
Une grosse tension est actuellement ressentie chez les agents des différentes directions du ministère des Finances à la suite de l’arrestation de plusieurs hauts cadres du département.
Après les gardes à vue, il y avait espoir d’une libération après l’audition de ces hauts cadres par le juge d’instruction. Les agents du département ont dû déchanter puisque le juge a émis des mandats de dépôt à l’encontre de leurs collègues dans la nuit du jeudi 29 février au vendredi 1er mars.
Le choc a été le mandat de dépôt émis vers 3 heures du matin contre Moncef Akremi, directeur de la Direction des grandes entreprises. Un homme qui bénéficie d’une excellente réputation auprès des agents du ministère et est reconnu pour sa grande efficacité.
À l’origine de son affaire, un accord à l’amiable négocié avec une entreprise par l’un de ses subordonnés. Un accord des plus classiques, aussi bien en Tunisie qu’ailleurs, puisqu’il évite aux deux parties de saisir la justice pour trancher le montant des dus et des pénalités fiscales. Cela permet ainsi à l’entreprise de clore le dossier rapidement et d’éviter les frais d’avocats et de justice et d’alimenter immédiatement la trésorerie de l’Etat.
Ce qui est le plus à craindre, avec cette tension dans l’administration fiscale, c’est la démotivation des agents. On évitera désormais les recours à l’amiable et les agents laisseront les juges trancher après plusieurs années de procédures.
R.B.H
les abrutis applaudissent, car ils ne comprennent pas les abc du fonctionnement d'une administration ; l'ignorance je vous dis des bêbêtes show du Diktatour, écervelés, sans AUCUNE vision de l'avenir du pays ; c'est comme robespierre et ses guillautines et les abrutis qui s'éclaffaient devant le sang répandu.
vivement que ce Diktatour s'en aille. YEZZI. il a fait trop trop de dégâts ; TOUT le monde est unanime pour le dire et le constater, même ceux qui ont voté pour lui, dans un sale accident de l'histoire.
Leur monde s'agite et on ameute les médias qui reprennent en écho le relais.
Ces fonctionnaires sont en principe grassement payés,ont des avantages en nature et sans doute des primes .....
C'est la modalité classique pour les tenir à l'abri des tentations, mais elle ne suffit jamais en soi.
Ce qui les tient, c'est la croyance en l'?tat, en leur utilité et de leur place accomplissant l'ouvrage pour quoi ils sont délégués.
On sait que souvent, et au sein de ce monde qui manipule des montants importants et en contact permanent avec les possédants, peuvent exister des inclinations à céder aux appels des sirènes.
Lorsqu'un fonctionnaire négocie avec un contrevenant, et il ne négocie qu'avec les puissants dont le pouvoir de nuisance se mesure en entregents et influences, même et y compris médiatiques, il doit se garder de croire que c'est son nom qu'il engage là où dans les faits il agit en lieu et place et par délégation de la collectivité.
Ses actes sont plus grands que sa personne, et sa parole, signature sont au nom du pays.
Les fonctionnaires qui ignorent cela abandonnent aux vilains les clés du Trésor.
Ainsi, nous rejouer encore le même scénario est petit.
Un fonctionnaire qui faute ne doit pas être à l'abri.
Il a une responsabilité, même par délégation et obéissant à des ordres.
Chaque personne, à sa place et de sa place, agit et ses actes ont des effets sur le système.
Nul ne peut s'abriter derrière des paravents commodes afin de se décharger sur autrui de ses propres errements.
Une secousse au sein d'une administration ne doit pas retourner l'institution.
Et pas de petits chantages....
'?a pourra faire sentir le moisie
C bien d'Avoir une bonne réputation avec ces subordonnées ça prouve que le social fonctionne au sein de cette administration
ça grouille d'anomalies !