
L'ancienne figure du mouvement Ennahdha, Imed Hammami a considéré que le parti politique « Al amal wa al injaz » créé par son ancien camarade, Abdellatif Mekki n'était qu'un nouveau mouvement Ennahdha. Il a expliqué avoir participé aux premières réunions de création du parti et que les participants étaient d'accord sur l'adoption, encore une fois, d'une idéologie basée sur l'islam politique. Il a qualifié le parti de mutant d'Ennahdha.
Invité le 30 juin 2022 par Sameh Meftah sur les ondes de la radio Jawhara FM, Imed Hammami a affirmé que son départ du mouvement Ennahdha n'avait aucun lien avec les enquêtes portant sur l'entreprise Intalingo et l'association "Namaa". Il a expliqué avoir été surpris par ces affaires. Il a expliqué que son départ résultait de l'attitude de Rached Ghannouchi. Il a rappelé qu'il avait succédé à Zied Laâdhari au poste de secrétaire général du mouvement Ennahdha. Ceci lui avait permis de découvrir le véritable visage du président du mouvement Rached Ghannouchi et ses manœuvres politiques. Ghannouchi, selon lui, mettait de côté les décisions des structures du parti et collaborait avec Makhlouf (figure de la Coalition Al Karama) et Nabil Karoui (président du parti Qalb Tounes).
« Il y avait des choses incompréhensibles... Il y a un grand flou... Le cinquième étage du siège du parti était inaccessible même aux dirigeants du mouvement... Il y avait une autre salle d'opération basée à Ennahli... Il s'agit d'une structure loin d'être celle d'un parti politique... Le poste de secrétaire général n'était qu'une façade politique du parti. Le président du parti monopolise la gestion des affaires internes et des structures et refuse de déléguer », a-t-il dit.
Réagissant à l'affaire Instalingo et à l'arrestation de Adel Daâdaâ, Imed Hammami a affirmé que ce dernier était très proche de Rached Ghannouchi. Il a expliqué que ce dernier était chargé du protocole et avait accès au cinquième étage. Il a affirmé que Rached Ghannouchi avait à sa disposition une cellule chargée de la diffamation de ses opposants politiques en dehors du parti mais aussi en son sein. Il a repris le terme souvent assimilé aux milices numériques du mouvement Ennahdha "mouches bleues".
Par ailleurs, Imed Hammami a assuré qu'il s'était opposé à Rached Ghannouchi depuis 2020. Il a rappelé qu'il s'était opposé publiquement à lui en août 2021 en exprimant son soutien à l'application de l'article 80 de la Constitution. Il a considéré que sa participation aux travaux de la commission nationale consultative pour une nouvelle République était une fierté. Il a, aussi, indiqué qu'il s'était enregistré auprès de l'Instance supérieure indépendante pour les élections afin de participer à la campagne du référendum. Il a exprimé sa confiance en la personne du président de la République, Kaïs Saïed. Il a estimé qu'il n'y aura pas de grands changements entre le projet présenté par la commission et celui qui sera publié par le chef de l'Etat. Il a, également, expliqué qu'il envisageait de faire partie d'un nouveau mouvement et qu'il pourrait se présenter aux prochaines élections législatives prévues pour le 17 décembre 2022.
S.G
Ce manipulateur est en train d'endormir les masses d'idiots présents dans la place.
Ils les enfument et ce n'est pas un exercice trop difficile, vu les innombrables incultes ayant fleuri depuis l'accident de 2011 !!!
Ce débile imed hamami
olfa hamdi,
chebi,
hama hamami,
benmbarek et toute la smala de ripoux du front du salut, font partie de l'équation :
- Blanc bonnet, Bonnet blanc.
Ils roulent tous pour les chameliers imposteurs traitres.
Ils n'ont fait que se repartir les tâches.
Et comme à l'accoutumée, rached khriji tient le rôle de chef marionnettistes.
Zone 51 version nakba
Allah yostirnè wè yostirkom wè yostir Tounes mine charrihom
Et, il semble que ce soit le cas avec les éléments évoqués par Hammami.
Certes, il y en eut quelques uns qui l'ont devancé en évoquant quelques "secrets", sans qu'aucune suite ait été donnée à l'êtes révélations.
Cependant, nous ne sommes plus dans la même temporalité ni le même contexte.
Ennahdha a perdu de son allant, et es pare-chocs se font très discrets.
Où sont passés Bouchlaka, Affès, la Larkhoufz et surtout Medhioub qui allait urbi et orbi diffuser qu'on leur faisait un mauvais procès et que leur combat était pour la démocratie ?
La partie qui reste récalcitrante et joue une partition écrite par ses inspirateurs est la justice.
Elle finira par plier lorsque les subsides se feront rares et que l'horizon vire au noir, après le gris.
C'est une question de temps, même si beaucoup persévèrent à croire en leur bonne étoile et fourbir leurs armes en vue de desseins de plus en plus fantasmagoriques.
Lorsqu'un homme décide d'être vrai avec lui-même, il peut larguer les liens qui l'enserraient.
Hammami a franchi le rubicon, on peut présumer que d'autres le suivront.
La vérité y gagnera.
Le pays s'en portera mieux.
Et, les fripons n'auront que ce qu'ils méritent.
Que la Providence veille sur nous.
Malgré que le partie nakba est une grosse bombe DE retardement mental
Un vrai politicien qui sait tourner sa veste le moment opportun.
Un jeune routier de la boolitique qui sait saisir les opportunités.
Un jeune loup qui pratique la bonne politique où la maîtrise de l'art de mentir est une arme indiscutable pour s'imposer.
Un intello qui sait ce qu'il veut.
Et enfin, il est parmi les rares anciens nahdhouis qui a osé dire NON au baron.
Mais dans la vie réelle, on ne peut pas avoir tout et le risque de glisser lourdement est toujours omniprésent.
Pour conclure, en cautionnant le projet du nouveau dictateur, espérant qu'il ne se trompe pas de " porte " car en cas de défaite du clan Kaiessien, il peut dire bye bye pour toute sa carrière politique.
franchement je ne comprends rien en Tunisie comment, a qui, pour qui, étude dossier judiciaire des membres, études des statues par qui
ou sur quel critère d accorder l acception une accréditation une nouvelle association, organisme ou partie politique.
La il affirme que daada a le mot de pass de la zone 51 de la nakba
Va savoir que cette zone 51 est une buvette ou un aire de décontraction ou un atelier pour épluché les coq

