
Le président du parti Afek Tounes, Fadhel Abdelkefi a critiqué le faible taux de participation aux élections législatives anticipées du 17 décembre 2022 égal à seulement 8,8% du corps électoral selon les premiers chiffres. Il a indiqué que plus de neuf Tunisiens sur dix n'avaient pas exercé leur droit de vote lors de cet événement.
Dans une vidéo publiée le 18 décembre 2022 sur sa page officielle, Fadhel Abdelkefi a appelé le président de la République, Kaïs Saïed, à cesser de s'obstiner et à écouter son peuple. Ce dernier, selon lui doit :
- Annuler les élections législatives
- Nommer un gouvernement d'urgence économique
- Tenir une élection présidentielle anticipée
Fadhel Abdelkefi a considéré que le système mis en place par le président de la République Kaïs Saïed, basé sur la prise de décisions de façon unilatérale, signifiait l'échec de ce dernier. Il a rappelé qu'Afek Tounes avait mis en garde contre ce scénario depuis le 25 juillet 2022, soit une année après l'annonce des mesures exceptionnelles. M. Abdelkefi a estimé que la monopolisation des décisions a mené la Tunisie vers la catastrophe. Il a indiqué que le résultat des élections signifiait une défaite du système de Kaïs Saïed, mais aussi de la Tunisie. Il a estimé que le pays avait perdu beaucoup de temps, d'efforts et d'argent en raison de la tenue d'élections auxquelles 90% des Tunisiens n'ont pas participé. Il a, aussi, considéré que le résultat des élections ne signifiait pas une envie de retourner à la situation d'avant le 25 juillet 2021.
S.G


et son sourire est captivant , ensorcelant .
Vivement abdelkefi président.
Les déchus l'ont bien compris et se mirent à ne faire qu'attaquer le parti d'Ennahdha et son chef Rached Ghannouchi, à les saboter et à intriguer contre eux par tous les mensonges de ce monde. L'Islam et toute réussite post-révolution, sont devenus en Tunisie une «occupation» qatarie et turque. Ils n'ont pas laissé les Tunisiens jouir d'une seule journée, pour fêter les multiples succès de leur Révolution du 14 janvier 2011. Même pas les jours fériés ou ceux des Aïds. Un bulldozer médiatico-politique, contre tout ce qui bouge au profit de la transition démocratique et de l'Islam, se mit à écraser et à saboter le moindre moyen de réussite en Tunisie. L'UGTT a battu tous les records du monde de grèves, de manifestations, de blocages de rues, de routes, d'usines et même des voies ferrées. Les augmentations salariales ont plus que doublé en un laps de temps. L'UGTT, se transforma en un Etat dans l'Etat, avec prérogatives de réserves contre la nomination de n'importe quel premier ministre avec l'ensemble de son gouvernement, jusqu'au droit acquis d'un poste ministériel, qui fut occupé par ce même Abid Briki, qui nous joue maintenant au soutien de Kaïs Saïed.
Nous avons tous vécu la myriade de mensonges et d'intrigues contre le parti d'Ennahdha et contre son chef Rached Ghannouchi. Malgré tout, nous constatons en liesse, que presque tous les auteurs des intrigues contre la Révolution du 14 janvier 2011, le paient l'un après l'autre, depuis Samia et Mohamed Abbou, jusqu'à Yassine Ayari, Samir Taïeb, Mahdi Ben Gharbia et la liste ne s'arrête sûrement pas là. Un tamis de la Divinité a séparé les faux-jetons, des vrais et bons politiciens de la Tunisie. Il ne reste au fond de la rivière, que les vraies pépites d'or.
Je dois le reconnaître avec foi et conscience, que parmi les pépites d'or de la scène politique tunisienne qui restent aux Tunisiens, il faudra compter entre autres, ces Valeureux Fadhel Abdelkefi et Ghazi Chaouachi.
Allah yostir Tounes.
Avez-vous manifesté devant l'ARP ? Non !
avez-vous fait un sit-in devant l'ARP ? Non !
Vous êtes restés au moins une demi-heure devant le char d´El3asskar? Non !
Vous êtes-vous demandé quels généraux étaient impliqués dans ce coup d'Etat ? Non !
Avez-vous parlé du rôle des Français et des Arabes dans la destruction de notre démocratie ? Non.
..
Allah Lè Yar7amm Lèkoum Wèldin !
Il n'a pas encore compris ses erreurs ainsi que celle de la classe prétendue politique de l'avant 25 juillet 2021....
Il n'a pas encore compris que le phénomène KS est le produit de leur inconséquence politique de ne pas avoir su immuniser cette Démocratie balbutiante contre les dérives possibles,en se privant de la seule Institution à même de parler en leur nom lorsque cela déraille: une Cour Constitutionnelle.....
Nous en payons tous aujourd'hui le prix et cela vient à peine de commencer...
Allah yonssor mèwlènè el emir,yahia Kais Saied,Fi soit des élections et des élus,mèdèm mèwlènè el Emir ihéb yohkom wahdou moujoud,dimè lè bèss!
Quels procès ?
Quelles charges ?
Et c'est comme ça qu'on reconnaît les débiles et leurs commentaires.
Non, Mr. Abdelkéfi a eu son nom rajouté comme par hasard sur une liste des 25 dont on ne sait rien. Sauf bien sûr les proches du président, eux ils savent.
La vérité est que ce pouvoir a peur. Il a donc peur de gens comme si Abdelkéfi.
Personnellement, je ne le connais pas. Mais, j'ai écouté ces discours. Ils sont cohérents, pédagogiques, calmes, logiques et clairs.
Donc c'est quelqu'un qui dérange. Il ne crie pas, ne chahute pas. 3a9el, sage comme on dit. Mais la Tunisieaime plutôt ceux qui beuglent encore plus s'ils sont INCOMPETENTS...
Non, la populace veut plutôt quelqu'un qui gueule comme un charretier, un populiste qui s'y connaît pas mais qui donne des solutions simplistes...
C'est le drame de notre pays.
c'est