
L’eurodéputée du Groupe Renew, Salima Yenbou, a déploré, jeudi 14 septembre 2023, la décision du ministère tunisien des Affaires étrangères d’interdire l’accès au territoire tunisien à la délégation de la commission des affaires étrangères (Afet) du Parlement européen.
Qualifiant cette décision de « grave et contre-productive », elle a avancé dans un communiqué que la délégation avait été invitée dans le cadre de la coopération avec la Tunisie pour rencontrer « le Premier ministre et son gouvernement, l’Assemblée tunisienne, la société civile, les syndicats comme l’UGTT, le secteur privé ainsi que les familles des prisonniers politiques ». « Tout le monde a répondu positivement à nos demandes de rencontres pour écouter et échanger avec les Tunisiens, mais le gouvernement a changé d'avis il y a quelques jours sans expliquer concrètement quelles étaient les ‘réserves’ dont la lettre des autorités tunisiennes faisait vaguement mention », a-t-elle ajouté.
« Jamais de mémoire la Tunisie n'avait fermé ses portes au Parlement européen, même sous Ben Ali. Le dialogue est pourtant fondamental pour trouver des solutions à la crise profonde, économique et sociale, que traverse la Tunisie. Notre délégation représente cinq groupes politiques de gauche, du centre comme de la droite, nous avons été élus et représentons les aspirations de millions de citoyens européens qui aiment la Tunisie », a relevé l’eurodéputée.
Rappelant les liens de coopération historiques entre l’Europe et la Tunisie, Mme Yenbou a souligné que la migration était l’un des domaines sur lesquels l’Europe et la Tunisie devraient travailler. « Renforcer notre coopération dans le domaine migratoire est essentiel, tout en respectant la dignité humaine des personnes migrantes. Il est donc important que, dans le mémorandum, cet équilibre soit respecté, et c’est ce que mes collègues de la commission des libertés publiques et des affaires intérieures veilleront à demander au Conseil de l’UE », a-t-elle avancé.
La délégation européenne – composée des députés européens Michael Gahler, Dietmar Köster, Salima Yenbou, Mounir Satouri et Emmanuel Maurel – devait effectuer une visite de deux jours en Tunisie pour rencontrer des organisations de la société civile, des syndicats, des dirigeants de l’opposition et des représentants de partis politiques ainsi que les représentants des États membres de l’Europe en Tunisie pour mieux comprendre la situation politique actuelle du pays, soutenir un dialogue national inclusif après les dernières élections et évaluer le mémorandum d’entente signé en juillet entre l’Europe et la Tunisie.
N.J
Franchement j'ai honte pour vous, l'avenir entre nous, on verra qui aura raison vous où bien moi
Ont-ils enquêté sur les massacres commis en Libye par les membres de l'OTAN, dont le nombre de victimes s'étaient élevé à quarante mille morts dont la majorité était des civils, chiffre communiqué par la croix rouge.
Selon des rescapés, des hélicoptères de combats, longés les rues et les avenues en canardant à la mitrailleuse sur tout ce qui bougeait.
Est-ce-que France-24, c-News, BFM WC et autres médias Atlantistes avaient relayé la véracité de ces actes, et le nombre réel affolant des victimes ?
Mais bien sûr que nom.
Sont-ils allés en Birmanie, enquêtés sur le massacre permanent des Rohingyas par des moines bouddhistes et de leurs suppôts ?
Idem pour l'inde ou les musulmans se font régulièrement lyncher par les hindous, avec la bénédiction des autorités !!!
Mais voyons, ce ne sont que des querelles de quartier !!
Et vous voulez me faire croire que ce troupeau de parlementaire veut se rendre en Tunisie pour nous donner des leçons moralisatrices en nous révélant les bienfaits de la démocratie !!!
Qu'ils se les gardent ou qu'ils se les mettent là où je pense.
Hahahaha, hahahaha, hahahaha, hahahaha, quelle farce. Le plus beau, c'est qu'ils sont sponsorisés par les traitres et les familles des traitres qui avaient quitté la Tunisie, en prenant leurs jambes à leur cou, tels des vendus, des harkis, des goumis qui avaient senti le vent tourner et bien sûr par d'autres forces obscures.
Plus aucune ingérence n'est tolérée.
STOOOOOOOOOOOOOOOOP.
Basta les espions algériens.
En clair, madame s'accorde une autorité pour qualifier la position adoptée par un pays souverain à l'égard de son voyage qui devait lui permettre de rencontrer... prisonniers politiques.
Non seulement, elle qualifie la décision concernant sa délégation, mais elle nomme prisonniers politiques, tout comme les concernés, les gens arrêtés sous divers motifs.
Ainsi, elle affiche la couleur.
De ce fait, elle justifie
"les réserves" du pouvoir qu'elle mentionne ci-dessus.
En plus simple, elle juge, évalué, tranche, et reproche au pouvoir sa décision en le rangeant dans la catégorie négative, par allusion au régime de Ben Ali.
Elle ose, la députée.
C'est une habitude de se conduire avec nos pays avec ces prétentions et cette arrogance.
Il a bien fait de te renvoyer d'où tu viens, petite madame.
Ton titre de députée n'a de valeur que dans ton monde.
Bienvenue chez toi.
Les algériens ont juré la perte du pouvoir tunisien suite à l'humiliation de l'affaire bouraoui.
Délinquants et traitres concerné.es
Ursula Von der Leyen
Emmanuel Macron
Alexander De Croo
Olaf Scholz
Mario Draghi
Cardinal Jorge Mario Bergoglio,
Joe Biden
Taiep Erdogan
Elisabeth II
Toto
Toto ç est le chat de ma voisine il y est pour rien mais il n'arrête pas de pisser sur mes géraniums
Quelle frustration
Maintenant, l'Italie a proposé un plan de nature à protéger à la fois l'Italie et la Tunisie. Difficile, mais jouable, à condition que l'UE le soutienne.
Or l'UE n'en veut pas, parce que ce plan émane de "l'extrême droite", c'est à dire de patriotes favorables à une UE qui garde ses cultures et ses traditions.
C'est le contraire de ce que veulent les USA et le grand capitalisme pour l'UE.
Alors voila: l'UE rejette le plan Meloni, et entend contraindre la Tunisie à le refuser.
Et donc Saied a raison de refuser la soi-disant visite des parlementaires européens.
Cette pression de l'UE n'est pas dans votre intérêt !

