
Le secrétaire général de la Fédération générale de l'enseignement secondaire relevant de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Mohamed Safi, a dénoncé l’ingérence d’un juge dans le travail du conseil de discipline du collège de Bouficha.
Il a expliqué que la fille du juge en question a été traduite devant le conseil de discipline, ainsi que quelques autres élèves, pour fraude et que son père a menacé les enseignants de les traduire eux aussi devant la justice.
« Il a mis ses menaces à exécution, les membres du conseil ont été invités à comparaitre lundi devant l'unité de lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants » a ajouté le responsable, soulignant qu’il ne s’agit pas de la première fois qu’une telle ingérence de la justice se produit au sein d’un établissement scolaire et que les enseignants ne se présenteront pas devant l’unité en question.
M.B.Z
Très mauvais exemple.
L'une des chose qui pourrit notre Nation avec les fraudes, détournements de fonds et autres pots-de-vin, ce sont les abus de pouvoir.
...
Le CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE doit être saisi et statuer sur son sort.
La punition doit être exemplaire.
peut être bien que cet acte est héréditaire
L'abus de pouvoir est devenu monnaie courante
Il se peut que cet acte est héréditaire
je pense que ce "monsieur" considère que sa progéniture jouit aussi de l'immunité
dans un pays où
l'enseignant
est traité de fou
soit par ses apprenants
de bandits ou voyous
soit de leurs parents.
devant la marée de ces sultans,
le pauvre mec
devient aphone;
et s'il ose ouvrir le bec
ils se nourriront de sa chair
pour avoir une idée du steak...
Non, chers amis
et chers ennemis,
rien ne m'étonne
en ces temps de déclin,
de cette dégringolade
du pinacle de l'illusion.
Et si un juge sagace
devenu une force rapace
trouver bon de mettre
l'académie en prison,
j'espère qu'il rappellera
que c'est via les enseignants
qu'il est devenu juge
pour être objectif et impartial!

