
Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, lundi 10 janvier 2022, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, pour débattre de plusieurs sujets en rapport avec l’actualité dans le pays, notamment, en ce qui concerne la « consultation électronique ».
Le président de la République a remercié sa cheffe de gouvernement pour les efforts déployés afin d'assurer le lancement de la « consultation électronique », soulignant : « Cette consultation n’est pas une idée nouvelle. Qu’ils examinent de près les expériences comparées à travers le monde. De plus, il y a la loi de 2018 portant sur les consultations publiques. Ils l’ont mise en place pour résoudre la crise de leur système, mais ils n'ont rien appliqué. Ils ont voulu apporter une légitimité populaire à leur système, mais ils ne l’ont pas organisée. Aujourd’hui, nous sommes en train de procéder à un « référendum électronique ». Nous voulons innover et inventer de nouvelles approches. L’idée étant de connaître les tendances du peuple en s’inspirant des autres expériences ».
Kaïs Saïed a poursuivi son discours, en prenant pour cible cette fois-ci les médias, indiquant : « Chaque jour, ils mentionnent sur les colonnes des journaux « la consultation électronique » entre guillemets, alors qu’il aurait été mieux s’ils se mettaient eux-mêmes entre guillemets. C’est le cas aussi du journal des infos. Au départ, ils parlent des faits insignifiants, et n’évoquent les questions fondamentales que par la suite. Malheureusement, ils prennent la liberté d’expression pour la diffamation et les insultes à travers les médias et les lobbies financiers qui se cachent derrière. Ils mentent et ils ont repris leurs anciennes pratiques, mais ils sont découverts et le peuple ne les croit plus ».
Le président de la République, assure que ces parties essayent toujours de s’en prendre au peuple tunisien à travers la hausse des prix, précisant qu’un décret sera mis en place pour lutter contre la monopolisation et la spéculation.
S.H
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L'image est très forte et tellement forte que la majorité a fait semblant de ne pas comprendre!!!
Tout ce qui ne provient pas de lui et de son cercle de ministres et conseillers,-oh combien médiocre- est à anéantir. Il s'est attaqué à tous ceux qui ont émis un jugement différent du sien. Tous, nous tous, sommes à jeter à la mer, les entrepreneurs les universitaires, les médias, les partis, la société civile,les analystes politiques, économiques etc les jeunes, les vieux, tous ceux qui ne suivent pas à la lettre ses décisions, très souvent-pour ne pas dire toujours- erronées , sont ou des traîtres à la nation ou des personnes indignes de respect et de confiance
Il ne lui est jamais arrivé depuis octobre 2019, de se regarder dans une glace et de se poser la question à savoir s'il est et le pays avec sur le bon chemin? Toute cette haine, tout ce cumul de frustrations ne peut que nuire à notre pays . Jusqu'à quand va-t-on se voiler la face et espérer un sursaut, un réveil de la classe dirigeante pour vraiment choisir la voie de la vraie sortie de crise.
La Tunisie a besoin de tous ses enfants pour s'en sortir. Nous avons besoin d'un discours positif, inclusif et non pas un cumul de mots difficiles à comprendre et essentiellement un seul et unique message: seul kais said est dans le vrai, tout le reste est à jeter à la mer sauf ses propagandistes, et c'est très dangereux. C'est la voie ouverte à la guerre civile.
Il est seul contre tous.
Apparemment, le combat est rude et la fin risque d'être plus sévère.
Il ne lui reste que ce virus invisible comme un ennemi très difficile à attaquer...
Il ne nous reste que d'implorer le bon dieu pour que notre pays soit épargné de ce naufrage Inévitable... Car la " guerre civile " commence à se pointer, à nous guette plus que jamais.
Morte de riiiiire !!!