
La députée et dirigeante au sein d’Attayar, Samia Abbou a été présente ce mercredi 30 décembre 2020, sur les ondes de Shems Fm, pour s’exprimer à propos des poursuites judiciaires contre plusieurs députés en rapport avec la complicité de la présidence du Parlement.
Samia Abbou est revenue dans un premier temps sur la question de la levée d’immunité sur plusieurs députés impliqués dans des affaires en justice, soulignant que les députés visés par cette procédure ne sont pas encore connus. « Notre collègue Nabil Hajji a déjà adressé une demande d’accès à l’information pour identifier les députés concernés. Nous n’avons pas encore reçu de réponse, mais les délais légaux ne sont pas encore écoulés ».
La députée a indiqué que l’assemblée protège les députés corrompus, profitant des brèches juridiques et des zones d’ombre dans la Constitution. « On ne peut confier l’intérêt des Tunisiens à cette assemblée qui regorge de contrebandiers et d’évadés fiscaux », souligne –t-elle, rappelant que le président de Qalb Tounes est impliqué dans des affaires de blanchiment d’argent et d’évasion fiscale, ainsi que le chef du bloc Al Karama, Seif Eddine Makhlouf accusé d’évasion fiscale et qui a fait l’objet d’un redressement.
Samia Abbou a assuré qu’il y a une pression sur certains députés et une sorte de chantage exercés par la présidence du Parlement, rappelant l’importance d’une justice indépendante et intègre pour mettre un terme à tous ces dossiers et trancher en toute transparence sur ces affaires dans le cadre du respect du principe de l’Etat de droit.
S.H
Conséquence logique: dissoudre cette assemblées de cons et abolir cette constitution idiote !!!
Ils ne le permettront jamais, quitte à déclencher une guerre civile.
Ce serait pour eux, la fin définitive de l'aventure opulence et le début d'une autre ayant pour nom, barreaux métalliques.
Meilleurs voeux.
Salutations
Devant l'indifférence et la couardise de tous ces opportunistes qui parasitent le paysage politique depuis 2011, Moussi leur a jeté l'opprobre d'une manière si brutale, que les voilà tous victimes d'une incontrôlable logorrhée verbale.
Ces parvenus, les abbous² en particulier, voient désormais la situation autrement.
Leur beefsteak est menacé.
Leur traitrise et leur imposture ont été mises au grand jour.
Ils sont tous en train de jouer le tout pour le tout.
Salutations
Par son patriotisme ardent, elle a déclenché une redistribution des cartes en les faisant tous sortir de leur hibernation.
Tous les muets ont recouvert la voix et tous tous les aveugles ont recouvert la vue. Soubhane Rabbi.
S'agit il d'un miracle?
Je ne le pense pas. pas.
Ces affamés opportunistes affamés se sont tout simplement rendus compte que tous leurs acquis ainsi que leurs rentes de député et autres, étaient fortement menacés.
Tout cela leur a "donné" des ailes (la peur de se retrouver dans leur situation de pecnots anonymes de l'avant coup d'état).
Pour ma part, tout ce que je peux dire, c'est que famma Rabbi.
Meilleurs voeux et inchallah Rabbi ma3na.
Cordialement
Une immunité absolue ne peut avoir que le président du gouvernement et le président de la République pendant la période de leur gouvernance tant que leur gouvernance n'est pas arrêtée par l'ARP ou une loi quelconque selon la constitution.
A rappeler que SA est député depuis 2011 , au gré des vents.
bref c'est au peuple tunisien qui les a élu et c'est lui qui doit sortir dans les rues .l'article 80 est masturbé par tous les érudits de la constitution et ne sont jamais d'accord pour prendre une décision guidant le peuple .d'ailleurs c'est comme les phrase du coran ,chaque tahhan voit les choses sous son angle et les guerres se déclenchent ouled ali ouled mohamed ouled el hassan ouled el houssin ouled boubaker et la misère continue jusqu'à ouled karadhaou pour finir à ouled boujalgha .
nb ,la rue est l'unique solution pour éliminer ces traîtres élus par un peuple naïf .
le mathématicien BKE avait convaincu tous ses élus que deux droites parallèles se coupent démonstration à l'appui (par l'absurde ) tout le monde l'a cru ,vient après son fils adoptif LE BOUBALLOUTA et il a eu tous ses élus .sommes nous naïfs à ce point ?
POURQUOI NE PAS OCCUPER LA RUE ET APPELER LE CAPTAIN KHOBZA QUI GUIDERA CETTE VRAIE REVOLUTION ?
Une assemblée parlementaire est l'institution législatrice, mère des lois qui règlent la société et en principe, chambre d'écho des préoccupations sociales, puisqu'elle est la représentation nationale.
Lorsque de façon répétitive est rapporté des accusations, des suspicions ou bien des faits avérés et que rien ne bouge, rien n'est fait, on a tout lieu de considérer ces choses comme purs bavardages. Car, si du côté de ceux mis en cause on riposte, on dénonce ou bien l'on crie au complot et à l'envie de ceux qui faute d'y parvenir par le suffrage des électeurs voudraient forcer les règles et le cours politique en prenant le pouvoir. On les dépeint en factieux, ennemis de "la révolution" et pourquoi pas, de la démocratie.
On voit ici le retournement et le subterfuge, puisqu'au lieu de s'expliquer devant le peuple, rapporter des arguments, se prêter au contrôle démocratique, on fustige l'autre et l'on tend à faire retomber sur lui, qui en appelle au respect des règles, la charge d'être le créateur du désordre et celui qui enfreint ces mêmes règles.
On aura de la sorte évacué le vrai débat nécessaire et le traitement des interrogations et questions adressées à ladite assemblée à travers certains de ses membres, et l'intérêt se sera déporté sur les détails, les propos de l'un ou de l'autre en répliques sans fin.... Le débat étant évacué, et la scène transformée en POUR et CONTRE, devient l'espace d'une opposition duelle, d'un combat entre deux camps auxquels l'on doit ou l'on est sommé de s'identifier pour exister encore sur cette scène. Ainsi, de l'aveu même d'un Nahdhaoui, sous la forme négative, Nahdha/ PDL figurent ce duel. Qui rend bien service à ceux qui ont le gouvernail en main, car en radicalisant, on contraint au choix, plutôt au non-choix, et l'on rallie à soi les peureux, les hésitants, les indéterminés, le marais, ce est tout bénéfice.
Bref, cela et encore d'autres choses ont de bonnes chances de perdurer si aucune tierce autorité n'intercède pour faire cesser ce jeu sans effet sinon de conforter celui qui tient la place.
Quelle autorité ?
On imaginerait le Président, tout habité de sa légitimité en viendrait à tenir une position et arbitrer par la décision. Il aurait une palette de couleurs nuancées...
On pourrait songer à la fameuse Société Civile dont on évoque l'existence et quelquefois l'on perçoit jusqu'à la preuve de celle-ci lorsque quelque chose a lieu, que ça bouge, que du discord émerge et prend en charge une parole autre.
On attendrait, on souhaiterait, et pourtant peu de choses prennent consistance sous l'écume des discours qui peinent à dire le réel.
Le jeu reste ouvert, chacun a la main du lieu social où il est.
Demain se fabrique aujourd'hui.
Réponse: parce qu'il craint la justice.
De ce fait, il devient suspect et s'expose aux chantages de toutes provenances.

