
Une erreur grossière s’est glissée dans le communiqué rendu public, dimanche 22 janvier 2023, par le ministère des Affaires étrangères, où on voit que « le ministre des Affaires étrangères Othman Jerandi serait en déplacement à la capitale libanaise, Tripoli » !
Or, non seulement, le ministre des Affaires étrangères serait à Tripoli en Libye, mais aussi les services du ministère auraient oublié que Tripoli est la deuxième ville du Liban et non sa capitale. Une erreur qui a été rectifiée onze minutes plus tard, sans qu’elle ne soit supprimée.
Il convient de noter que le ministre des Affaires étrangères, Othman Jerandi, était présent à la capitale libyenne Tripoli pour participer à la réunion consultative périodique des ministres arabes des Affaires étrangères, qui se tient le 22 janvier 2023, sur invitation de Najla El Mangoush, ministre libyenne des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, présidente de la 158e session du Conseil de la ligue au niveau ministériel.
La réunion portera sur un certain nombre de questions régionales et internationales et des moyens capables de contrer leurs répercussions sur les pays arabes.
À son arrivée, le ministre a eu une réunion avec son homologue libyenne, au cours de laquelle ils ont passé en revue les relations bilatérales et les domaines de coopération. Ils ont, également, souligné la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des accords conclus lors des visites et réunions précédentes.
S.H
Notre presse locale en trouve rarement. On préfère le même lynchage a répétition et chercher les fautes des fonctionnaires en charge de l'écriture des communiqués avant qu'elles ne soient corrigées quelques minutes plutard. C'est tellement plus facile que de faire fonctionner ses neurones
Je vous rappelle que:
- Béja se trouve au nord du Portugal,
- Harissa en Grèce,
- Monastir est situé en Macédoine...
Parole d'un prof. d'histoire-géo.
Partout où les barbus ont règné, la culture et le savoir ont été leurs victimes en'meme temps et au même titre que les amis de la culture.
Partout où les barbus règnent encore, c'est la régression, les violences, le fascisme ordinaire au nom d'Allah... qui n'en voulait rien.
En Tunisie, ce sont les islamistes qui ont pollué partout, l'esprit, les mentalités, semé la haine, cultivé la terreur létale en même temps que la terreur morale.
Ils ont recruté, par connivence, par favoritisme, par volonté d'installer des espions et des agents partout, afin de noyauter et pourrir les institutions.
Ainsi, s'il y'a des imbéciles qui confondent Tripoli la lybienne avec don homonyme libanaise, ce ne peut être que des amis de la mouvance ou ses agents.
Car, comme chacun le sait, ils sont les fossoyeurs de la culture.
Alors, qu'on cesse de pervertir la réalité pour la conforler au délire fasciste des ennemis du pays, de Dieu, de la raison et de toute vie culturelle.
Ennemis de la vie, tout court.
Donc, dans cet article, il est clair qu'il y a une faute de frappe entre la ville de Tripoli au Liban et Tripoli la Capitale de la Libye. Tripoli n'a jamais été la capitale du Liban. Tripoli est la Capitale de la Libye. La honte est à celui qui ne connaît pas cette banalité dans la culture générale, non pas à celui qui a fait cette faute de frappe, sans la moindre importance pour n'importe quel lecteur non-analphabète.
Que notre Sarra Hlaoui, ne descende pas à ce niveau du bas de l'échelle journalistique. Qu'elle laisse cette bassesse aux @cacalas, ennemis de «nadda».
Bonne soirée.
3amloulnè El3333aaaarrrr ces Putschistes ..
Une ou un fonctionnaire recruté par piston et qui écoute Nancy Ajram et Raghib Alama pense bien sûr que Tripoli c'est avant tout libanais et non libyen, la capitale du pays voisin et qui a le plus de liens historiques, économiques, ethniques et culturelles avec la Tunisie.
Tbarkallah 3lè Tounis Yo7koumhè Hèn Ittafi Wè Khouh !
Car, des erreurs il y en a.
Et, tout le monde est susceptible d'en faire.
Quand on en a eu un Bouchlaka à la tête de la diplomatie, tout devient possible. Et le pire en premier lieu. Car, il ne s'agissait pas d'une erreur, mais d'une faute.
Faute de goût, mais aussi une atteinte à l'image de cette institution et par-delà une insulte faite au pays.
Il serait judicieux de regarder de près le cursus de certains fonctionnaires recrutés par le ci-devant Bouchlaka, renommé par les soins de certains sans doute parce qu'il n'a pas l'épaisseur pour assumer son patronyme.
Quand on a connu des hommes de culture aux commandes du pays, on a de bonnes raisons de rire de ces fadaises d'écolier.