En visite en Tunisie à l’occasion de la Journée internationale de la femme, l’ancienne ministre de la Justice de la République française, Christiane Taubira a été reçue à Carthage ce mercredi 8 mars 2017, par le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi, indique un communiqué de la présidence de la République. Durant l’entrevue, Mme Taubira a salué l’avancement de la démocratie dans le pays et le rôle important que joue la femme Tunisienne dans cette réalisation. Dans son discours l’ancienne garde des Sceaux a également tenu à mettre en valeur les efforts fournis dans le but de donner leurs pleins droits aux femmes tout en insistant sur leur rôle primordial dans la société.
Mme Taubira a ensuite expliqué que cette visite vise à soutenir ses efforts et a plaidé pour une présence plus accrue de la femme dans les différents postes. Le chef de l’Etat a, lui, exposé les différentes difficultés rencontrées lors de la transition démocratique et le rôle qu’ont joué les femmes et les jeunes dans leur dépassement. Béji Caïd Essebsi a également souligné la place importante qu’a la femme dans la société tunisienne tout en rappelant la grande histoire du militantisme pour l’obtention de ces droits.
En visite en Tunisie à l’occasion de la Journée internationale de la femme, l’ancienne ministre de la Justice de la République française, Christiane Taubira a été reçue à Carthage ce mercredi 8 mars 2017, par le chef de l’Etat, Béji Caïd Essebsi, indique un communiqué de la présidence de la République. Durant l’entrevue, Mme Taubira a salué l’avancement de la démocratie dans le pays et le rôle important que joue la femme Tunisienne dans cette réalisation. Dans son discours l’ancienne garde des Sceaux a également tenu à mettre en valeur les efforts fournis dans le but de donner leurs pleins droits aux femmes tout en insistant sur leur rôle primordial dans la société.
Mme Taubira a ensuite expliqué que cette visite vise à soutenir ses efforts et a plaidé pour une présence plus accrue de la femme dans les différents postes. Le chef de l’Etat a, lui, exposé les différentes difficultés rencontrées lors de la transition démocratique et le rôle qu’ont joué les femmes et les jeunes dans leur dépassement. Béji Caïd Essebsi a également souligné la place importante qu’a la femme dans la société tunisienne tout en rappelant la grande histoire du militantisme pour l’obtention de ces droits.
Pour moi, les "ministres à couilles" de Hollande, ce sont MM. Valls, Cazeneuve, Le Drian.
Taubira, Hamon, Montebourg, sont des pantins à grande gueule, rien de plus.
Je suis d'accord avec vous, en temps de gouvernance ordinaire.
Mais au moment où Taubira s'est enfuie, la France venait de subir encore un attentat, quelques temps avant un prêtre avait été égorgé par un porc d'islamiste, la France était en train de se lever à cran contre les musulmans en général.
Hollande devait éviter la cassure de la société, et il a réussi.
La déchéance était de nature à apaiser la société dans ce pays en état d'urgence.
Alors pour un temps, les principes de la ministre... c'eût été pour plus tard.
Vous voyez, nous ne sommes pas d'accord, et ce n'est pas grave :-)
Bien amicalement,
Gg
"Je ne sais plus qui a dit "un ministre, ça obéit!" ? Moi, je sais que Christiane Taubira a prouvé qu'un bon ministre peut aussi avoir des couilles ! Si Hollande a mobilisé des Valls et des Macron, il est passé à côté de la mission qui lui avait été confiée par la gauche française : fallait-il que Taubira le soutienne contre vents et marée ? Elle a eu le courage et la probité de réaffirmer ses principes, fût-ce contre cette solidarité clamée... Un ministre, ça peut également, ça DOIT, respecter ses principes et son engagement !
Pour un moment, oui, la solidarité gouvernementale passe avant les idées personnelles, parce qu'un gvt agit et décide dans une société hétérogène, face à des évènements parfois imprévisibles et violents, comme ce fut le cas. Dans sa majorité, sur la déchéance de nationalité, le peuple français, face au terrorisme, était d'accord avec Hollande et Valls.
Je ne sais plus qui a dit "un ministre, ça obéit!"
Taubira, en se désolidarisant, a manqué à son devoir et donné du grain à moudre au FN. Elle pouvait démissionner, avant, ou après, mais pas pendant. Le choix de décider pour ou contre la déchéance revenait à l'assemblée, pas à Madame Taubira.
C'est mon avis...
Désolé, Gg : vous condamnez Mme Taubira d'une façon partiale ! Fallait-il quelle sacrifie ses principes pour assurer la survie (artificielle) de Hollande ? Elle a fait jouer sa clause de conscience, et a tiré les conséquences des déviations erratiques de ce dernier ! Je garde, moi, la plus grande sympathie pour Chistiane Taubira, qui ne s'en est jamais laissé conter... Les lambris de la Chambre résonnent encore des claques qu'elle a infligées aux "ténors" de Les Républicains & consort...
Je réponds à votre commentaire 08-03-2017 23:42, car je vois que vous rejetez Madame Taubira pour les raisons pour lesquelles précisément je l'apprécie, notamment son militantisme en faveur du droit de vivre ses amours et sa sexualité comme on l'entend, à condition que ce ne soit ni dans le viol ni dans la pédophilie.
Je lui reproche d'avoir quitté le gvt au moment où Hollande voulait faire adopter la déchéance de nationalité à l'encontre des binationaux complices ou coupables de terrorisme, et de l'avoir fait au moment où Hollande avait besoin de sa garde des sceaux.
J'ajoute que je ne vois pas de déliquescence de la société dans ce droit de vivre pour tous, mais lorsque la religion veut remplacer la loi, se mêler de ce qu'il se passe dans nos culottes et dans nos lits, comme c'est le cas en Tunisie aujourd'hui.
Je fais partie d'une génération qui tolérait les homos pour peu qu'ils cachaient leur joie.
Les divers statuts dont ils ont bénéficié un peu partout dans les pays "civilisés" dénotent une certaine déliquescence sociale. Ils sont contestés par les gens qui croient qu'on ne peut pas tout faire au nom de la liberté.
Cher ami,
Un gouvernement implique une solidarité et le partage des responsabilités face à la réalité des faits. Cette dame est grande à la tribune d'un parti, mais n'a pas sa place dans un gouvernement. On ne quitte pas un gvt dans le feu de l'action, on le fait avant, ou après.
Question de point de vue, ne sois pas dégoûté !
