SUR LE FIL
Est-ce que les Brics ont déjà accordé des prêts à d'autres pays ?
Les Brics, qui sont un groupe de cinq pays émergents comprenant le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, ont émergé comme une force économique majeure au cours des dernières années. L'un des domaines clés où les Brics ont eu un impact significatif est dans le domaine des prêts accordés à d'autres pays. En effet, les Brics ont déjà accordé des prêts à plusieurs pays à travers le monde, souvent avec des termes plus flexibles que ceux proposés par les institutions financières internationales traditionnelles.
La Chine, en particulier, a été l'un des plus grands prêteurs des Brics, accordant des prêts à de nombreux pays en développement pour financer des projets d'infrastructures, tels que la construction de routes, de ponts et de centrales électriques. Les prêts chinois ont souvent été assortis de conditions moins contraignantes que celles proposées par les institutions financières internationales, ce qui a attiré l'attention de nombreux pays en développement.
L'Inde et le Brésil ont également commencé à accorder des prêts à d'autres pays, bien que dans une mesure moins importante que la Chine. L'Inde a mis en place une ligne de crédit pour les pays africains, qui est destinée à financer des projets dans des domaines tels que les infrastructures, les technologies de l'information et la santé. Le Brésil, quant à lui, a créé un fonds pour financer des projets d'infrastructures en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Les prêts accordés par les Brics ont été largement salués par les pays en développement, qui ont souvent eu des difficultés à obtenir des financements auprès des institutions financières internationales. Les prêts Brics ont également contribué à renforcer les liens économiques entre les pays membres des Brics et les pays en développement, et ont permis aux Brics de renforcer leur position dans l'ordre économique mondial.
Cependant, certains critiques ont souligné que les prêts Brics pourraient également présenter des risques, notamment en termes de soutenabilité de la dette pour les pays emprunteurs. Les prêts Brics ont souvent été assortis de conditions moins contraignantes que celles proposées par les institutions financières internationales, ce qui peut entraîner une accumulation de la dette pour les pays emprunteurs.
En fin de compte, les prêts Brics ont le potentiel d'offrir des avantages significatifs aux pays en développement, en leur fournissant des financements pour des projets d'infrastructures essentiels. Cependant, il est important que les prêts soient accordés de manière responsable et que les conditions de remboursement soient durables, afin d'éviter une accumulation excessive de la dette pour les pays emprunteurs.
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Commentaires
Léon
Aides, emprunts, et...trahisons (1)
a posté le 06-05-2023 à 09:59
La révolution des régionalistes et de la classe bourgeoise haineuse et ingrate, orchestrée par les atlantistes afin de voir sombrer le seul pays arabe qui était sur le chemin de l'excellence, a ruiné la Tunisie, l'a vidée de ses jeunes donc de son avenir, et l'a détruite à jamais. Ces atlantistes avec l'appui des RG de pays hostiles au monde arabe, se trouvent aujourd'hui au service des lobbies mondialistes, si bien représentés par des personnes comme Soros, avec les organes de renseignements qui ne disent pas leurs noms à l'instar des freedom House, USAid, Open Society and Co.
Aujourd'hui les Harragas comptent par millions, aussi bien ceux de Luxe, par leurs études ou leurs professions convoitées, que ceux de la misère qui empruntent les embarcations de la mort pour aller gagner un minimum de Dignité, précisément celle qu'ils ont définitivement perdue en 2011. Cela me rappelle la chanson engagée de Hédi Gallala, les années 80 "Babour Zammar Khach El Béhar". Je vous invite à l'écouter.
Nous n'avons pas fini de payer le prix de la trahison de notre pays, et je vous invite à lire ma tribune, publiée en 2017 dans "Tunisie Secret" et qui a pour titre "Le septième 7 novembre non célébré". Aussi, c'est avec une constante hargne qui vise les traitres que:
- Je me conchie de toutes mes tripes, sur ces traitres qui ont joué l'avenir de notre pays contre une hypothétique "Démocratie". J'en profite pour les féliciter pour les grands moments démocratiques qu'ils vivent aujourd'hui. Et comme je les prévenais dès 2017 dans ma tribune de "Tunisie Secret", il est préférable aujourd'hui d'appuyer les efforts souverainistes, que de revivre une colonisation claire et directe.
- Je me conchie du fond de mes tripes, sur ces personnes sorties par villes entières crier "dégage" au Meilleur Dirigeant qu'ait connu la Tunisie depuis l'antiquité. Président qui avait fait des miracles avec, comme boulet, le peuple que l'on a eu tout le loisir de découvrir après 2011, peuple qui trahi comme il respire.
- Je me conchie sur ces médias de traitres et de la Honte, héritiers des médias patriotes du combattant suprême et de son successeur, qui ont trompé le peuple tunisien, montrant en boucle la misère dans quelques endroits retranchés. Misère qui touche aujourd'hui villages, villes, et même la capitale.
- Je me conchie jusqu'à me vider les tripes sur ces ministres inconscients des Gvnts issus de la révolution, et qui, en dépit des mises en gardes successives de Léon (qu'ils lisent tous), ont préféré mentir au peuple et donner leur accord aux emprunts de la honte et de la colonisation pour mieux tromper le peuple. Emprunts qu'il est tardif de refuser aujourd'hui, sans risquer de mettre en péril la pitance de tout un peuple.
Après avoir arrosé les traitres de fruit de mes tripes, afin qu'ils baignent dans leur élément naturel, à savoir la fécalité dans laquelle ils nous ont définitivement installé par leurs actes, je tiens à vous rappeler que vous étiez en quête de "Dignité" en 2011. Dignité que vous aviez déjà et qui fut largement acquise depuis l'indépendance de notre pays en 1956. Dignité et que vous avez d'ailleurs perdue en 2011.
Le plus gros blasphème, proféré par quasiment tous les acteurs politiques en 2011, et à leur tête un bien tristement célèbre président provisoire, était celle que l'on avait tous entendue: "la vraie indépendance est celle de Janvier 2011". Parole qui souille le sang de ceux qui sont morts pour notre Dignité sous les balles de l'occupation. Je savais que de telle paroles, expression de la pire des ingratitudes, allaient sceller la re-colonisation de notre Pays. Les martyrs vivent avec nous et contrôlent nos actes. Ils tiennent à ce que leurs sacrifices soient glorifiés; et non pas souillés par ce type de paroles.
D'ailleurs, de quelle Dignité peut se prévaloir un peuple qui vit des dons de ses "bienfaiteurs" et des emprunts du FMI? De quelle Dignité peut-il se prévaloir lorsqu'il n'a d'autres choix que d'envoyer ses propres enfants dans d'autres pays? De quelle Dignité peut se prévaloir un peuple que ses enfants, et même ses notables, quittent pour d'autres horizons à la recherche d'un avenir, quelqu'il soit.
Aujourd'hui les Harragas comptent par millions, aussi bien ceux de Luxe, par leurs études ou leurs professions convoitées, que ceux de la misère qui empruntent les embarcations de la mort pour aller gagner un minimum de Dignité, précisément celle qu'ils ont définitivement perdue en 2011. Cela me rappelle la chanson engagée de Hédi Gallala, les années 80 "Babour Zammar Khach El Béhar". Je vous invite à l'écouter.
Nous n'avons pas fini de payer le prix de la trahison de notre pays, et je vous invite à lire ma tribune, publiée en 2017 dans "Tunisie Secret" et qui a pour titre "Le septième 7 novembre non célébré". Aussi, c'est avec une constante hargne qui vise les traitres que:
- Je me conchie de toutes mes tripes, sur ces traitres qui ont joué l'avenir de notre pays contre une hypothétique "Démocratie". J'en profite pour les féliciter pour les grands moments démocratiques qu'ils vivent aujourd'hui. Et comme je les prévenais dès 2017 dans ma tribune de "Tunisie Secret", il est préférable aujourd'hui d'appuyer les efforts souverainistes, que de revivre une colonisation claire et directe.
- Je me conchie du fond de mes tripes, sur ces personnes sorties par villes entières crier "dégage" au Meilleur Dirigeant qu'ait connu la Tunisie depuis l'antiquité. Président qui avait fait des miracles avec, comme boulet, le peuple que l'on a eu tout le loisir de découvrir après 2011, peuple qui trahi comme il respire.
- Je me conchie sur ces médias de traitres et de la Honte, héritiers des médias patriotes du combattant suprême et de son successeur, qui ont trompé le peuple tunisien, montrant en boucle la misère dans quelques endroits retranchés. Misère qui touche aujourd'hui villages, villes, et même la capitale.
- Je me conchie jusqu'à me vider les tripes sur ces ministres inconscients des Gvnts issus de la révolution, et qui, en dépit des mises en gardes successives de Léon (qu'ils lisent tous), ont préféré mentir au peuple et donner leur accord aux emprunts de la honte et de la colonisation pour mieux tromper le peuple. Emprunts qu'il est tardif de refuser aujourd'hui, sans risquer de mettre en péril la pitance de tout un peuple.
Après avoir arrosé les traitres de fruit de mes tripes, afin qu'ils baignent dans leur élément naturel, à savoir la fécalité dans laquelle ils nous ont définitivement installé par leurs actes, je tiens à vous rappeler que vous étiez en quête de "Dignité" en 2011. Dignité que vous aviez déjà et qui fut largement acquise depuis l'indépendance de notre pays en 1956. Dignité et que vous avez d'ailleurs perdue en 2011.
Le plus gros blasphème, proféré par quasiment tous les acteurs politiques en 2011, et à leur tête un bien tristement célèbre président provisoire, était celle que l'on avait tous entendue: "la vraie indépendance est celle de Janvier 2011". Parole qui souille le sang de ceux qui sont morts pour notre Dignité sous les balles de l'occupation. Je savais que de telle paroles, expression de la pire des ingratitudes, allaient sceller la re-colonisation de notre Pays. Les martyrs vivent avec nous et contrôlent nos actes. Ils tiennent à ce que leurs sacrifices soient glorifiés; et non pas souillés par ce type de paroles.
D'ailleurs, de quelle Dignité peut se prévaloir un peuple qui vit des dons de ses "bienfaiteurs" et des emprunts du FMI? De quelle Dignité peut-il se prévaloir lorsqu'il n'a d'autres choix que d'envoyer ses propres enfants dans d'autres pays? De quelle Dignité peut se prévaloir un peuple que ses enfants, et même ses notables, quittent pour d'autres horizons à la recherche d'un avenir, quelqu'il soit.
Léon
Aides, emprunts, et...trahisons (2)
a posté le 06-05-2023 à 09:59
Peuple Tunisien, je ne me reconnait plus en vous. Non seulement vous avez trahi votre pays; mais vous lui tournez le dos. Peut-être que Bourguiba aurait dû atténuer, un tant soit peu, ses ardeurs dans l'éducation et l'instruction. Un million de têtes pleines ne valent pas une seule tête bien faite. Celle de Ben Ali était bien faite, et celles des ministres post-révolution de vos prétendus "meilleurs Gvnts au monde" (sic!) successifs, étaient mal faites mais bien pleines. Le résultat, vous le connaissez! Comment retrouver l'oiseau rare, ces Léon qui ont vu juste, dans les millions de traitres à hauts diplômes. D'ailleurs si votre constituante a enfanté d'un seul Homme à la tête bien faite, c'est très précisément de celui qui fut l'objet de railleries des suffisants que vous êtes. Il est bien plus intelligent que vous! Je parle bien sûr de El Gassas.
Il va de soi que les 99,99% de tunisiens qui applaudissaient la révolution hier, en même temps que BHL et le congress américain, commencent aujourd'hui à changer leur point de vue après avoir indirectement ruiné leur pays. Ils finiront tous par emprunter le cap Léon, avec un virage à 180 degrés par rapport à leurs convictions d'antan. Convictions motivées par de sales sentiments, tels la haine, la jalousie et le régionalisme.
Drôle de Peuple! Il me rappelle les pans d'oiseaux qui survolaient l'avenue Habib Bourguiba les heureuses années 70, à l'approche du coucher du soleil, arrosant la population de leur fiente. Ils changeaient subitement de Cap, tous ensemble, au gré de je ne sais quel caprice. Un très beau spectacle animé avec de très beaux desseins dans le ciel. La populace, c'est moins joli, mais c'est le même comportement.
Enfin, bien que comparaison n'est pas raison, contrairement aux tunisiens, lorsque Grand Peuple de France, à qui vous demandez tous des visas pour quitter le pays que vous avez ruiné, sort dans la rue, ce n'est pas pour détruire son pays mais pour le libérer et faire respecter sa Devise: Liberté-Egalité-Fraternité. La rappeler à ses dirigeants qui se sont mis au service de tiers pays et des ces lobbies qui, après avoir ruiné le monde arabe, s'attellent aujourd'hui à ruiner les peuples Libres d'Europe, via l'UE et autres organisations qui violent le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. On ne rigole pas avec les grands peuples! Les français sont les vrais "Djihadistes du Bien": Des jeunes éborgnés, des brûlés, des mains arrachées, des milliers de garde à vue et d'arrestations, des casseroles (instruments aussi creux que la tête de leurs dirigeants actuels) qui raisonnent au bruit de la colère d'un peuple qui voit ses dirigeants se déconnecter de ses intérêts et le mener vers sa perte par des guerres et des conflits qui ne le concernent pas et le ruinent.
Si la même répression avait eu lieu dans la Tunisie de Ben Ali, LCI (un média en guerre contre les français et contre la Russie), aurait traité le régime de Ben Ali de policier et appelé à le démettre. C'est d'ailleurs ce qu'ils firent en 2011.
Si les Léon peuvent encore sauver la Tunisie, ils le feraient sans hésiter. Bien que sauver un peuple génétiquement ingrat, pour finir comme Hannibal Barça, comme Abderrahmen Ibn Khaldoun, comme Belhassen Chédly, comme Sidi El Moncef Bey, comme Bourguiba ou comme Ben Ali, n'est pas joyeux. De plus ce serait aussi vain que les actes de ces grands personnages de notre Histoire que vos aïeux, vos arrières grands parents et vos grands parents avaient trahi et que vous glorifiez aujourd'hui. Vos parents ont trahi Ben Ali, je puis d'ores et déjà vous prédire que vos petits enfants parleront de lui comme l'un des plus grands Hommes de notre histoire.
L'Histoire est serait-elle un perpétuel recommencement, comme nous le disait Thucydide depuis l'antiquité. J'espère que c'est faux, pour que VIVE LA TUNISIE.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant, Disciple Spirituel de Mon Col Ferchichi.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Il va de soi que les 99,99% de tunisiens qui applaudissaient la révolution hier, en même temps que BHL et le congress américain, commencent aujourd'hui à changer leur point de vue après avoir indirectement ruiné leur pays. Ils finiront tous par emprunter le cap Léon, avec un virage à 180 degrés par rapport à leurs convictions d'antan. Convictions motivées par de sales sentiments, tels la haine, la jalousie et le régionalisme.
Drôle de Peuple! Il me rappelle les pans d'oiseaux qui survolaient l'avenue Habib Bourguiba les heureuses années 70, à l'approche du coucher du soleil, arrosant la population de leur fiente. Ils changeaient subitement de Cap, tous ensemble, au gré de je ne sais quel caprice. Un très beau spectacle animé avec de très beaux desseins dans le ciel. La populace, c'est moins joli, mais c'est le même comportement.
Enfin, bien que comparaison n'est pas raison, contrairement aux tunisiens, lorsque Grand Peuple de France, à qui vous demandez tous des visas pour quitter le pays que vous avez ruiné, sort dans la rue, ce n'est pas pour détruire son pays mais pour le libérer et faire respecter sa Devise: Liberté-Egalité-Fraternité. La rappeler à ses dirigeants qui se sont mis au service de tiers pays et des ces lobbies qui, après avoir ruiné le monde arabe, s'attellent aujourd'hui à ruiner les peuples Libres d'Europe, via l'UE et autres organisations qui violent le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. On ne rigole pas avec les grands peuples! Les français sont les vrais "Djihadistes du Bien": Des jeunes éborgnés, des brûlés, des mains arrachées, des milliers de garde à vue et d'arrestations, des casseroles (instruments aussi creux que la tête de leurs dirigeants actuels) qui raisonnent au bruit de la colère d'un peuple qui voit ses dirigeants se déconnecter de ses intérêts et le mener vers sa perte par des guerres et des conflits qui ne le concernent pas et le ruinent.
Si la même répression avait eu lieu dans la Tunisie de Ben Ali, LCI (un média en guerre contre les français et contre la Russie), aurait traité le régime de Ben Ali de policier et appelé à le démettre. C'est d'ailleurs ce qu'ils firent en 2011.
Si les Léon peuvent encore sauver la Tunisie, ils le feraient sans hésiter. Bien que sauver un peuple génétiquement ingrat, pour finir comme Hannibal Barça, comme Abderrahmen Ibn Khaldoun, comme Belhassen Chédly, comme Sidi El Moncef Bey, comme Bourguiba ou comme Ben Ali, n'est pas joyeux. De plus ce serait aussi vain que les actes de ces grands personnages de notre Histoire que vos aïeux, vos arrières grands parents et vos grands parents avaient trahi et que vous glorifiez aujourd'hui. Vos parents ont trahi Ben Ali, je puis d'ores et déjà vous prédire que vos petits enfants parleront de lui comme l'un des plus grands Hommes de notre histoire.
L'Histoire est serait-elle un perpétuel recommencement, comme nous le disait Thucydide depuis l'antiquité. J'espère que c'est faux, pour que VIVE LA TUNISIE.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant, Disciple Spirituel de Mon Col Ferchichi.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
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