Le candidat à la présidentielle d’octobre, Ayachi Zammel, a adressé, samedi 14 septembre 2024, depuis la prison, une lettre au peuple tunisien et à ses partisans.
« Je devais lancer ma campagne électorale aujourd'hui sous le slogan « Tournons la page ». Mais vous savez que j'ai été injustement empêché d'être parmi mon peuple et avec mon équipe de campagne. Ils ont peut-être pu empêcher que ma voix vous parvienne. Mais ils ne pourront jamais arrêter les voix de la volonté de changement qui a commencé et qui ne s'arrêtera pas. Ma campagne est devenue la vôtre, une campagne qui s'appuie sur tous les citoyens du pays qui disent d'une seule voix « Tournons la page ». Rejoignez-nous et participez au changement », a écrit le candidat.
Ayachi Zammel est en ce moment détenu dans le cadre de multiples affaires liées à des soupçons de falsification de parrainages. Accusations que rejette sa défense qui pointe du doigt "l’aberration de demander des parrainages non numérisés et non soumis à l’obligation d’une signature légalisée et donc facilement contestables à postériori".
Sa première arrestation remonte au 2 septembre 2024. Ayachi Zammel est poursuivi en vertu de l'article 161 de la loi organique n° 2014-16 du 26 mai 2014, relative aux élections et aux référendums. Il est visé par “ au moins” 25 affaires de falsification de parrainages.
Ayachi Zammel a été déféré devant le tribunal de première instance de Tunis 2 qui a décidé de fixer le procès au 19 septembre puis devant le tribunal de la Manouba qui a reporté l'audience au 19 septembre et devant le tribunal de première instance de Jendouba, en état d’arrestation, en attendant sa comparution devant le tribunal le 11 septembre. Il est actuellement détenu dans la prison de Jendouba.
M.B.Z
La justice est est rendue dans une étable.
Probablement on confirme après 'je ne peux pas infirmer ni confirmer!!!.
La plainte de l'ISIE contre un candidat avec double nationalité.
Et probablement des arrestations et des incarcérations. NE QUITTEZ PAS B.N
@Mondher Znaidi, Abdellatif Mekki, Imed Daimi, Abir Moussi, Lotfi Mraidi, Safi Said, Ghazi Chaouechi, Issam Chebbi
A la rigueur, on aurait pu accepter qu'il soit malhonnête et lâche s'il était au moins compétent, mais là aussi force est de constater qu'il ne l'est pas non plus, décidément, j'ai beau essayer de lui trouver une qualité, juste une est je n'en trouve pas, est-ce que un mouton cretin pro-médiocrité qui voit kais comme son berger/prophète peut nous dire une seule de ses qualités, juste une.
De grâce, mettez les valeurs au-dessus de tout, vous gagnerez en crédibilité. A défaut, vous serez un insignifiant mouton qui bêle derrière son berger ou son gourou.
On est face à un homme aussi courageux que Abir Moussi et bien d'autres, qui affrontent cette dictature en espérant qu'ils soient porteurs de valeurs de liberté de justice et de démocratie pour le bien du pays.
On les aime, ou pas. Peu importe, -ils, elles, aussi- sont courageux et indispensables pour que l'election ait un sens.