
Le conseil de la Choura d'Ennahdha, réuni mercredi 4 août 2021, a admis les erreurs commises par le mouvement et souligné la nécessité de mener une autocritique approfondie de ses politiques au cours de la dernière période et de procéder aux révisions et renouvellements nécessaires de ses programmes et cadres à l'horizon de son 11ème congrès prévu à la fin de cette année, pour reconsidérer ses choix et son positionnement pour qu’ils soient en phase avec les messages exprimés par l’opinion publique et avec les besoins du pays.
Le conseil a appelé à l’accélération d’un retour à une situation constitutionnelle normale, en levant le gel du parlement, afin qu’il reprenne son rôle, améliore son rendement et réorganise ses priorités selon les besoins du moment. Dans ce cadre, le parti se dit prêt à interagir positivement pour dépasser les entraves et l’instauration d’un climat qui permet la reprise de la transition démocratique.
Le mouvement a aussi insisté sur sa volonté d’entreprendre la voie du dialogue avec toutes les parties nationales, et à leur tête le chef de l’Etat, pour dépasser la crise, réaliser la paix sociale et entreprendre les réformes nécessaires. Il a exprimé également son engagement de principe pour la lutte contre la corruption et la poursuite des impliqués, quels que soient leurs postes ou leur appartenance, dans le cadre de la loi.
Ennahdha a appelé au lancement d’un dialogue national pour entreprendre les réformes politiques et économiques nécessaires au pays pour une sortie de crise et accélérer un retour à l’équilibre des finances publiques et au dynamisme de l’économie.
En effet, le parti politique dit avoir compris la colère populaire grandissante, notamment chez les jeunes, et qui est due à l'échec économique et social dix ans après la révolution, et le fait qu’ils tiennent toute la classe politique pour responsable. Il recommande ainsi l’accélération de présenter le nouveau gouvernement au parlement pour avoir sa confiance, pour qu’il puisse rapidement s’occuper de lutter contre la pandémie, trouver les ressources nécessaires pour le budget 2021 et préparer le budget de 2022.
Et de souligner qu’aucun argument ne peut justifier un écartement des acquis comme celui de la transition démocratique et du respect des droits et libertés. Ennahdha a exprimé, dans ce cadre, sa profonde inquiétude face aux arrestations, qui ont touché blogueurs et députés après le 25 juillet 2021 ainsi que les poursuites judiciaires contre des civils entamées par la justice militaire, en violation de la Constitution. Le parti a aussi exprimé son appréhension qu’on utilise les mesures exceptionnelles pour se servir de la justice pour régler des comptes politiques.
I.N


Un conseil gratuit pour ceux qui ont un minimum d'humilité et de jugeote, accepter le sort qui vous est réservé et que vous avez eu le temps et l'audace de vous forger. Ne vous compliquez pas plus le sort et foutez la paix à un peuple et ses dirigeants qui sont prêts à vous laisser vous délecter votre échec.
Et tout cela c'est pour coloniser la Tunisie. Que d'argent est mis à leur disposition.
Comment voulez-vous qui ne corrompent pas les gens. Un marketing insensé est mis à leur disposition pour influencer les électeurs naïfs.
Le proverbe tunisien dit :
" Le décoré de l'extérieur comment il est à l'intérieur ? ".
comme pensée et réflexion, leur seul souci c'est d'avoir la gouvernance ces incultes escrocs.
Regardez ! combien ils ont comme argent de provenance douteuse dans un pays pauvre qui ne peut plus survivre que par les prêts (jamais payables) ou bien par les dons, les donations ou l'aumône. Un argent qui va directement dans les caisses de nahdha ou dans les poches de ses menbres.
De rappeler quil n'y a jamais eu de suivi ni d'audit concernant l'argent des dons dpour le covid puisqu'il est destiné aux régularisations des salaires des recrutés par nahdha dans les ministères et les sociétés publiques se trouvant à Tunis, et que que cela soit obligatoirement à Tunis pour que leurs recrutés tous originaires, comme eux, du sud puissent habiter dans cette ville massacrée et surpeuplée avec la complicité soit des députés (sudistes de même) et en connivence avec nahdha et par celle de la maire de Tunis nommée par ghanouchi justement pour accomplir ce plan diabolique de coloniser Tunis au détriment du massacre de l'économie tunisienne.
Le conseil Echoura d'Ennahdha réuni hier, lors d'une session exceptionnelle a assuré que « le mouvement Ennahdha veille au dialogue avec toutes les parties nationales, dont principalement le président de la République, afin de dépasser la crise, instaurer la paix sociale et réaliser les réformes nécessaires.»
Echoura a assuré que « le mouvement adhère à la lutte contre la corruption et les corrompus quelque soit leur apparence et leurs postes.»
https://www.shemsfm.net/fr/actualites_tunisie-news_news-nationales/306785/le-conseil-echoura-assure-que-ennahdha-adhere-a-la-lutte-contre-la-corruption-et-les-corrompus
Il faut absolument qu'ils disparaissent de la scène politique. Ils n'ont plus rien à faire qu'à remettre les fortunes qu'ils ont amassées, peut-être ça pourrait provoquer une certaine compassion devant les juges qui ont le devoir de les juger et réduire un tant soit peu les condamnations.
Il s'agit de tout un peuple qui ne peut plus endurer ce calvaire, cette honte et ce massacré socio-économique pour que les menbres de cette nahdha deviennent des milliardaires et vivent dans le confort et l'allégresse.
Ils veulent tout faire pour sauver leur peau et leur image avec tout le mal qu'ils ont fait au peuple
Ils ont toujours pas compris que le retour à l'assemblée est aussi simple comme bonjour.
Ils prennent les décisions du Président à la légère.
Ces énergumènes ils sont capables de tous. Ils feront tous pour revenir s'assoir sur leurs sièges à L'ARP quoi qu'il en coûte.
Ce R.G hier il faisait le mort, avec ces allez retour dans les hôpitaux, aujourd'hui il prend du poil de la bête quitte a marcher sur les corps de ces adversaires.
C'est un fumiste de première classe, attention à lui...
Il faut absolument que le Présidentde la république nomme au plus vite un Premier Ministre pour couper l'herbe sous le pied à toutes spéculations avenir.
Il faudrait aussi accélérer les procédures judiciaires envers l'ensemble des députés ayant dilapidé l'argent de l'état et au plus vite, car chaque minute compte.
Méfiez vous Mr le PR'?SIDENT le peuple est de votre côté...
Si le président flanche, il faut alors relancer les manifestants. C'est la seule manière de le contraindre à agir.
"Dialogue" en Tunisie signifie: immobilisme, perte de temps, volonté de bloquer ainsi que d'autres expressions synonymes.
D'ailleurs il est utilisé par l'UGTT dans ces même sens lors de ses opérations d'extorsion.
- Nouvelle constitution ... avec un régime présidentiel
- Nouvelle loi électorale ... permettant d'avoir une majorité ... avec un scrutin uninominal à deux tours ... on ne veut plus de vote pour des listes ...
- Nettoyer la justice, l'administration, le ministère de l'intérieur, les instances dites constitutionnelles ... virer les gouverneurs nahdhaouis
- Mettre ceux qui ont fauté en prison ... leur interdire de participer à la vie politique du pays
- Dissoudre Ennahdha et Kalb Touness ... et leur interdire d'exister pendant quelques années ...
- Nouvelles élections présidentielles, législatives, municipales, ..
Si KS flanche ... Les gens qui sont descendus dans les rues le soir du 25 Juillet s'en chargeront ...
Cette secte doit disparaître du paysage politique.....
C'est une vue de l'esprit.
Ils auront des pierres pour se casser les dents.
L'ARP est morte et belle et bien morte.
Il ne peut y avoir le retour d'un mort!
Le dialogue est impossible avec des voleurs et des. traîtres.
L'Histoire en a décidé autrement.
Par la vertu d'une décision, le Président à mis K.O. la secte. Et, soudain, ce n'est plus de menace qu'il est question, mais d'appel au dialogue.
Recette miraculeuse qui fut ses preuves, produisit ses effets tout avantage en faveur des "frères".
Ce temps-là est révolu.
Le "dialogue" est une recette d'indigestion.
Alors, les islamistes, les suppôts, les serviles et harkis, vous n'en aurez point désormais qu'à dialoguer entre sectaires.
La loi doit être la seule recette.
Et, pour des voyous de votre espèce, c'est même une chance, dites-le-vous bien.
Il est des pays, des moments dans l'histoire des peuples, où l'on pendait haut et court les terroristes.
En cette bonne terre de Tunisie, vous aurez de quoi vous défendre, les moyens d'organiser des recours, et même sauver vos têtes.
Mais, on ne vous laissera pas nous refaire le coup, ni reprendre la main.
On vous jugera.
Et, on appliquera les sentences.
N'en déplaise à vos agents, juges, procureurs, flics, ou politicards "démocrates" qui vous ont servi.
Telle sera la suite de la DECISION.
Allez dites à dieu au parlement secte religieuse
Vraiment merci.
Aya Monsieur le Président une autoroute s'ouvre a vous, allez-y, vous avez le soutien du peuple.
un dictateur qui a fait un coup avec une dabbaba, ne sortira qu'avec une dabbaba à la sissi.