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Sami Ben Slama « célèbre » quatre mois sans salaire ni couverture sociale
27/10/2022 | 08:45
1 min
Sami Ben Slama « célèbre » quatre mois sans salaire ni couverture sociale

 

Sami Ben Slama, membre de l’Instance supérieur indépendante pour les élections (Isie), a voulu partager avec sa communauté Facebook la célébration d’une date qu’il dit chère à son cœur. Dans un statut ironique, M. Ben Slama a rappelé que cela fait exactement quatre mois qu’il est sans couverture sociale ni salaire. Il relève aussi qu’il est dans l’impossibilité de regagner son ancien travail parce qu’il serait dans ce cas dans l’obligation de démissionner de l’instance. Chose qu’il se refuse de faire depuis le début de son bras de fer avec ses collègues de l’Isie.

Sami Ben Slama, qui n’a eu de cesse de dénoncer les pratiques du Conseil de l’Isie, s’est vu éjecté de ses fonctions et poursuivi en justice. L’instance a mis fin aux missions de M. Ben Slama le 25 août 2022, alors que les membres sont nommés et révoqués par le président de la République en personne. Elle a, également, publié au Jort n°97 du 30 août 2022, le procès-verbal de la réunion de limogeage de M. Ben Slama. 

 

R.B.H


27/10/2022 | 08:45
1 min
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Commentaires
L'insolence
a aussi un prix...
a posté le 27-10-2022 à 16:27
Mieux vaut bien réfléchir avant d'agir. Et l'insolence a aussi un prix. Maintenant, il faut s'assumer, sachant que L'ISIE n'est pas une institution de charité...!!
Soussi
Sami
a posté le 27-10-2022 à 14:40
Avec votre experience vous aurez du voir les choses venir
Vous n etes pas stupide a ce point
Le choix de votre camp n etait pas le bon
Sniper
bizarre
a posté le 27-10-2022 à 12:00
ou travaillait ce MR ? été t-il en chômage avant qu'il soit membre de l ISIE ou quoi ?
vraiment on tout vu en ce Bled
LE CURIEUX
C'EST SIMPLE
a posté le 27-10-2022 à 09:27
Je suggère à ce monsieur, qui a osé s'opposer au nouvel ordre établi, d'aller devant le portail du palais et se courber l'échine dans l'espoir d'obtenir la grace du prince.
Sinon, peine perdue...
Depuis juillet 2021, les rebelles n'ont plus de place dans ce pays d'obtus.
Sinon, il faut opter pour " elharka " et l'exil.