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Bouali Mbarki défie Youssef Chahed !
26/05/2018 | 19:11
1 min
Bouali Mbarki défie Youssef Chahed !

 

« Nous ne ferons pas de concessions. Le groupe de Youssef Chahed a tout détruit ! », a déclaré ce samedi 26 mai 2018, le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Bouali Mbarki, au micro de Shems FM.

Bouali Mbarki a défié Youssef Chahed et son gouvernement de trouver n’importe quel dossier  contre la centrale syndicale.

 

Bouali Mbarki s’attaque ainsi frontalement au ministre de la Justice, Ghazi Jribi. Il a en effet dit : « C’est l’UGTT qui t’as mis là où tu es ! On lui a fait confiance mais malheureusement…il a cherché son propre intérêt ! Il est en train de chercher des choses ! ».

 

Au milieu de cette rafale d’accusations, le responsable syndical s’est exclamé : « Que chaque personne qui a quelque chose à dire contre l’UGTT s’avance ».

S.A

26/05/2018 | 19:11
1 min
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Commentaires (23)

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foulen
| 28-05-2018 06:31
donner nous le CV de ce monsieur. Il est peut être présidentiable.

fethia
| 27-05-2018 19:31
n'est pas une entité indivisible mais une composition de personnes occupant des postes et quand on dit personne on dit possibilité de corruption car nul n'est épargné, n'importe qui peut avoir des faiblesses vis à vis de l'argent et les syndicalistes ne sont pas des anges. En cherchant derrière les personnes , on peut trouver des dossiers bien garnis car les syndicalistes sont des tunisiens et parmi les tunisiens on peut trouver des propres et des moins propres. Donc M. Bouali ne nous jouez pas le rôle du scandalisé et de la vierge effarouchée car le ministre de la justice cherche des dossiers de syndicalistes corrompus combien même vous lui avez donné votre confiance et l'avez appuyé ( on dirait que c'est du donnant donnant).

Raouf
| 27-05-2018 17:37
J'ai apprécié particulièrement certains commentaires d'une grande lucidité qui pointent sans hésitation la responsabilité nefaste de l'UGTT dans la crise économique et politique que connaît le pays.
Comme il est nécessaire de séparer le religieux du politique,il serait temps de séparer le syndical du politique.
La Tunisie souffre de ce mélange de genre qui bloque les réformes dont l'économie a absolument besoin.

Tunisien libre
| 27-05-2018 16:10
Assez de perte de temps ! La seule solution possible avec ce blocage qui perdure est d'organiser des élections législatives anticipées. Et que ça soit clair cette fois : le camps des réformes économiques contre le camps de l'immobilisme et de l'Ugtt ! Avec à la sortie des urnes un mandat populaire clair au nouveau gouvernement élu : conduire les réformes socio-économiques à bon port pour éviter la faillite tant qu'il est encore temps !

Halim
| 27-05-2018 15:35
BCE et son nidaa fantoche ont utilisé l'UGTT et ont soutenu les grèves anarchiques pour faire tomber la Troïka...Maintenant, ils le payent trop cher!!!!! Des ouvriers syndicalistes à peine éduqués en décident de notre avenir....

Jalloul
| 27-05-2018 15:00
Mbarki semble ignorer qu'après la Troïka c'est l'ugtt qui responsable de la situation catastrophique dans laquelle se trouve le pays.

sador
| 27-05-2018 14:40
L'UGTT n'est plus ce qu'elle était.Elle s'est apparemment métamorphosée en un parti politique non déclaré qui a des visées partisanes et des ambitions démesurées.Elle a dévié de la voie tracée par le grand HACHED.Par ses agissements irréfléchies,elle a porté,plus d'une fois,préjudice à l'économie du pays ainsi qu'à ses acquis les plus sacrés à savoir l'éducation et la santé.Les tunisiens n'oublieront pas de si peu leurs déboires.

bouda
| 27-05-2018 14:24
permettre à des syndicats de continuer à faire de la politique et bloquer le pays, c'est laisser un droit fondamental être détourné. les syndicats ne sont plus motivés par l'intérêt des salariés et des entreprises. je rappelle que le modèle de cogestion à l'allemand, le droit de grève est sérieuse ment encadré pour justement prévenir les dérives. Israël prennent le pays en otage pour que rien ne bouge, rien ne change et que l'orchestre continue à jouer pendant que le titanic fait naufrage. bonne chance à vous monsieur le président du gouvernement.

Raouf
| 27-05-2018 14:11
Youssef chahef n'est pas exempt d'erreur mais il est beaucoup plus compétent que ce type à teinture

bouda
| 27-05-2018 13:59
lorsque l'exercice du droit de grève l'expression du refus d'un système économique, ce droit devient un outil de contestation politique et non plus l'express ion d'un différend entre l'employeur et les salariés. cela ressemble à une utilisation abusive de ce droit. car notre modèle économique résulte d'un choix de société validé par des élections démocratique et non par la faculté de blocage de quelques-uns.