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La liberté d'expression, un droit fondamental des droits de l'homme

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A l'occasion de la célébration, le 3 mai 2008, de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le Président Zine El Abidine Ben Ali a adressé, aux Présidents du Syndicat national des journalistes tunisiens et de l'Association des directeurs de journaux tunisiens, un message dont voici le texte :
« Il me plaît, à l'heure où la Tunisie célèbre avec l'ensemble de la communauté internationale, la journée mondiale de la liberté de la presse, d'adresser mes plus chaleureuses félicitations aux membres des bureaux du Syndicat national des journalistes tunisiens et de l'Association des directeurs de journaux ainsi qu'à tous les membres de la famille médiatique, journalistes, hommes et femmes, faisant part de ma considération pour les efforts qu'ils déploient en vue de promouvoir au mieux la mission médiatique, de contribuer au raffermissement de notre processus démocratique et d'enraciner le pluralisme dans notre société.
Je réaffirme, à cette occasion, que nous avons constamment considéré la liberté d'expression comme un droit fondamental des droits de l'homme, et avons veillé à consolider le secteur de la communication et à accorder une attention particulière à l'information partant de notre foi en la noblesse de sa mission et de sa fonction.
Nous sous sommes également employés à développer ce secteur à la faveur des multiples décisions et mesures qui ont touché ses différents aspects juridique, réglementaire et politique, ce qui a permis d'enrichir le paysage médiatique en Tunisie, de consolider ses potentialités humaines et techniques, et de le doter de tous les moyens à même de promouvoir son rôle dans l'enracinement des fondements de la démocratie, l'approfondissement de l'esprit de dialogue et de consensus, et dans le soutien de notre processus de développement.
C'est dans ce cadre que s'inscrit notre décision de faire du conseil supérieur de la communication une institution dotée de la personnalité propre et de l'autonomie financière, et de renforcer ses attributions, afin de lui permettre d'assurer le suivi du rendement des institutions médiatiques, d'évaluer leurs programmes et leurs contenus, et de présenter les propositions et approches pour les promouvoir, de la manière qui réponde à nos orientations et à nos choix nationaux, et qui soit conforme à l'éthique de la profession journalistique et de l'action médiatique.
Nous avons réitéré l'appel à oeuvrer à promouvoir davantage le secteur de l'information afin de traiter les différents sujets avec plus d'audace, d'être plus proche des préoccupations des citoyens et de leurs aspirations, et de contribuer à mieux faire connaître les défis et paris qui se posent.
Nous avons érigé l'amélioration de la qualité de l'information audiovisuelle en objectif stratégique et en exigence essentielle pour la réforme structurelle de ce secteur afin de lui réserver la place qui lui revient sur la scène régionale.
Tout en réaffirmant notre reconnaissance et nos encouragements aux efforts déployés par tous les travailleurs, hommes et femmes, dans ce secteur, en vue de promouvoir les contenus médiatiques, ainsi que notre estime pour leur attachement constant à s'acquitter de leur mission en toute loyauté et objectivité, et à traiter les préoccupations de l'opinion publique avec tout le sérieux nécessaire et dans le respect des valeurs et constantes nationales, nous réitérons notre appel à redoubler d'effort, à faire preuve d'ijtihad et à oeuvrer à diversifier et à enrichir les espaces de dialogue dans les différents médias pour garantir une information nationale évoluée et audacieuse, capable d'un rendement de qualité et d'une communication fidèle et responsable, loin de toute forme d'autocensure et de censure externe.
Autant nous sommes en droit d'exprimer, aujourd'hui, notre satisfaction de la diversité et de la pluralité des approches qui caractérisent la scène de l'information et de la communication, ainsi que de la volonté de garantir le droit de chaque citoyen à une information libre et sincère, et de diffuser les droits de l'Homme et les libertés fondamentales, dans le texte comme dans la pratique, autant nous sommes invités tous à préserver ces acquis et à s'employer à les diversifier et à les enrichir de manière continue, dans le cadre de l'attachement à l'intérêt supérieur de la nation et de l'allégeance à la Tunisie, et à elle seule. »
« Il me plaît, à l'heure où la Tunisie célèbre avec l'ensemble de la communauté internationale, la journée mondiale de la liberté de la presse, d'adresser mes plus chaleureuses félicitations aux membres des bureaux du Syndicat national des journalistes tunisiens et de l'Association des directeurs de journaux ainsi qu'à tous les membres de la famille médiatique, journalistes, hommes et femmes, faisant part de ma considération pour les efforts qu'ils déploient en vue de promouvoir au mieux la mission médiatique, de contribuer au raffermissement de notre processus démocratique et d'enraciner le pluralisme dans notre société.
Je réaffirme, à cette occasion, que nous avons constamment considéré la liberté d'expression comme un droit fondamental des droits de l'homme, et avons veillé à consolider le secteur de la communication et à accorder une attention particulière à l'information partant de notre foi en la noblesse de sa mission et de sa fonction.
Nous sous sommes également employés à développer ce secteur à la faveur des multiples décisions et mesures qui ont touché ses différents aspects juridique, réglementaire et politique, ce qui a permis d'enrichir le paysage médiatique en Tunisie, de consolider ses potentialités humaines et techniques, et de le doter de tous les moyens à même de promouvoir son rôle dans l'enracinement des fondements de la démocratie, l'approfondissement de l'esprit de dialogue et de consensus, et dans le soutien de notre processus de développement.
C'est dans ce cadre que s'inscrit notre décision de faire du conseil supérieur de la communication une institution dotée de la personnalité propre et de l'autonomie financière, et de renforcer ses attributions, afin de lui permettre d'assurer le suivi du rendement des institutions médiatiques, d'évaluer leurs programmes et leurs contenus, et de présenter les propositions et approches pour les promouvoir, de la manière qui réponde à nos orientations et à nos choix nationaux, et qui soit conforme à l'éthique de la profession journalistique et de l'action médiatique.
Nous avons réitéré l'appel à oeuvrer à promouvoir davantage le secteur de l'information afin de traiter les différents sujets avec plus d'audace, d'être plus proche des préoccupations des citoyens et de leurs aspirations, et de contribuer à mieux faire connaître les défis et paris qui se posent.
Nous avons érigé l'amélioration de la qualité de l'information audiovisuelle en objectif stratégique et en exigence essentielle pour la réforme structurelle de ce secteur afin de lui réserver la place qui lui revient sur la scène régionale.
Tout en réaffirmant notre reconnaissance et nos encouragements aux efforts déployés par tous les travailleurs, hommes et femmes, dans ce secteur, en vue de promouvoir les contenus médiatiques, ainsi que notre estime pour leur attachement constant à s'acquitter de leur mission en toute loyauté et objectivité, et à traiter les préoccupations de l'opinion publique avec tout le sérieux nécessaire et dans le respect des valeurs et constantes nationales, nous réitérons notre appel à redoubler d'effort, à faire preuve d'ijtihad et à oeuvrer à diversifier et à enrichir les espaces de dialogue dans les différents médias pour garantir une information nationale évoluée et audacieuse, capable d'un rendement de qualité et d'une communication fidèle et responsable, loin de toute forme d'autocensure et de censure externe.
Autant nous sommes en droit d'exprimer, aujourd'hui, notre satisfaction de la diversité et de la pluralité des approches qui caractérisent la scène de l'information et de la communication, ainsi que de la volonté de garantir le droit de chaque citoyen à une information libre et sincère, et de diffuser les droits de l'Homme et les libertés fondamentales, dans le texte comme dans la pratique, autant nous sommes invités tous à préserver ces acquis et à s'employer à les diversifier et à les enrichir de manière continue, dans le cadre de l'attachement à l'intérêt supérieur de la nation et de l'allégeance à la Tunisie, et à elle seule. »
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