La délégation de la commission des affaires étrangères du Parlement européen (Afet) a condamné, jeudi 14 septembre 2023, le refus de la Tunisie de la laisser entrer dans le pays.
« Nous condamnons la décision des autorités tunisiennes de refuser l'entrée à la délégation de la commission des affaires étrangères du Parlement européen et exigeons une explication détaillée. Cette conduite est sans précédent depuis la révolution démocratique de 2011 », lit-on dans une déclaration.
Le même communiqué ajoute : « Nous restons prêts et soulignons l'importance du dialogue, y compris sur les questions critiques. Nous rappelons que ce Parlement a toujours approuvé le programme de coopération global, notamment le renforcement de la démocratie et le soutien financier, comme convenu dans l'Accord d'association UE-Tunisie.
Nous restons convaincus, comme l'exige l'UE depuis juillet 2021, que la situation économique et sociale désastreuse en Tunisie, encore aggravée par la crise humanitaire, nécessite de toute urgence un dialogue national global sans lequel les perspectives d'un développement politique et économique stable en Tunisie restent incertaines ».
Notons que la délégation européenne devait arriver en Tunisie jeudi 14 septembre 2023 pour une visite de deux jours. Elle était composée de son Président Michael Gahler (PPE, Allemagne), Dietmar Köster (S&D, Allemagne), Salima Yenbou (Renew, France), Mounir Satouri (Verts/ALE, France) et Emmanuel Maurel (La Gauche, France).
Une visite qui faisait suite à une mission d'information de la commission des affaires étrangères en Tunisie en avril 2022, alors que le Parlement s’inquiétait du recul politique de la Tunisie en matière de règles démocratiques et de droits humains.
Notons que le ministère tunisien des Affaires étrangères avait adressé, à la date du 13 septembre 2023, un courrier à ladite commission dans lequel il indique qu’il a émis de « multiples réserves à l’égard de la visite de cette délégation », qui n’ont pas été prises en compte et donc que cette dernière « ne sera pas autorisée à entrer sur le territoire tunisien ».
Pour sa part, le député européen Mounir Satouri, l’un des membres de la délégation, a réagi, le 14 septembre 2023, dans un communiqué intitulé « Kaïs Saïed ferme la porte au Parlement européen pour mieux isoler les démocrates tunisiens ». Il a appelé « la présidente de la Commission européenne, la présidente du Parlement européen et le Haut représentant de l’Union à agir en conséquence pour que le gouvernement tunisien rétablisse des relations diplomatiques normales avec leur institution.
I.N. (D’après communiqué)
l entite sioniste que l UE protege et soutient, tue du palestinien, demolit leur maisons et en expulsent leur proprietaires chaque jour. ils s acharnent plutot sur la Tunisie et son president sur ordre des lobbys sionistes qui les manipulent.. De ces neo colonialistes qui veulent que la Tunisie, de nouveau redevienne leur protectorat inofficiel, en faisant tout pour deboulonner Kaeis Saied et le remplacer par leur harkis indigenes, le peuple tunisien en a plus que marre!
Tu n'es pas capable de manifester tout seul pour le pognon tunisien ?
Pourquoi parler uniquement de Bourguiba/Ben Ali ?
Tu es sûr que personne n'a pris dans les caisses après eux ?
Délocaliser leurs entreprises en chine vers la Tunisie.
100 entreprises par an.
Des crédits pour la création des entreprises pour les jeunes en agroalimentaire et les services touristiques.
Apparemment,elle n'a pas atteint son but puisque cette délégation de parlementaires EXIGE ,cette fois-ci une explication détaillée,je serais MAE,ce qu'heureusement je ne suis pas,je lui adresserais une nouvelle lettre,en ces termes:
"Allez vous faire ***!".
Je suis sûr qu'ils la comprendront et qu'ils se morfondront cette fois-ci ,hèl rkhass,en excuses.....
N'est-il pas grand temps que le Maroc, la Libye, l´Algérie, la Tunisie, l`Egypte et les Subsaharien... exigent le remboursement des centaines de MILLARDS de dollars plus frais d'intérêt volés par la bande d'Ammar Kaddhafi et la famille royale marocaine, la junte militaire algérienne et egyptienne, ainsi que par Bourguiba/Ben Ali et ses 40 voleurs, et qui se trouvent toujours dans les banques occidentales - avec un Ultimatum bien précis dans le temps: Une menace concrète et ferme de rompre les relations diplomatiques en cas de retard ou de refus ?
Délégues européens, occupez-vous plutôt de votre guerre en Ukraine, et laissez les tunisiens s'occuper de leur guerre contre la corruption, que vous n'arrêtez pas d'alimenter.