
L’ancien président de la République, feu Zine El Abidine Ben Ali, a mis en garde le chef de l’Etat défunt, Béji Caïd Essebsi, contre un plan d’assassinat le visant et ce à travers un messager vers le mois de mars 2019. C’est ce qu’a affirmé son fils, Hafedh Caïd Essebsi, lors d’une intervention téléphonique sur la chaîne Attessia, dans la soirée du mercredi 29 décembre 2021.
Hafedh Caïd Essebsi commentait l’ouverture, mardi, d’une instruction judiciaire sur les circonstances de la mort de l’ancien président de la République sur ordre du Parquet sollicité par la ministre de la Justice, Leila Jaffel.
Le fils de Béji Caïd Essebsi a indiqué que son père n’avait pas pris au sérieux l’avertissement de Zine El Abidine Ben Ali notant que la famille n’a reçu que le certificat de décès et que le rapport médicolégal n’a pas été communiqué par le ministère de la Défense et la médecine militaire.
Plus tôt dans la journée de mercredi, Hafedh Caïd Essebsi a publié un statut sur sa page Facebook soulignant qu’il avait des doutes quant aux circonstances suspicieuses dans lesquelles son père est décèdé. Il a, dans ce sens, ajouté, que la famille et le peuple tunisien avaient le droit de connaître la vérité notant qu’il a été forcé de quitter le territoire tunisien et menacé d’emprisonnement pour que la vérité sur la mort de Béji Caïd Essebsi n’éclate pas au grand jour.
Le jour même, l’ancien conseiller de Béji Caïd Essebsi, Noureddine Ben Ticha, a exprimé sa surprise de l’ouverture d’une instruction judiciaire à ce sujet laissant entendre que cela avait été une initiative du chef de l’Etat en exercice, Kaïs Saïed, à la lumière de nouveaux éléments dans le dossier.
M. Ben Ticha a, par ailleurs, insinué que Béji Caïd Essebsi avait été assassiné par empoisonnement expliquant que le 27 juin alors qu’on le conduisait à l’hôpital militaire suite à un malaise, l’ancien président de la République a signalé à sa fille qui l’accompagnait qu’on avait placé « une bombe » dans son abdomen.
Béji Caïd Essebsi s’est, rappelons-le, éteint le 25 juillet 2019 des suites d’un grave malaise. Aucun détail sur la cause exacte de son décès n’a été dévoilé au public.
N.J.

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Cela veut dire que Ben Ali, ne pouvait avoir appris l'existence de ce plan d'assassinat, que par les Saoudiens!!!
Des Saoudiens et des Emiratis, qui voulaient s'en débarrasser de Beji Caïd Essebsi, pour trôner l'un des leurs. Sinon, qui pouvait venir à l'idée de tuer un vieillard centenaire, quelques mois seulement avant la fin de son mandat présidentiel, du moment que tous les adversaires et les opposants du défunt président Beji Caïd Essebsi, fussent plus que certains, que ce dernier ne pouvait en aucun cas être réélu, même s'il avait la moindre idée de se représenter pour un deuxième mandat.
C'est pour cela qu'il est expressément requis de la Justice civile et militaire tunisienne, ainsi que de l'ensemble de l'actuelle Garde présidentielle, de prendre au sérieux les doutes d'assassinats dont parle le président Kaïs Saïed. Nous savons tous combien les meurtres politiques sont faciles à l'exécution par ce trio du mal, les Emirats hébraïques, les Monchars Ben Selman saoudiens et les genocidaires égyptiens du Saffah Sissi. Eux-seuls ont un avantage de nous faire échouer notre transition démocratique, par les deux assassinats des Martyrs Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi. Et eux-seuls, pourraient y penser de même avec le président Kaïs Saïed, qui s'est avéré une "tête dure", n'ayant pas exécuté leurs plans sataniques "saffahiques" à la lettre, contre leurs ennemis jurés "islamistes".
Qui n'a pas encore remarqué le changement de ton, même du côté de l'Arabie Saoudite, qui ne s'est rappelée du FMI, que maintenant!!!
Allah yostir Tounes.
De la diversion,rien que de la diversion,pourvu de s'éloigner des vrais problèmes mais regarder la triste réalité en face ,un président élu avec 17% de voix au premier tour,parachuté de l'on ne sait où;qui n'a pas attendu longtemps pour fouler du pied une Constitution sur laquelle il a prêté serment et diriger le pays vers des lubies que son taré de copain-conseiller alias Ridha Lénine nous en a laissé entrevoir un aperçu avec sa "République de quartiers",tout cela ce n'est pas bien grave;
Honte à tous les politiciens de pacotille,Honte à tout ceux qui ne demandent qu'à se soumettre et à plier l'échine!
Méskinè Tounèss.
Ce réfugié mene la belle vie en France mais d'ou lui vient l'argent , Ha l'héritage peut etre !? ou comme la bien dit Lazhar Akremi

