
Le conseiller du chef du gouvernement désigné Elyes Fakhfakh, Fathi Touzri est intervenu, ce jeudi 6 février 2020, sur les ondes d’Express FM afin de revenir sur l’avancement des concertations autour de la formation du gouvernement.
Invité de Wassim Ben Larbi, M. Touzri a précisé que le choix d'Elyes Fakhfakh d'écarter Qalb Tounes de ces négociations était un choix intelligible qui résonne exactement avec les exigences de la Tunisie en matière de réformes et que M. Fakhfakh en était convaincu.
Des réformes qui nécessitent, selon M. Touzri, de l'honnêteté, du leadership ainsi que de la volonté pour pouvoir lutter contre le monopole et la corruption.
« Nous voulons répondre aux aspirations populaires en ce qui concerne la moralisation du paysage politique et la mise en place d'un gouvernement noble et intègre. La légitimité électorale est nécessaire mais les revendications populaires sont également légitimes. Le gouvernement doit être instauré selon les critères mentionnés dans le document contractuel du gouvernement. Il doit être un gouvernement réformateur qui fait face aux corrompus, lutte contre la corruption et œuvre à restituer le prestige de l'Etat et cela était notre choix autour duquel les concertations se sont déroulées », précise Fathi Touzri.
Interrogé sur l'opposition d'Ennahdha à l'exclusion de Qalb Tounes, M. Touzri a souligné qu'il existe une divergence des points de vue qu'Elyes Fakhfakh tente d'atténuer en vue de parvenir à un accord qui correspond au document de référence de l'action gouvernementale.
Et d'ajouter que M. Fakhfakh était prêt à interagir positivement avec tous les partenaires y compris Ennahdha réitérant, cependant, que le choix d'exclure Qalb Tounes était bon, rationnel et crédible.
« Nous allons poursuivre les négociations avec un esprit constructif et ouvert et éliminer les conditions. Nous allons par ailleurs œuvrer à établir un accord sur un gouvernement qui répond aux critères du document contractuel et qui assurera la stabilité et l'efficience requises. Le seul vainqueur ici est la Tunisie et ceci n'est au détriment de personne », ajoute Fathi Touzri.
Rappelons qu’hier mercredi, M. Touzri a indiqué que le but d’Elyes Fakhfakh n’est pas le passage du gouvernement mais plutôt la réalisation des aspirations populaires exprimées lors des élections de 2019.
Dans ce sens, il a affirmé qu’élargir les concertations n’était pas une bonne approche rejetant ainsi les conditions d’Ennahdha d’inclure Qalb Tounes dans les négociations pour que le parti islamiste prend part au prochain gouvernement.
B.L
Aux arrivistes profiteurs de profiter maintenant de cette situation jamais vécu au palais de Carthage : Une personne politiquement vide, psychiquement instable, sans aucun parti, sans programme et avec tout ça élu à 73% !!!
Occasion en or pour les ratés d'Ettakatol et Joumhouri et autres pour combler tout le grand vide qui règne à Carthage.
La question est : les partis gagnants des élections législatives vont-ils laisser passer ce programme nocif pour eux et même pour la Tunisie ?
Tel père tel fils , ou tel conseillé tel Fakhfekh.
Quel ignorant , comment peut on affirmer qu'un parti représenté par 38 députés n'est pas volu par les Tunisiens .
Mais quel idiot , ce pseudo conseillé.
Il n'est pas étonnant d'entendre et lire des inepties d'un crétin .
Comment peut il être autrement , alors que son protégé Fakhfekh cumule des fautes de plus en plus mortelles et montrent sans aucun doute des conseils de débutants en politique .
D'abord exclure Khalb Tounes sur des arguments contradictoires et stupides les unes que les autres , alors que ce partie aurait pu l'appuyer politiquement sans demander de ministres.
A suivi par la suite , Fakhfekh implore kheriji de changer d'avis sur Khalb Tounes mais il l'a humilié.
'?a n'a pas suffit , kheriji ignoré Fakhfekh et ne viens pas a la réunion qui groupait 9 autres chefs de parties .
Fakhfekh , n'a pas trouvé d'autres solution que de dénigrer et de renvoyer ces chefs de parties .
A suivi une non signature du pseudo document par Bhiri , exigeant cette fois de proceder au choix des ministres .
Cette fois , kheriji continue a tourner en bourrique l'équipe de conseillers et de Fakhfekh pour ne pas envoyer de noms de ministres tant que ceux la ne se plient pas a ses exigences d'intégrer Kalb Tounes .
L'erreur encore plus fatale est de ne pas inclure les ministres de justice été l'intérieur dans les propositions des parties .
Alors la , les feu sont ouvert aussi par Ettayar
Mais ce n'est que le début et ce n'est que la partie émergée de l'iceberg des désaccords.
Fakhfekh et compagnie n'ont aucun choix que de reconnaître leurs impuissance a mener une quequonque mission de former un quequonque gouvernement .
Alors arrêtez de faire perdre le temps des Tunisiens .
Demissionnez , et laissez cette fois le président choisir la personnalité consensuelle susceptible de former un gouvernement qui va faire les réformes socio économiques nécessaires
."pouvoir lutter contre le monopole et la corruption."QT a quoi comme monopoleIl est corrompu en quoi?
NK n'est pas un vendeur de drogues ou d'armes ,il n'a jamais volé l'argent de l'Etat et s'il doit quelque chose au fisc ce n'est pas un crime!!! C'est au fisc de régler et gérer la situation.
On ne va pas parler de ça des années.
Bande de fous.