
Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, ce mardi 29 juin 2021, au Palais de Carthage, la dirigeante au sein du Courant populaire, Mbarka Aouinia, présidente du centre Mohamed Brahmi pour la paix et la solidarité.
La rencontre a permis de débattre d'une série de questions, dont la situation de la Tunisie depuis le 17 décembre 2010 et les moyens permettant de dépasser les obstacles.
Par ailleurs, le président de la République a réitéré son attachement à la légitimité comme moyen permettant de réaliser la volonté du peuple et non de porter atteinte à ses intérêts légitimes.
Lors de cette rencontre, le chef de l'État a souligné que les dernières années ont prouvé qu'il existait une rupture entre les textes de loi et la réalité. Dans ce contexte, il a considéré que cette situation ne pouvait être résolue à travers des dialogues formels comme les précédents, mais à travers une nouvelle vision faisant participer le peuple tunisien et non ceux qui se seraient retournés contre sa volonté.
S’adressant à Mbarka Aouinia, le président de la République est revenue sur la Constitution de 1959, indiquant que feu Habib Bourguiba avait assuré à l’époque que cette Constitution était susceptible d’évoluer. Il a ajouté que le texte de la Constitution importait peu, le plus important étant ses finalités. Par ailleurs, il a tenu à souligner que la Tunisie vit dans un régime parlementaire depuis 1976, notant qu’à cette époque, la Tunisie est passée de la pluralité au parti unique. « Aujourd’hui, nous vivons une pluralité partisane en apparence. Cependant, nous avons des gens avides de pouvoir, qui font souffrir le peuple tunisien ».
Et d’ajouter que certaines parties tentent d’entraver ses actions, notant dans ce contexte, qu’il y avait eu, aujourd’hui, une tentative de bloquer l’acheminement des respirateurs depuis l’Allemagne malgré tous les efforts déployés.
« Il y a des députés qui font l’objet de poursuites judiciaires, alors qu’ils prétendent le contraire. Leurs crimes sont avérés et toutes les preuves sont disponibles mais ils s’obstinent à le nier. D’autre part, ils veulent faire passer les diffamations et les insultes pour de la liberté d’expression. Ils ne parviennent pas à comprendre que nous sommes passés à une nouvelle ère. Toutes leurs manœuvres et manigances ne passeront plus » .
S.H
Je demande m le president quel est le role de cette femme dans notre situation actuelle?
Je peux avoir une petite reponse virtuelle , c est que ce president doit etre formate et faire une mise a jour sur son disque dur
Est-il normal que Kaïs Saïed, invite n'importe qui, pour lui rabâcher toujours de telles inepties, jusqu'à se ridiculiser par sa culture de son passé lointain et de son éducation par le biais du journal de Bourguiba "l'Action". Un journal que personne ne lisait en Tunisie, bien qu'il fût distribué gratuitement?
Lorsque j'ai vu cet article, j'ai cru que le président Kaïs Saïed, a invité Mbarka la veuve du Martyr Mohamed Brahmi, pour lui annoncer des nouvelles au sujet de ses meurtriers. J'ai écouté la vidéo jusqu'à la fin. Rien de rien, que son habituel discours de cas psychique, d'une précarité alarmante.
La question qui s'impose d'elle-même :"à quand l'ARP et ses députés du peuple, vont-ils encore jouer aux trois singes de rien vu, rien entendu et rien à dire"?
A quand vont-ils se décider, de le faire passer par une commission psychiatrique neutre?
L'homme a une vraie phobie autour de la Constitution, n'étant basée que sur sa nostalgie maladive des temps de ses études aux temps de "guèflè tsir" chez Bourguiba.
Nous avons vraiment choisi un "Zalèm" de Bourguiba, ennemi de la démocratie et de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, à la présidence de notre deuxième République. Les militants des Droits de l'homme de sa génération, ont tous été malmenés par les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Sauf lui. Il a su cacher ses ambitions azlamistes pour déjouer une jeunesse tunisienne, à laquelle il pourra raconter tous ses contes mythologiques.
Cela dit tout au sujet de sa nostalgie pour la Constitution de Bourguiba.
Il est temps de se réveiller et de faire un front de vigilance, contre cette catastrophe qu'on a élue nous-mêmes.
Allah yostir Tounes.
Et pour ça le bolchevique aimerait retourner 70 piges en arrière wwwaaaa .la trouvaille du mauvais génie !!!
Le bolchevique pense a ce que veut le peuple !!! Toz .
Ce que veut le bolchevique plutôt oui !!!
Le mauvais génie entrave le travail gouvernemental .
Mais paraît il c'est pour le bien du peuple. Re- toooz !!!
Pour une vingtaine de présumés faissidine au parlement ,
Le mauvais génie laissera mourir de faim de maladie et de désespoir 10 millions de Tunisiens , parce qu'il y-aurait une vingtaine de bouseux !!!
Faut croire qu'il est vicieux mais vraiment vicelard !!!
Un bolchevique quoi !!

