
Une grève a été tenue ce matin, vendredi 13 novembre 2020, par des jeunes chômeurs de la région de Chat Salem devant les locaux du Groupe chimique de Gabès. Cette grève a bloqué l’accès aux locaux du GCT empêchant ainsi les employés de rejoindre leurs postes, a annoncé l’agence de presse Tap.
La même source ajoute, en citant des déclarations des protestataires, que les revendications concernent « le développement et l’emploi dans la région ». Les manifestants estiment que « le gouvernement a ignoré la région de Gabès et n’a pas accordé d’intérêt aux dossiers urgents de la région, dont ceux de l’emploi, de l’environnement et du développement ».
La région de Gabès a été le théâtre de tensions enregistrées ces derniers jours suite à la résolution de la crise d’El Kamour. Les habitants estiment que le chef du gouvernement Hichem Mechichi n’a pas accordé d’importance à la situation dans la région et aux revendications de ses habitants.
Mardi, 10 novembre, la présidence du gouvernement est revenue dans un communiqué sur le discours prononcé par le chef du gouvernement, Hichem Mechichi, lundi 9 novembre, affirmant que la démarche adoptée par le gouvernement pour mettre fin à la crise d’El Kamour sera généralisée à toutes les régions, sans exception.
« C’est parce que le chef du gouvernement est convaincu que toutes les régions sont concernées par les problématiques liées au développement et que tous les citoyens ont le droit d’avoir des conditions de vie décentes», a-t-on indiqué dans le communiqué.
R.B.H
Et quand il y a eu roposrnte de la part des habitants du Le, ces ordre si.t venus pour camoufler tant ces recrutements fictifs de connivence, que les recrutements (toujours pour la forme) effectués récemment à Tataouine.
Inutile de rappeler que les habitants, ci-dessus cités, ne veulent ni poursuivre des études scolaires, ni des formations professionnelles et ni même travailler dans l'industrie ou dans l'agriculture.
Ils n'ont que seule obsession c'est d'être à la planque et en sinécure toute l'année, d'habiter Tunis et d'avoir plein d'argent pour se permettre infinies dépenses sans travailler mais d'opter piur leur paresse maladive et lailletement de la part de l'état tunisien.
Que voulez-vous que le Président de la République réagisse devant un gouvernement passif et qui n'a jamais été indépendant, comme cincznu, mais qu'il est au service des caprices de nahdha.
Le peuple était sorti dans la rue en 2011, très précisément pour avoir le droit d'imposer sa gabegie. Ben Ali n'était pas un dictateur, mais un Patriote qui faisait respecter l'autorité à un peuple qui confond "dictature" et "autorité" depuis des siècles.
Les quelques tunisiens réfléchis sont victimes de la bêtise de tout un peuple qui a crié "dégage" un certain 14 janvier. La horde, si bien décrite par l'inégalable Mezri Haddad, composée d'Intellos, de médias, de journaux et de mal-instruits à hauts-diplômes, se pavanait de sa sacro-sainte révolution dont on voit et constate les tristes résultats aujourd'hui.
à tous ces imbéciles, ces crédules, ces haineux, ces mal-instruits, ces ingrats, ces fouille-merde, ces régionalistes, ces footeux, je dis: Je lève mon verre à votre misère, misère que vous avez tant cherchée et espérée en criant "khoz ou mé". Dieu a exaucé pour vous ce désir bizarre, peut-être pour les milliers de veuves et d'orphelins qu'a fait votre révolution à travers le monde arabe et particulièrement en Syrie, pays au Grand Peuple que je tiens en haute estime et dans mon coeur pour sa résistance contre les Ouled Hillary que vous êtes.
Aussi, je vous invite à noyer vos regrets dans le meilleur des anxiolitiques, à savoir le vin de mauvaise qualité qui vous est proposé. Le jour où la Tunisie redeviendra la Tunisie, vous pourrez peut-être vous offrir un bon verre d'une célèbre étiquette noire en pensant à celui qui n'a jamais douté de ses principes, et qui vous écrivait, dans une ambiance feutrée plongée dans la fumée de son cigare, à partir de son QG de renseignements au Bardo, un verre de Whisky posé sur son bureau. Je parle bien sûr de notre regretté John Wayne qui vous a tout de suite traité de gueux: La plume et le Patriotisme et service du pays.
Un certain Léon qui vous avait aussi tellement prévenu; mais en vain! Quand tu lui montres la lune, l'imbécile regarde ton doigt.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Agir comme on l'a fait à Tataouine, je ne serai pas d'accord. Mais il nous faudrait trouver des méthodes coercitives pour faire plier le gouvernement soutenu par les islamistes qui s'en foutent royalement des intérêts de la Tunisie et encore moins de l'environnement.
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Le débuté de cette région, malgré sa présence au parlement pendant 7 années, n'a pu rien obtenir, on le voit comme les autres faire le discour du désinvolture, il aurait dû démissionner et laisser sa place à plus compétent, plus efficace. Ces politiques n'ont pas compris qu'il faut lâcher en cas d'échec. Il ne suffit pas d'être honnête et intègre et avoir un beau discour pour être l'homme de la situation. Il faut l'efficacité : des résultats, il faut une poigne de fer et des cou... En Cuivre. '?a sert à rien d'être là pour faire partie du décor ou compléter la liste.
J'espère que des mesures radicales seront rapidement prises pour sauver cette région de même égalité que les autres. Nous sommes tous citoyens d'une seule patrie qui nous unit : Notre chère Tunisie.
Mais ce n'est pas le cas, hélas, et de toute façon, il ne peut y avoir de solutions magiques, bien que la majorité des commentaires se soient plutôt orientés vers cet aspect !
J'aurais tellement souhaité que ce mouvement. ait été motivé par des considérations environnementales, cela l'aurait singularisé et distingué d'El Kamour, où l'on a surtout recherché des compensations, des rentes et des emplois-planques. Non, la revendication est plus prosaïque, elle est identique à celle du groupe de pirates de Tataouine, et l'émulation est évidente. Ces jeunes ont besoin de travailler, d'avoir quelques sous en poche, de se construire un avenir. Et ils se disent que si les autres ont réussi par la pression, le chantage et la prise en otage des outils de production, pourquoi pas nous ?
Mais cette revendication est aussi celle de dizaines de milliers de cas semblables dans la quasi totalité des gouvernorats ! Ces sollicitations vont se propager comme une traînée de poudre jusqu'à bloquer toute activité dans un pays déjà au bord de la faillite.
Mechichi a ouvert là une sacrée boîte de Pandore !
Les mensonges, les paresses et les sédentarités.
Un peuple amorphe qui ne veut ni étudier ni bénéficier d'une formation professionnelle.
Dans aucun pays au monde, même les plus riches, il n'y a de paresseux comme il y en a en Tunisie.
Et le devoir du gouvernement après 2011 et au nom de la révolution " de cirque", c'est d'offrir de l'argent à ceux qui deviennent partisans de nahdha et de les laisser tranquilles pour qu'ils s'amusent, aller aux festivals, aux plages et aux stades, aux cafés et de se souler à longueur d'année.
Pour eux c'est ça la vie et le gouvernement et l'état doivent s'occuper d'eux en tous les points de vue.
Pourtant des lieux éloignés et protégés ont été destinés pour le phosphogypse et ce dans la regle de l'art.
La GCT à été l'un des premiers à trouver cette ruse pour être recruté pour la forme ( rien que pour bénéficier du salaire) et ce dans le jardinage ( bastana) ou les administrations de Tunis, et puis et surtout d'avoir la planque dans un appartement neuf nouvellement acheté (à crédit ) à Tunis ; mais que tout soit essentiellement réalisé à Tunis et c'est le but de toute cette manigance et cette mascarade.
Avoir un salaire fictif, un logement à Tunis, un véhicule pour se balader à Tunis, tel est l'objectif et si l'état n'a pas assez d'argent pour satisfaire tous ces caprices pour ces inactifs, il n'a qu'à s'endetter auprès des banques mondiales.
1) Au départ ces usines ont été implantées loin des habitations et ce sont les habitations qui ont envahi les terrains situés à proximité des zones industrielles. Ceci est valable pour la STIR à Zarzouna et la SIAPE à Thyna et certainement pour la GCT à Gabès. Ces usines ont été construites quand la population tunisienne n'était que de 4 ou 5 millions.
2) Toutes ces usines sont étatiques et l'état est un mauvais gestionnaire qui ne sait pas entretenir et rénover ses installations. Il y a certainement aujourd'hui des méthodes et procédés qui permettent de traiter les déchets et les fumées dégagées dans l'atmosphère.
3) Je vous donne un exemple: à Jebel Jeloud il y avait une cimenterie étatique très polluante. Elle a été cédée au privé (une société italienne) qui l'a rénovée, qui a filtré les fumées dégagées et qui a augmenté la production et le nombre de salariés !!!
Les impacts environnementaux et sanitaires du phosphogypse sont néfastes, j'en ai fais l'expérience moi-même, c'est invivable, Rabbi Maâkom et Allah léy Marradhkom.
Il faut que ça change de model économique, certes, ça ne sera pas du jour au lendemain, tout d'abord il faudra résoudre le grand problème des "Familles" qui détiennent la totalité des sites considérés les "Piliers" de l'économie Tunisienne, ces sites sont répartis sur tout le territoire, le cas de Gabès est alarmant, il est presque pareil à Sfax, à un degré moins à Ben Arous.
Tout le model économique est à revoir. Il ne s'agit pas d'un seul chantier, il s'agit de beaucoup de chantiers et de plusieurs décennies.
Mes Salutations à tous les Gwebsias Essnadid.
Pour ce faire, il faut mettre en '?uvre la décision de délocalisation des unités polluantes de leur site actuel vers un autre site loin de la mer (comprenant la restauration des sites pollués), permettrait d'éviter un coût de dégradation de l'environnement cumulé d'environ 1000 millions de dinars sur la période 2016-2030.
Selon des experts, rapporté par l'économiste Maghrébin
Le Golfe de Gabès possède en effet l'unique oasis maritime de la Méditerranée, qui constitue une réserve de biodiversité marine, richesse malheureusement laissée à l'abandon.
Le phosphogypse issu de la transformation du phosphate du Groupe chimique tunisien, et principal responsable de cette pollution, est rejeté en mer à raison de 4 millions de tonnes par an.
La mer est souillée par les rejets de phosphogypse qui forment une sorte de boue marron, visible à l'?il nu, aux alentours de l'usine installée sur le littoral. Quelque 5 millions de tonnes ont été déversées au cours des trente dernières années.
Les fumées provenant du Groupe chimique tunisien, une entreprise publique qui produit des engrais et de l'acide phosphorique, sont chargées de gaz toxiques.
Rapporté par Le Monde Afrique
Je propose que chaque délegation prend son indépendance et on dissout la Tunisie comme çà on va avoir 358 nouveaux états dans le monde ( sauf la Chebba qui sera une délégation Italienne ), le plus grand avantage de la dislocation de la Tunisie c'est que les états arabes deviennent plus nombreux à l'ONU et en Afrique donc en cas de vote les arabes peuvent basculer les votes en leurs faveur. De plus le Hilal Echebba joue tous les ans dans la champions ligue de la CAF sans jouer dans aucun championnat .
YA OMMATAN DHA7IKAT MIN JAHLIHA OUMAMOU.
Des kilomètres à la rond vous pouvez voir sur l image rien ne pousse autour allez y faire un tour vous allez voir le drame mer aux alentours archi pollué retombé chimique irresponsable de voir encore ce truc tourner
Au niveau emploi que de la bricole dans les alentours il y a vraiment urgence à faire dans cette région les commentateurs qui critiquent ne connaissent rien des région du sud allez voir la misère et la pauvreté...
Il y a urgence pour tout là-bas..
Vive la Tunisie vive la démocratie
Eh oui, ya hassra.
De toute façon la situation ne peut qu'empirer.
Les traitres imposteurs bagla-liha qui s'étaient emparés du pouvoir suite au coup d'état de 2011, feront tout ce qui sera en leur pouvoir pour que des mouvements populaires contrôlés par leurs soins, affaiblissent l'état.
Ces traitres fourbes (les brouettistes) entretiendront à n'importe quel prix, l'anarchie et le chaos.
C'est leur assurance vie.
Ils feront tout pour que celle-ci pérennise.
Pour rien au monde, ils abandonneront leurs acquis.
Que le pays retrouve le chemin du succès, est le pire scénario à leurs yeux.
Salutations
Le gouvernement est-il conscient qu'en se déculottant devant ces bandits d'El Kamour il a allumé une mèche qui lui fera péter à la figure toutes les charges de dynamite posées ça et là dans les autres régions ?
Foued Mbazzâa, qui semble apprécier la méthode Mechichi, a déclaré que Ben Ali n'aurait jamais été renversé s'il avait adopté la même approche ! A Si Foued nous disons, avec tout le respect que nous lui devons, qu'on ne négocie pas avec des escrocs le couteau sur la gorge, des anarchistes qui ont défié l'Etat et qui ont fini par l'humilier. L'effet Kamour , qui va se propager a une vitesse que personne ne pourra contrôler ou freiner, ne sera pas responsable seulement de la chute du pouvoir, mais de la faillite de tout un pays.
Une remarque pour finir : les puits de pétrole dont on a fermé la vanne, sont en passe de s'assécher à cause de l'arrêt de trois mois de la production !
Ecrit par A4 - Tunis, le 10 Novembre 2020
Moi j'ai la faiblesse de croire
En tout ce que l'on me dit
Que le corbeau n'est pas noir
Et que les chats sont tous gris
C'est ma faiblesse, je l'avoue
C'est comme ça depuis longtemps
Je suis ainsi, voyez-vous
Je crois même les charlatans
Je crois l'idiot du village
Qui me dit tout effrayé
Que faute d'apprendre la nage
Des poissons se sont noyés
Je crois tout ce que vous dites
Que vous êtes le grand vainqueur
Que vous avez le mérite
De céder aux arnaqueurs
Je vous crois les yeux fermés
Sans jamais d'hésitation
Je me sens bien désarmé
Face à vos affirmations
Je n'ose rien mettre en doute
Car je vous trouve bien hardi
D'avoir su quitter la route
Pour la céder aux bandits
Je n'aime pas qu'on vous critique
Car j'ai de l'admiration
A votre nouvelle tactique
De victoire par soumission
il va encore y avoir dans tous les autres secteurs
au temps où il y avait un Président tous les bandits sont mis hors circuit et meme mis dans les poubelles des oubliettes
Attention : Chacun vous a préparé sa propre "VANA" pour la négociation.

