accès au pays.
'?videmment, tous les USA ne sont pas homogènes ni réductible à ces politiques ou cette vision du monde et des relations internationales, il faut toutefois ne pas céder aux antiennes de tous les laudateurs qui s'aveuglent volontiers.
Je peine à trouver du positif, non point par idéologie comme y prêterait l'apparence de mon propos, mais surtout parce que je garde à l'esprit tous les crimes commis contre des peuples, et ceux qui s'accomplissant sous nos yeux avec cette assurance coutumière des USA et la complicité de tous les suiveurs prêts à applaudir avant même d'observer ou réfléchir.
Monsieur l'ambassadeur peut invoquer la paix, ce qui ne coûte rien et l'honore en tant qu'individu. La paix, nous la voulons, et pour ce faire elle requiert le combat. Combat pour la paix contre ceux qui, avec les armes, nous imposent leurs guerres et leur diktat. Ils massacrent pour "quelques dollars de plus" et au mépris de toutes règles déclarent les victimes ennemies.
Trump s'en va ? Les USA non.
Leurs menées impérialistes et impériales, non plus.

hein qu'en pensez vous les chéris chéris d'amour ?

Malgré tout ce qui se passe à l'ARP, la passation de pouvoir s'est toujours faite pacifiquement en Tunisie . Il y a déjà ça de pris. On va très bien où mène le populisme et les politiques qui s'appuient sur la division de la population.

Il faut destituer ce détraqué mental Donald Trump de la présidence des USA, d'une heure à l'autre, afin de ne pas détruire les Etats Unis par une guerre civile, qui ne laissera que des cendres dans le pays des destructeurs de l'Irak, des meurtriers des Musulmans et des souteneurs des juifs génocidaires de Gaza, occupants de la Palestine.
L'implosion de l'intérieur est pire que l'explosion de l'extérieur. Un demi-million de morts par le coronavirus, puis tout ce putsch tiers-mondiste inattendu et le malheur des Américains ne s'arrête pas là.
Prions pour nos frères les Américains, qui nous ont toujours soutenus en Tunisie!!!

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