
L’enseignant de théâtre et acteur de feuilletons de série B, Mhadheb Rmili continue son indécence avec des provocations à ceux qui le critiquent.
Aux médias qui ont soutenu son élève Nour Ammar, il oppose des injures qu’il poste depuis trois jours sur sa page Facebook.
Ce matin jeudi 8 décembre 2022, il monte en grade en proposant un suppositoire « anti Mhadheb » qu’on doit mettre avant de dormir.
Théoriquement, dans un pays qui se respecte, cet enseignant ne mérite plus de travailler au ministère de l’Éducation, rien que pour cette phrase.
Le ministère, dont la charge première est de dispenser une éducation convenable aux élèves, ne peut pas laisser ces élèves entre les mains d’un enseignant qui en manque.
Pour le moment, et malgré la polémique, Mhadheb Rmili continue à faire un pied de nez à tout le monde, devant le silence assourdissant du ministère.
Pour rappel, Mhadheb Rmili a été dénoncé par l’élève Nour Ammar dans une vidéo sur TikTok qui l’accuse de harcèlement et de manque de correction. La direction du lycée a balayé d’un revers les accusations et a traduit l’élève devant le conseil de discipline pour décider ensuite son renvoi définitif. Décision radicale qui a soulevé une polémique depuis trois jours.
Honteux et indécent.
Et puis, un enfant renvoyé de l'école, c'est comme un adulte condamné à la peine capitale.
vous me censurez à tour de bras et après quelque semaines ou quelques mois vous adoptez ce que vous m'avez censuré'?'encore une fois Mille bravo '?'la vérité et rien que la vérité qui leur fait mal et qui les empêches de dormir .
Eeeeeh Mme la Directrice du lycée qui s'est évertuée à le défendre, ceci ne vous choque pas également ?!!!! Ahhhh wi j'oublie comme elle a dit "ifadlek" !!!! porka miseria !!!!
Il est paradoxal de constater que le délégué général de la protection de l'enfance n'a pas encore réagi.
Par ailleurs, dans le cas de cette élève, je conseille les procédures suivantes :
1. Alerter le délégué général ou régional de la protection de l'enfance pour agressions psychologique et maltraitance.
2. Saisir l'avocat général près le tribunal de première instance territorialement compétent pour persécution psychologique et harcèlement (crime contre une mineure) après avoir obtenu un certificat médical initial descriptif des lésions psychologiques
3. Se plaindre auprès du ministre de l'éducation car c'est lui et seulement lui qui a le pouvoir de décision ; sinon
4. Saisir le tribunal administratif et demander l'annulation de la décision de révocation pour abus excessif de pouvoir
5. Saisir le premier président du tribunal administratif pour ordonner de surseoir l'exécution de la décision de révocation jusqu'à ce que le tribunal statue dans l'affaire d'abus de pouvoir.