
Le président de la République, Kaïs Saïed, s'est entretenu ce mardi 19 juillet 2022, avec la cheffe du gouvernement, Najla Bouden.
Cette rencontre, précise un communiqué de Carthage, a porté sur le travail du gouvernement dans divers secteurs, notamment dans le domaine économique et social, et sur les préparatifs du référendum du 25 juillet.
Kaïs Saïed, souligne la même source, a affirmé que « certaines parties opposées à la souveraineté du peuple tentent désespérément d'entraver cette date historique par divers moyens dont ils ont l’habitude ».
Le président a également rappelé que la loi s'appliquera « à quiconque tentera de quelque manière que ce soit de porter atteinte au droit du peuple souverain d'exprimer librement sa volonté ».
M.B.Z
send this dictator to hell !!
Ce n'est pas le sujet. Je n'en ignore rien. N'en ayant pas entendu l'écho, je me substitue.
Après Le Monde parisien, le Financial Times londonien, voilà le Washington Post de la capitale fédérale américaine, tout cela n'est que "feuilles de chou" indignes d'une sous-préfecture, vous dira-t-on sans rire, loin des préoccupations du bon peuple empli de désir, de la liste de ses envies, enamouré de son homme, voilà donc ce vilain canard, dans un édito effrontément intitulé
"Le temps presse pour arrêter le glissement de la Tunisie vers le règne d'un seul homme", qui vient fiche son vilain nez dans les affaires d'un pays à tous points de vue indépendant et souverain, pour nous apprendre à vivre.
Non mais !
De quoi je me mêle ?
US go home !
Rappelons aux idolâtres thuriféraires jeunes et moins jeunes que Bob Woodward et Carl Bernstein du même Washington Post, aidés du mystérieux "Deep Throat", ont, par leurs révélations , déboulonné Richard Nixon, le personnage alors le plus puissant de la planète, juriste de formation, quaker, vulgaire, menteur invétéré qui ne manquait pas d'invoquer sa foi pour le seul accomplissent de ses desseins.
On ne badine avec les parjures.
Mauvais présage ou bon augure.
Selon que vous êtes empli de désir ou submergé de dégoût.
*En référence à Philip Roth.
La traduction de l'éditorial du Washington Post est à lire dans Kapitalis du 19/07/2022.