Dans la soirée de dimanche 3 mars, la chaîne française M6 diffusait son magazine « Enquête exclusive ». L’épisode consacré à la situation en Tunisie était fort attendu. Intitulé « Tunisie : entre dictature et misère, le grand retour en arrière », l’épisode n’a pas manqué de susciter les réactions.
Le dernier épisode d’Enquête exclusive semblait promettre un résumé virulent de la situation du pays, loin du carcan du décret 54; ce texte de loi qui pèse lourd sur les rédactions des médias tunisiens depuis moins de deux ans. Cependant, de la causticité habituelle, les spectateurs n’ont eu droit qu’à des fragments d’histoires qu’ils connaissent déjà. Des prisonniers politiques à la flambée des prix et la crise économique, en passant par la dictature qui s’est installée à Carthage, tout ou presque y était, mais sans ces petits détails qui auraient pu justifier la pince du chef du gouvernement tunisien Ahmed Hachani à son homologue français Gabriel Attal.
Plusieurs ont vu en ce reportage un épisode de déjà-vu banal et sans originalité qu’un journaliste débutant aurait pu réaliser sans même bouger de son bureau. « Vu Enquête exclusive sur M6 : nullissime ! N' importe quel journaliste tunisien aurait fait cent fois mieux », a écrit Tahar Fazaa sur sa page Facebook. Le chercheur en économie politique et relations internationales, Hassen Kobbi, a, lui, commenté: « L’Enquête exclusive d’hier sur M6 est semblable à toutes ces émissions politiques insignifiantes qui passent sur les chaînes de télé et radio tunisiennes, mais en français ».
L’enseignante universitaire et sociologue, Fathia Saidi, a de son côté commenté : « L’Enquête exclusive de M6 : elle est exclusive pour les français probablement mais pas pour nous. Il s’agit d’un reportage simple informant sur la situation sociopolitique de la Tunisie post-révolution (13 ans après le 14 janvier 2011) en se basant sur quelques questions clés. Les 02 questions qui se posent sont : Qui a participé à la popularité de l’émission et à l’augmentation de son taux d’audimat ? N’est-il pas le chef du gouvernement tunisien avec ses propos lors de sa rencontre avec son homologue ? Bref, ce sont les mêmes erreurs et les mêmes pratiques politiques qui assassinent… ».
La journaliste Aida Arab a, elle, écrit : « Ça n’a rien d’une enquête et encore moins d’une « enquête exclusive ». C’est à peine si on peut le qualifier de récit et d’ ailleurs; un récit de bas étage! À la M6 quoi! ».
« Décevante 'l'Enquête exclusive' de M6. Pas de ligne directrice claire, une démarche décousue et une approche superficielle. À aucun moment de l'émission je n'ai senti qu'on allait au fond des choses. Par ailleurs, on constate une méconnaissance manifeste de la réalité sociologique et de la réalité politique complexe de la Tunisie après le 14 janvier avec toutes ses contradictions, ses dangers et les différents intervenants sur la scène politique et leurs mentors. Enfin, la partialité de l'équipe est fracassante. Parler de démocratie, de nouveau paysage politique et d'opposition sans parler du PDL et de sa présidente, la passionnaria Abir Moussi, est soit une prise de position dictée, soit un manquement aux principes déontologiques de la profession, et dans un cas comme dans l'autre ce n'est pas digne de professionnels du journalisme. À bon entendeur, salut », a souligné, le membre du Parti destourien libre (PDL) Thameur Saad.
Si pour certains, le reportage de Bernard de La Villardière était loin d’être une enquête exclusive, pour d’autres, le contenu était truffé de contre-vérités et même dangereux. Le reportage a, rappelons-le, repris certains extraits des discours du président de la République, notant les propos complotistes et même antisémites de Kaïs Saïed. Comme quoi, sans une pincée d’antisémitisme, la recette aurait été un fiasco! Une internaute n’a pas manqué de relever cet aspect notant : « Enquête exclusive c’est Mornaguia et non pas Monarguia. Soyez maudits !!! Vous allez vous occuper un peu de vos affaires, oui ? L’antisémitisme, vous avez réussi à le placer !!!! Du balai… ».
La députée Fatma Mseddi, a, elle, dénoncé l’extrait sur le calvaire des migrants subsahariens en Tunisie. « La chose la plus dangereuse qui a été diffusée hier soir dans l’émission Enquête exclusive est le dossier des Africains subsahariens qui accusent les Tunisiens d’avoir violé leurs femmes et volé leurs biens. Le gouvernement, en particulier le ministre de l’Intérieur, doit agir et répondre à ces contre-vérités et à ces graves accusations. Il faut en finir avec ce dossier qui a troublé la Tunisie, et je travaillerai dans les prochains jours à la constitution d’une commission d’enquête parlementaire sur la migration irrégulière ». L’émission a, notons-le, été consacrée en partie à des témoignages de migrants subsahariens qui ont fait part de leurs expériences et de la discrimination qu’ils subissent durant leur transit en Tunisie.
Parallèlement à la misère des Subsahariens, la souffrance des détenus politiques, le supplice quotidien des Tunisiens et le marasme politique et toutes les autres problématiques débattues jour et nuit sur les plateaux radio et télé, l’émission s’est penchée sur un autre aspect sans lequel Bernard de La Villardière n’aurait pas été fidèle à sa ligne éditoriale. Le bling bling était bien présent avec un tour à la Badira et chez une instagrameuse présumée star et connue des Tunisiens. Cet autre visage de la Tunisie a fait aussi réagir. « Ravie d'avoir perdu un peu de temps a regarder l'Enquête exclusive de M6 "Babouches et quinoa au pays de Haifa" consacrée à la Tunisie. Grotesque du début à la fin », a écrit une internaute.
En bref, l’émission était « (…) Un tableau certes court et maladroit pour un pays plus complexe qu'il n'y paraît mais loin d'être abstrait », comme l’a énoncé, la membre du Conseil d'administration, à Français du monde (ADFE), Martine Vautrin Jedidi. « Comme attendu, rien d'exceptionnel ni d'exclusif ni enquête dans ce "documentaire" destiné au public en France mais contre toute attente, rien de vraiment scandaleux ni d'extrêmement caricatural ».
Nadya Jennene
Ce que désirent les manipulateurs et les fomenteurs de l'hiver arabe, c'est des dirigeants qui mangent dans leurs mains et qui disent amen à toutes leurs sollicitations, sans aucune contestation.
Tant que les pingouins de la maudite troika importaient à tout-va des produits manufacturiers de chez les sponsors des chameliers ignares et des autres traîtres incultes du groupe, tout baignait.
La mise en faillite, le démantèlement des services publics et leurs PRIVATISATIONS par la suite, faisaient partie de l'excellent programme. préparé avec soin par les atlantistes qui voulaient infiniment de bien, au pays.
De plus, je reste persuadé que l'hiver arabe de notre bledistan, était un tremplin pour aller ficher la merde chez nos frères Algériens, pour accaparer l'incommensurable richesse de leur sous-sol.
N'oublions pas que l'occident est en "faillite" depuis un petit moment et que tous les coups sont permis.
Jamais, les services de renseignements des puissances coloniales ne s'étaient autant gavés que durant cette période, quand on sait que la rkhissa, la vendue et traitresse, Sihem Ben Sedrine, avait personnellement dissout la branche des services de 'Amn el, dawla", en compagnie de Farhat Rajhi, qui jouait sa tête à ce moment précis !!!
A quand le procès de celle par qui plusieurs scandales arrivèrent, S.B.S !!
Quand on voit la coalition actuelle contre la Russie, on voit très clair les intentions belliqueuses.
L'occident n'en a rien à cirer de Zelinsky.
C'est la puissance sans cesse montante de la Russie qui leur fait extrêmement peur.
C'est un obstacle majeur pour leur hégémonie.
PS : Vous, souvenez-vous de la visite de l'inégalable De, de La Villardière, lorsqu'il était venu au bled en 2011 pour enrhumer du crétin quant au coup d'Etat perpétré par les atlantistes, qu'ils firent passer pour un Printemps arabe.
Hahaha, hahahaha, hahahaha, ?
Ce débile est allé même jusqu'à attribuer le titre de La révolution du jasmin, pour justifier le parachutage, en tant que dirigeants de la NATION, des plus grands tarés que le pays connut, à savoir les saltimbanques de la maudite terka.
Depuis, on ne le revit que ces derniers jours.
Je mettrai ma main à couper, si le goumi Marzouguiki et le reste des traîtres planqués en France, ainsi que quelques appuis, ne sont pas derrière l'élaboration de cette enquête non exclusive, destinée à redonner espoir aux traitres et aux vendus mis sur la touche, un certain mois de juillet béni !!!
Et j'ai cherché et j'ai trouvé un bon article sur le site MARSAD TUNISIA du 03/04/2013.
'La police confisque les boissons alcoolisées au Club de journalistes
Le Fonds d'entraide entre les journalistes tunisiens (Fejt) condamne l'intervention lundi à Tunis des agents de l'ordre au Club des journalistes et la saisie des bouteilles d'alcool destinées à la consommation de ses membres.
Dans un communiqué rendu public mardi, le Fejt a vivement condamné l'intervention d'un nombre impressionnant d'agents de police du District de la sécurité nationale de Bab Bhar au Club des journalistes à l'avenue Habib Bourguiba et la confiscation des boissons alcooliques destinées à la consommation des journalistes et membres adhérents au club dépendant du Fejt, qui a décidé de le fermer en attendant d'autres décisions.
Selon le communiqué, il s'agit d'une atteinte aux droits des journalistes, car il s'agit d'un club culturel et social à l'image des autres clubs corporatistes comme celui des avocats, des magistrats et non un bar.
«En janvier dernier, le gouverneur Adel Ben Hassine, un ancien propagandiste de l'ancien régime en liaison avec des familles corrompues, a pris la décision de le fermer parce qu'il ne détient pas une licence de vente d'alcool. Nous l'avons rencontré pour lui expliquer qu'il s'agit d'un simple espace où les journalistes se rencontrent depuis des dizaines d'années. Ce n'est pas un bar et il est financé par diverses recettes notamment celles des ventes de tableaux de peintures. Le Fejt, qui est avant tout une association au service des journalistes, arrive à aider les journalistes mal rémunérés et autres cas sociaux. Nous lui avons demandé de nous accorder une licence spéciale. Le gouverneur nous a semblé compréhensif», lit-on dans le communiqué.
Le journaliste Zied El Hani a déclaré aux médias qu'il a pris contact avec le ministère de l'Intérieur qui, selon lui, ne serait même pas au courant de cette opération mais on lui a promis de se pencher sur la question pour trouver une issue.
Le Club des journalistes reste en revanche fermé sur décision du Fejt en attendant trouver un terrain d'entente avec les autorités.'
Je pense que le PRESIDENT n'avait pas tort LORSQU'IL A PARLE DE MAKHMOURIN!!!
Et B.N écrit dans le dernier paragraphe de l'article: 'Enquête exclusive sur M6 : le tableau noir de la situation en Tunisie'. B.N 04/03/2024 | 00:25:
'La situation de la presse et de la liberté d'expression a été, également, retracée, notamment, à travers le témoignage du journaliste Zied El Heni qui a dénoncé la répression et les menaces contre les libertés en Tunisie.'
Dans une dictature vous ne pouvez pas exercer votre métier de journalisme.
Je ne fait de la politique qu'on soit clair, un simple constat.
sincerement rien la plupart des images et videos sont de la chaine nationale 1 les memes problemes manque de sucre de farine cafe ....crise economique ...
puis les opposants qui sont en prison ........ les africains subsahriens mal menés .rien de nouveau
Mais ce pseudo journaliste a t-il evoqué les vrais causes non
voila les vrais origines du mal de ce pays
C'est la france et les lobies sionistes qui ne veulent que du mal pour notre pays
le fiasco printemps arabe la destruction de la libye l'egypte syrie irak yamen.....
les africains subsahriens ont eté contraints de quitter leurs pays ã cause de la guerre civile provoqués par les forces colonialistes pour voler et raser l'uranium cobalt or cuivre...
puis les pousser vers la petite tunisie pour les faire immigrer en europe italie
grâce a son peuple soudé la tunisie est debout et ne tombra pas KS n'est pas ben ali et le peuple n'est plus dupe
aujourd'hui les vrais amis de notre pays sont ceux qui vous critique en face et non derriere ton dos
a t-il evosu'? les vrais problemes
non
Parler d'une crise inexistante, c'est tenter de nous inciter à contracter un emprunt... parce que la Tunisie n'a pas contracté d'emprunt auprès de la Banque mondiale pendant 4 ans et a payé ce qu'elle devait à temps.
Puis une tentative pour contrecarrer la détermination des Tunisiens, puis une tentative de dénaturer la Tunisie afin de nuire au tourisme... tout comme ils l'ont fait avec la rumeur du Botox pour nuire au tourisme de beauté, et les médias tunisiens les ont aidés en cela... alors que sous le régime ghanéen, les conditions étaient pires, mais nous n'avons vu aucun effet de cela sur les chaînes françaises... les chaînes de propagande par excellence. Une partie des médias tunisiens RCDiste et regionaliste est affiliée à ce mafieux groupe...
Allah Lè Yar7im Lèhoum Wèldin !
Une enquête doit être diligentée pour connaître la vérité .
Il es vrai qu'en cours de journée le thermomètre a grimpé provoquant des fritures sur la ligne
Toujours est il que si ce régime était nickel au dessus de tout reproche ce reportage de pacotille aurait passé inaperçu. Le régime est ainsi à la merci d'un non évènement.
La Tunisie telle qu'elle s'est constituée depuis un millénaire est à l'agonie; une nouvelle entité socio-politique elle aussi dénommée Tunisie est en train de naitre;
Et en ce moment de clair obscur des monstres apparaissent dans le miroir que nous nous acharnons à ignorer
Si la détresse décrite par vos concitoyens dans l'inconfort de leur foyer précaire, ou encore les interminables files d'attente pour obtenir, comme le rapportent les journalistes, "quelques briques de lait", ne suscitent pas en vous une profonde émotion, il est peut-être temps de faire un examen de conscience. La misère que vous côtoyez chaque jour devient hélas trop familière, risquant de perdre toute capacité à vous alarmer.
Il est facile de s'habituer à la souffrance des autres, de la reléguer à l'arrière-plan de notre conscience quotidienne. Cependant, il est essentiel de réaliser que cette réalité persistante ne se relèvera pas d'elle-même. Vous etes les témoins directs de l'injustice sociale, de la pauvreté criante, et il est de votre devoir de réagir.
Chaque file d'attente est une manifestation de l'urgence sociale, une sonnette d'alarme qui résonne dans nos vies bien souvent trop occupées. Nous devons reconnaître que la misère n'est pas une abstraction lointaine, mais une réalité ancrée dans notre société.
En tant que membres de cette communauté, vous avez la responsabilité de vous émouvoir et d'agir.
Il est temps de rompre avec indifference, de tendre la main à ceux qui luttent au quotidien. Parce que, face à la misère persistante, l'apathie n'est pas une option. Il est grand temps de réveiller notre empathie, de remettre en question notre insensibilité apparente, et d'?uvrer ensemble pour créer un changement tangible.
La misère ne peut plus rester une réalité ignore et faisons de notre mieux pour créer un monde où chaque individu a la chance de vivre dignement.
On dirait que quelqu'un les a guidé vers les traitres ahmed chebbi et son frère qui, quand même, subit le Dictateur en place.
De plus, ils n'ont pas approfondi la mégalomanie, l'incompétence, la dangerosité et la folie sibylline du Diktatour en place.
L'émission a été enregistrée vers le 15 octobre et déjà Maître Abir Moussi était en prison, et TOUTE la Tunisie le savait...sauf les équipes de M6 ; y'a "quelqu'un" qui les a guidé vers Chebbi et les khwenjias "isakhfou les pauvres"...
La révolution ne sera pas de ce type télévisé...ni téléphoné ni télémondovisioné.
LIBERTE ET SOLIDARITE AUX OPPOSANT.E.S POLITIQUES COMME D OPINIONS SANS EKSCEPTIONS !
RETOUR AUX FONDAMENTAUX D ESPRIT 2011 ET DE LETTRE COMMUNE 2014 SANS PARJURE NI KKKONTORSIONS !
Juste je me demande pourquoi ils n'ont pas parlé de la numéro 1 en Tunisie, Abir Moussi....
La seule personnalité politique arrêtée, et qui n'a eu droit à aucune attention, est Abir Moussi. Alors un grand merci pour Elle. Et un grand Merci pour le Parti Hitorique de la Tunisie Libre et Indépendante.
Le premier parti du pays n'a pas eu le droit à un traître mot.
La bien-pensance française continue à vouloir imposer les zéro-virgule au peuple de dupes, mu de sales sentiments, tels la haine, la jalousie et le régionalisme.
D'ailleurs, plus personne dans la rue ne cite Ben Ali par "le Dictateur". Mais M6 vit encore entre 2011 et 2014.
Peuple de traitres, ya Ouled Hillary qui, après a voir détruit votre pays en applaudissant une révolution imaginaire, en même temps que BHL, Mc Cain, la mère Albrght et consort, je vous trouve subitement aussi patriotes que Léon, dénonçant l'ingérence étrangère, comme l'a toujours fait Léon depuis 2011.
Mieux vaut tard que jamais, peuple de traitres! Mais Moi, Sidkom, comme Lellatkom Abir, avons fixé les lignes rouges depuis 2011 lorsque l'héritage de la réussite benalienne était encore présent. Même si la Tunisie est complètement ruinée par vos actes, et ce, sur tous les plans, heureusement que vous avez appris à protéger votre fondement, bien éprouvé par les atlantistes et les sionistes, jusqu'à devenir aussi large que le tunnel sous la Manche.
Bienvenue au club, treize années plus tard! Et surtout faites vous bonne conscience!
Léon, min joundi Tounis al Awfiya,
Résistant jusqu'à la Liberation,
Verset 112 de la Sourate des abeilles
êtes en quête de virginité après avoir
RETOUR AUX FONDAMENTAUX D ESPRIT 2011 ET LETTRE COMMUNE 2014 SANS PARJURE NI KONTORSIONS !
LIBERTE ET SOLIDARITE SANS EKSCEPTIONS AUX DETENU.E.S POLITIQUES COMME D OPINIONS AINSI QUE TOUT LE PAYS OTAGE KONTRAINT AVEC !
Un exemple. Il y'a eu, apparemment, un problème d'oranges tunisiennes à destination de la France. Retour à l'expediteur. Trop de pesticides ? Les agriculteurs français, ils sont toujours à pieds de guerre disent que les tomates marocaines sont bourrées de pesticides. Ces braves tomates sont toujours sur les étals de Leclerc et de Grand frais. Le Maroc est ami-ami. Donc, pas de soucis.
Pour mémoire, le héros de guerre Bernard levy à été chassé comme un mal propre de la Tunisie. Bien évidemment, ça lui reste à travers la gorge et puis, la rancune ça connaît l'ami Bernard.
Pas que ça la drogue qui circule en Europe et en France via air cocaine et autres canaux ni vu ni connu et silence radio '?'un baron de la drogue radouane t*** a été jugé de la prison avec perpétuité en hollande il fait partie de la Mocro mafia (mafia de drogue marocaine)qui gangrène les pays bas et d'autres pays ,en Belgique en Italie en France et un peut partout dans le monde.
Les dealers en France mettent sur eux du liquide qui va de 2000 a 4000'?' pour les donner aux policiers de la bac et des stups en cas d'interpellations pour les relâcher '?'combien de flics au 35 quai des orfèvres a piocher dans les scellés de drogues '?'elle est belle la démocratie '?'