Est ce que Jaraya est plus dangereux que ben Ali!
Je pense que non.
Il faut laisser faire le temps.
L’arrestation de Chafik Jarraya inquiète beaucoup de ses proches en Tunisie, mais également chez les Tunisiens de France. Inquiétude davantage accentuée par l’absence quasi-totale d’informations fiables, ce qui est normal puisque le secret de l’instruction, jalousement gardé par la justice militaire, fait que personne ne sait ce que Chafik Jarraya et ses smartphones ont dévoilé. Même pas ses avocats qui n’ont pas eu le droit de copier le dossier contenant les charges pesant sur leur sulfureux client.
Face à l’absence d’informations, on remarque que les lobbyistes tunisiens de France gesticulent beaucoup ces derniers jours et lancent des accusations à tout va contre Youssef Chahed et ses proches sur les réseaux sociaux. Souvent, voire toujours, sans preuves et avec des contrevérités tellement grosses qu’elles font pitié. On est juste priés de les croire sur parole.
On en voit de toutes les couleurs, des avocats, des hommes d’affaires dans le commerce international ou des ingénieurs. Certains sont proches des CPR/Irada, d’autres sont proches de Nidaa. Ils ont tous un point commun, ils ont été proches de Chafik Jarraya et ont entretenu des relations avec lui jusqu’à son arrestation.
A la Kasbah, mais aussi à Carthage, on rit sous cape et on se délecte de ces gesticulations de personnes qu’on ne soupçonnait pas le moins du monde d’être mêlés à Jarraya et qui se dénoncent tout seuls. Vivement que le juge d’instruction et/ou le parquet militaire dévoilent les différents noms de personnes impliquées et les accusations qui pèsent sur elles. C’est indéniable, le combat contre la corruption en Tunisie ne saurait se faire en Tunisie seulement. Une telle pieuvre a obligatoirement des ramifications internationales.
R.B.H
L’arrestation de Chafik Jarraya inquiète beaucoup de ses proches en Tunisie, mais également chez les Tunisiens de France. Inquiétude davantage accentuée par l’absence quasi-totale d’informations fiables, ce qui est normal puisque le secret de l’instruction, jalousement gardé par la justice militaire, fait que personne ne sait ce que Chafik Jarraya et ses smartphones ont dévoilé. Même pas ses avocats qui n’ont pas eu le droit de copier le dossier contenant les charges pesant sur leur sulfureux client.
Face à l’absence d’informations, on remarque que les lobbyistes tunisiens de France gesticulent beaucoup ces derniers jours et lancent des accusations à tout va contre Youssef Chahed et ses proches sur les réseaux sociaux. Souvent, voire toujours, sans preuves et avec des contrevérités tellement grosses qu’elles font pitié. On est juste priés de les croire sur parole.
On en voit de toutes les couleurs, des avocats, des hommes d’affaires dans le commerce international ou des ingénieurs. Certains sont proches des CPR/Irada, d’autres sont proches de Nidaa. Ils ont tous un point commun, ils ont été proches de Chafik Jarraya et ont entretenu des relations avec lui jusqu’à son arrestation.
A la Kasbah, mais aussi à Carthage, on rit sous cape et on se délecte de ces gesticulations de personnes qu’on ne soupçonnait pas le moins du monde d’être mêlés à Jarraya et qui se dénoncent tout seuls. Vivement que le juge d’instruction et/ou le parquet militaire dévoilent les différents noms de personnes impliquées et les accusations qui pèsent sur elles. C’est indéniable, le combat contre la corruption en Tunisie ne saurait se faire en Tunisie seulement. Une telle pieuvre a obligatoirement des ramifications internationales.
R.B.H