
L'ancien ministre, ex-dirigeant d’Ennahdha et soutien du pouvoir en place, Imed Hammami, a affirmé que la garantie de l’unité nationale et le sauvetage de la Tunisie ne seraient possibles qu’en soutenant le président de la République, Kaïs Saïed, et en appliquant la Constitution de 2022.
Invité jeudi 16 janvier 2025 à l’émission Politika de Zouhair El Jiss sur Jawhara FM, Imed Hammami a déclaré que le président Kaïs Saïed avait accompli son devoir patriotique pour sauver la Tunisie en mettant en œuvre l’article 80 de la Constitution de 2014. Il a également soutenu que le chef de l’État était resté sincère envers le peuple et fidèle à ses convictions religieuses. Selon lui, le bilan de l’action présidentielle est, jusqu’à présent, positif, avec une revitalisation des institutions de l’État et la mise en œuvre de plusieurs mécanismes et acquis sociaux.
Imed Hammami a précisé qu’il ne se réjouissait pas de l’emprisonnement de citoyens tunisiens et a appelé au respect du pouvoir judiciaire ainsi qu’au bon déroulement des enquêtes. Il a, par ailleurs, estimé qu’un dialogue national était nécessaire pour préserver la Tunisie, ses intérêts et son peuple. Le politicien a encouragé le président à organiser un dialogue axé sur une réconciliation nationale et des réformes sociales et économiques.
« Le dialogue pourrait aboutir à des recommandations... Le Parlement et le président auront le choix de les appliquer ou non... Nous pourrions organiser ce dialogue dans le cadre d’un conseil socio-économique. Des patriotes sincères et des compétences y participeraient. Je suis convaincu que les recommandations qui en émergeront pourraient débloquer la situation. Ce conseil serait ouvert à tous les Tunisiens et créerait une grande dynamique. Il agirait comme un think tank et n’a pas vocation à remplacer d’autres institutions », a-t-il expliqué.
Imed Hammami a souligné qu’il n’y avait pas de consensus total au sein du processus du 25 juillet sur les décisions prises par le président de la République. Selon lui, Kaïs Saïed assumera seul le bilan et les erreurs commises depuis le début de ce processus. Il a toutefois assuré que le président travaillait sans relâche pour résoudre les problèmes économiques du pays.
Le politicien a qualifié la situation actuelle de « révolution sociale ». Il estime que le pouvoir en place a amorcé cette révolution à travers les récentes décisions du président et la loi de finances pour 2025. Selon lui, ce texte reflète une volonté de compter sur les ressources internes du pays. Il a ajouté que le changement était possible grâce aux efforts conjoints de chaque citoyen et de chaque institution de l’État.
En revanche, Imed Hammami a jugé que la mise en place de la Cour constitutionnelle n’était pas une priorité immédiate. Selon lui, les préoccupations majeures des Tunisiens concernent leur quotidien et leur niveau de vie. Il a conclu en soulignant l’importance d’encourager l’investissement pour relever les défis économiques.
S.G
1- Dire l'inverse de ce qu'il pense, et d'ailleurs il ne pense rien.
2- Toujours du côté du pouvoir
3- Ayant le minimum syndical de médiocrité nécessaire au colon pour lui filer les rênes
4- Prêt à vendre sa propre cause et même son pays.
5- Demande la fin des investigations avant de se prononcer sur les arrestations politiques et arrestations arbitraires (un "genre" de "respect de la loi", hahahaha!).
Bref, bonne continuation ya Imed, tu es sur la bonne voie! Tu y arriveras!
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
pacifique de notre peuple en vue de la faire sortir du profond gouffre,car elle a tous les atouts , toutes les conditions et tous les paramètres pour faire face à ses marasmes et à ses diverses failles dans tous les domaines qui ont trop durés et ce avec une égalité des chances, une
justice sociale et une bonne gestion de ses deniers publics et de ses ressources humaines et naturelles