
Deux ans se sont écoulés, jour pour jour, depuis que le président de la République Kaïs Saïed a déclaré l’activation de l’article 80 de la Constitution de 2014. Un séisme politique qui secoua la scène nationale, donnant le coup d’envoi d’un nouveau processus conduit par le chef de l’État et qui traduit son projet politique, économique et social prôné durant sa campagne électorale. Focus sur un bilan de ces deux années.
Droit vers son projet politique, peu importent les circonstances
C’était un jour marquant. Le 25 juillet 2021, le président de la République Kaïs Saïed a pris sa décision. Il se lance dans la mise en marche de son projet politique. Une démarche progressive et graduelle. Ainsi, il a annoncé lors d’une réunion d’urgence avec des dirigeants sécuritaires et militaires, qu’il a décidé, conformément aux dispositions de l’article 80, de geler les travaux du Parlement pendant 30 jours et de lever l’immunité sur tous les députés. Kaïs Saïed a, également annoncé qu’il va présider le ministère public afin de poursuivre en justice les députés ayant des affaires en cours (il taira ensuite cette mesure). Il a ajouté qu’il présidera le pourvoir exécutif, aidé par un gouvernement dirigé par un chef de gouvernement qu’il désignera lui-même.
Ces mesures contestées par une large frange de la scène politique avaient été fortement applaudies par des Tunisiens ayant cru à l’élimination du mouvement Ennahdha de la scène nationale par la voie du gel du Parlement.
A l’échelle internationale, la décision du président de la République a été soutenue par l’Algérie, l’Egypte et les Emirats arabes unis. Toutefois, les forces internationales, notamment, les USA et l’UE n’ont pas dissimulé leurs craintes quant à la violation du processus démocratique en Tunisie.
A peine deux mois plus tard, soit le 22 septembre 2021, le chef de l’État a publié les mesures exceptionnelles détaillées par la voie du décret 117 qui énonce le maintien de la suspension du Parlement ainsi que tous les avantages et primes accordés à ses membres et continuer à lever l’immunité parlementaire des députés, la mise en place de mesures exceptionnelles liées au pouvoir législatif et exécutif ainsi que le maintien du préambule de la constitution et ses deux chapitres premiers ainsi qu’avec tous les articles qui ne contredisent pas les mesures exceptionnelles et la suspension de l’instance provisoire chargée du contrôle de la constitutionnalité des projets de loi. En vertu de ce même décret, le président de la République se charge d’apporter les projets d’amendement des articles liés aux réformes politiques, épaulé par une commission qui sera nommée par décret présidentiel.
Cette décision a secoué une grande partie de la scène politique, notamment parmi ceux ayant soutenu le processus du 25-Juillet. En effet, ce décret a été considéré comme une mainmise sur tous les pouvoirs et un retour sur le processus démocratique. La base de l’opposition s’élargit et les voix dénonçant un coup d’État s’élèvent davantage.
Déterminé, le président de la République continue sur sa lancée et ne prête aucune attention aux critiques. Il désigne une nouvelle cheffe de gouvernement. Najla Bouden. Bien que méconnue sur la scène nationale, la désignation d’une femme à la tête du gouvernement fût applaudie. Deux semaines plus tard, le 11 octobre 2021, le président annonce la composition du nouveau gouvernement.
Face au flou qui prévalait sur la scène politique et les interrogations à l’échelle nationale et internationale, Kaïs Saïed a donné un discours, le 13 décembre 2021, où il a annoncé plusieurs mesures et une feuille de route:
-Le maintien du gel de l’Assemblée des Représentants du Peuple jusqu’à la tenue d'élections anticipées.
-La tenue d’une série de consultations populaires directes et à travers une plateforme en ligne à partir du 1er janvier 2022. Celles-ci prendront fin à la date du 20 mars 2022.
-La création d’une commission chargée de réunir les propositions et les idées résultant des consultations. La commission doit présenter les résultats au mois de juin 2022.
-La présentation du projet de révision de la Constitution par référendum le 25 juillet 2022
-La tenue d’élections législatives anticipées le 17 décembre 2022.
-L’élaboration d’un décret relatif à la réconciliation pénale tel qu’évoqué depuis 2012 prenant en considération le système de classification selon l’infraction et les zones les plus pauvres.
-La traduction devant la justice de tous ceux qui s’étaient rendus coupables d’atteinte à l’Etat et à son peuple.
Malgré l’opposition, cette feuille de route a été respectée à la lettre par le président de la République. Toutefois, le résultat reste mitigé. En effet, la participation à la consultation nationale était trop faible. La constitution a été élaborée par le président de la Républiqu après avoir délaissé le projet qui lui a été soumis par la commission qu’il avait lui-même formée.
Cette constitution instaurant les fondements de base du projet de gouvernance par les bases de Kaïs Saïed a été adoptée, mais avec un taux de boycott avoisinant les 70%. Les élections législatives ont eu par la suite lieu le 17 décembre 2022 après l’amendement de la loi électorale d’une manière unilatérale par Kaïs Saïed. Un taux d’abstention record a été enregistré durant les deux tours, mais comme il n’y avait pas de seuil requis, le Parlement a fini par être installé.
Il convient de noter également que le président de la République, depuis le lancement du processus du 25-Juillet, avait déclaré une guerre sans merci au pouvoir judiciaire, pour finir avec la dissolution du Conseil suérieur de la magistrature le 5 février 2022. En effet, il considère que la magistrature, bien qu’indépendante, n’est qu’une fonction et ne peut être un pouvoir à part entière.
Une fois le pouvoir judiciaire maîtrisé, les principales figures de l’opposition ont été arrêtées. Elles sont accusées de comploter contre la sûreté de l’État.
Ainsi Kaïs Saïed a éliminé le Parlement, annulé la constitution de 2014, mis en place sa propre constitution, installé son Parlement, instauré un régime présidentiel, pris tous les pouvoirs, éliminé ses adversaires politiques et annulé tout mécanisme de contrôle sur ses propres actions.
La situation économique stagne et la crise s’approfondit
Le président de la République a toujours appelé les Tunisiens à compter sur leurs propres ressources, appelant à la mise en place de nouveaux mécanismes pour créer la richesse. Pour lui, sortir de la crie économique dans laquelle sombre le pays, repose sur deux hypothèses, à savoir la création de richesse à travers les entreprises communautaires, et la mobilisation des ressources par le biais du projet de conciliation pénale.
Or, les entreprises communautaires n’ont montré aucune rentabilité, et la commission de la conciliation pénale est restée au point mort depuis sa création.
En contrepartie, le président de la République ne cesse de rejeter les diktats des institutions financières internationales, refusant de délaisser le rôle social de l’État, notamment, la levée des subventions et la cession des entreprises publiques. Or, le gouvernement se démène, depuis son installation, pour concrétiser l’accord préliminaire avec le FMI. Une fois validé par le conseil d’administration, cet accord permettrait à la Tunisie d’obtenir 1,9 milliard de dollars sur quatre ans pour appuyer son programme de réformes.
Le chef de l’État ne cesse d’accuser à travers, ses multiples discours des parties inconnues, de comploter pour créer les crises et les pénuries. A cet effet, il a promulgué un décret pour lutter contre le monopole et la spéculation, sauf que l’application n’était pas au rendez-vous.
Climat social, Kaïs Saïed écrase les syndicats
Dès le lancement du processus du 25- Juillet, le président de la République s’est trouvé confronté à une vive tension sociale liée à la crise des déchets à Agareb au gouvernorat de Sfax. Une première épreuve à laquelle le président de la République avait publiquement tourné le dos. Par la suite, il a pris sa première décision non populiste en rejetant l’application de la loi 38 du recrutement dans le secteur public, assurant que cette loi ne peut être appliquée dans les circonstances actuelles. D’ailleurs, il avait saisi cette polémique pour faire la promotion de son projet concernant les entreprises communautaires.
Les tensions sociales se sont poursuivies à cause des multiples pénuries touchant les produits vitaux. Une situation gérée par Kaïs Saïed grâce à ses discours rejetant la faute à la conjoncture internationale, mais aussi aux complots tramés par des parties dans des chambres obscures dans l’unique but de malmener le peuple et l’affamer.
Par ailleurs, le président de la République avait réussi, où plusieurs de ces prédécesseurs avaient échoué, à savoir faire face aux syndicats. C’est dire que le pouvoir actuel avait réussi de disloquer les syndicats sécuritaires, mais aussi les syndicats de l’enseignement à travers des mesures radicales prises par le pouvoir exécutif.
Doits et libertés, les médias dans la ligne de mire
Plusieurs organisations et autres parties actives dans la société civile ne cessent de mettre en garde contre les dangers qui guettent les droits et les libertés, principaux acquis des Tunisiens à la suite de la révolution de 2011. Pour cause, les multiples actions entreprises par le chef de l’État à la suite de la proclamation des mesures du 25-Juillet, notamment, des violations et dépassements commis, les arrestations sur la base du décret 54 et la comparution des civils devant la justice militaire, entre autres. Dans ce sens on notera, la convocation du porte-parole du comité de défense des magistrats révoqués, Ayachi Hammami, ou encore les convocations de journalistes sur la base du décret 54. Outre les atteintes au droit syndical, notamment, l’arrestation de plusieurs responsables syndicaux sur la base de leurs activités.
Le décret 54, reste la principale menace aux droits et libertés, notamment, la liberté d’expression, à travers son article 24 qui permet aux autorités de contrôler ce que disent les journalistes, les défenseurs des droits de l’Homme, les opposants politiques, entre autres, et de leur imposer de lourdes peines, en infraction totale avec les engagements de la Tunisie en matière de droit international. Ses dispositions sont tellement vagues que cela ouvre la porte à la criminalisation du travail des journalistes et des militants et les exposent à des peines excessives
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Force est de constater que le bilan des deux années de Kaïs Saïed est bien riche en événements. En effet, il a tiré profit de sa côte popularité pour asseoir son projet politique qu’il avait défendu tout au long de sa campagne électorale.
Toutefois, il a été confronté à de multiples contraintes, non seulement, à l’échelle nationale, mais aussi internationale. En effet, le président de la République s’est trouvé au cœur de plusieurs polémiques, dont, la dernière en date la gestion des flux migratoires et la situation des migrants subsahariens en Tunisie. Un dossier qui avait pris une ampleur importante, notamment, lorsque le chef de l’État avait évoqué un plan criminel préparé depuis le début de ce siècle pour métamorphoser la composition démographique de la Tunisie. La gestion de ce dossier lui avait valu plusieurs critiques à grande échelle.
En tout état de cause, Kaïs Saïed semble déterminé à mener à terme son projet politique, aidé en cela par l’appui des forces sécuritaires et militaires, mais aussi par la dispersion de ses opposants et leur division. Reste à savoir, l’issue qu’il trouvra pour résoudre la crise économique, qui, étouffée, finirait un jour par éclater, et dont les répercussions pourraient être considérables.
Sarra Hlaoui
SVP , relisez le texte et apportez les corrections nécessaires: je note p. ex. en paragraphe " DROITS et libertés, les médias dans la ligne de mire"...
Dernière phrase: "Reste à savoir, l'issue qu'il trouvera..."
Plus en haut, la phrase "...le président de la République ne cesse de rejeter les diktats des institutions financières internationales" ... nécessite que le mot pluriel "diktats" soit mis entre guillemets, puisque c'est l'interprétation de Saied et non la réalité.
EN FAIT, les reformes ont été élaborées par son gouvernement même et par le ministre de Finances, qui est proche du Président: parler de "diktats" est donc une altération paranoïaque (et populiste) des mécanismes mis en marche en parfaite entente entre gouvernement tunisien et FMI.
N.G.M. - activiste indépendant pour les Droits de l'Homme
grammaire infernale.
indéfendable !!
Si c'était ennahdha au pouvoir cela a été le sujet de la planète!
Ma conclusion ! Ki sidi ki jwedou!
C'est là mentalité des arrivistes et des issus de lexodecrural qui pensent, dont on ne sait dailleurs pourquoi qu'ils sont les élus de Dieu tant qu'ils sont à....Tunis, et que ces incultes, paresseux et va-nu-pieds oublient qu'ils sont un fardeau pour la Tunisie.
Vous n'avez pas le c'?ur à fêter la République ? A fêter l'ascension vertigineuse ? Je pense qu'il faut chercher soi-même les cadeaux et arrêter d'être sage et de montrer patte blanche pour avoir des cadeaux. Vous avez compris que la République ne sera plus fêtée?et que bientôt ça sera le califat? C'est vrai que le calife se trompe sur les versets coraniques et qu'il en rajoute. Mais ne vous inquiétez pas, il est devin, il y aura une année où il va récolter et vous presser plus qu'il ne le fait actuellement. C'est vache, non ? Il vous prend pour les vaches grasses de Joseph ? Non, il est désintéressé. Mais n'oubliez pas votre chanson sur les vaches qui dit " nari nari 3la ejlassi ba3 elbagra ou 5alla el3assi". Ne me dites pas qu'il les a vendues à Meloni. Non, il préfère mourir de faim que tendre la main aux étrangers pour garder les vaches.
Allez, gardez la banane, oui celle à 5 dinars le kilos. Moi je vais faire la queue pour le sucre, je dois faire un gâteau d'anniversaire.
Bonne fête les tunisiens.
Ces énergumènes ne savent pas que la tunisie a bataillé pendant des siecles et ce pour developper la Tunisie et non pas pour permettre à ce genre de complexes et régionalistes de l'escroquerie et se débarrasser des nationalistes.
Derrière l'affectueux adieu au pays du jasmin, se cache un ressentiment de supériorité, de légitimité prétendue d'un ressortissant d'un ex colonisateur qui s'en est sorti sans avoir à être jugé pour le crime qui est le colonialisme. Une attitude tout simplement inadmissible. Occupez vous donc de vos propres déboires. Vous êtes les bienvenues si vous voulez venir mais on ne va pas pleurer si vous décidez autrement.
C'est incroyable comme votre esprit est infecte et saugrenu, c'est plutôt cette question de régionalisme et d'appartenance au sud que vous denigrez d'une part et que vous cherchez par contre à imposer votre présence et mettre main basse sur le nord et surtout la capitale Tunis t ce d'autre part.
Tunis est la cause du problème socio-économique de la Tunisie, qui a pourtant ses originaires, comme supposé partout ailleurs, mais que plusieurs, et ce certainement par complexe et hypocrisie acquis au fil des années, soit depuis quatre décennies environ, ne veulent pas l'entendre de cette oreille et dénigrent paradoxalement leur supposée région et veulent imposer l'idée malveillante qu'ils ont une double origine et que tunis est la leur mais qu'ils détestent et insultent incroyablement ses originaires par ailleurs.
Donc toutes leurs violentes réactions lors de leurs ignobles manifestations qui se deroulent obligatoirement à Tunis bien évidemment n'ont comme seul argument c'est de se dire qu'ils sont tunisois. Ce fléau s'est amplifié surtout lorsqu'une arnaque de leur part s'est concrétisée avec la destruction socio-économique qu'ils ont causé à la Tunisie et ce en depechant anarchiquement à partir de 2011 (arguant la révolution) des centaines de milliers d'individus vers cette maudite capitale et en leur octroyant par dessus le marché des recrutement fictifs et fantoches et cecdans la fonction publique quils ont concentre et rassemblé et concentré dans ladite capitale , et nimul ailleurs, afin de mettre en application leur complot, concocté lors de leur sinécure à Londres entre 2006 et 2011 avec la complicité de deux pays supposés pourtant avoir des liens historiques avec la Tunisie mais leur objectif s'est révélé en fin de compte tout autre et ne cherchaient qu'une autre manière contemporaine de colonisation, d'autant plus que le terrain est propice avec cette engouement d'habiter la capitale Tunis coûte que coûte
C'est ainsi que lesp prêts octroyés à la Tunisie la par des banques mondiales et du FMI ne servironr que pour la régularisation des salaires fictifs ou pour l'octroi de prêts pour l'achat de véhicules ou de logements nouvellement construits à...Tunis laquelle ville servirait entre autre au passage vers le pétrole libyen ?!
Preuves à l'appui avec les événements géopolitiques qui ce sont déroulés depuis 2011.
En plus un bon deuxième anniversaire pour de la fin des anvahisseurs qui ont été chassé par le grand héros KS
Il a debrassé la tunisie le cette secte salafiste qui n'ont laissé que la merde là où ils sont passés Algérie Libye Soudan Afganistan '?gypte Syrie Irak Tunisie...
Je réponds seulement à la dernière question de ce petit article a savoir la fameuse crise économique
Dans les dernières semaines le gouvernement a eu pour 4 500 miliards de devises dont 1000 milliards de dons chose absente depuis 2018
En plus des 2000 milliards des banques locales
Tous les indicateurs de tous les organismes internationales indiquent que la tunidie est sortie de la descente aux enfers et que le redressement a biencommencé avec de bons indicateurs de croissance
Seul les journalistes de BN ne veulent pas accepter ces vérités et ***uste pour montrer l'incompétence de KS
Mais importe car la caravane passe et les.........
En même temps cette bande de fumistes irresponsables est soutenue avec une constance étonnante par une pathologie collective (les soit disant pro-Kaes Saed) , ridicule jusqu'à l'indécence, d'une ignorance et d'une médiocrité inconcevables .
Rappel des deux piliers de la stratégie de remise à niveau de l'économie tunisienne selon Kaes Saed :
création de richesse à travers les entreprises communautaires,
mobilisation des ressources par le biais du projet de conciliation pénale.
Quel résultat en aout 2023 ?
Les flux de création de richesses sont systématiquement détournés vers l'économie informelle. , au détriment de l'investissement productif. Ce détournement MASSIF, appelé contrebande d'argent, est devenu la règle; la création de véritable valeur ajoutée au sein du circuit économique tunisien est devenue l'exception.
On assiste depuis le 25 juillet 2021 a un RENFORCEMENT DE LA CRIMINALISATION DE l'ECONOMIE et de la société.
Ce détournement massif des flux financiers, hors de contrôle, se structure autour des transaction commerciales ordinaires qui sont systématiquement bidouillées, avec la complicité directe de la plupart des fonctionnaires publics intervenants dans les circuits : évasion fiscale systématique, bidouillage des droits de douane à travers le recours à de fausses déclarations sur la nature des marchandises échangées, blanchiment d'argent - lequel prospère, très inquiétant - .
L'aggravation de la pression fiscale se fait uniquement au détriment des salariés; le véritable investissement créateur de richesse c'est à dire de valeur ajoutée, est lui, toujours en berne. Les possibilités de recours aux crédits a l'investissement productif s'amenuisent de manière drastique, le volume des flux finançant l'économie parallèle croit de manière exponentielle . AVEC LA COMPLICITE DIRECTE DU SYSTEME BANCAIRE.
Donc sans faire de la politique on peut a coup sur qualifier les mesures prises par l'équipe Saed de déjantées et complètement hors sujet.
rien à espérer.
NO WAY
Si vous re-lisez une par une les décisions prises par kais, elles sont toutes dans sont intérêt.
BN au nom du peuple doit on avoir une idée sur son contenu
ou le prèt saoudien ?
le despote garde tout pour lui.
Mais que voulez vous, mêmes ceux qui se prennent pour des lumières, preuve qu'il s'agit de médiocres, ont le droit de s'exprimer. On se bat pour qu'ils puissent s'exprimer et exister dans le débat public, au risque d'avoir à entendre voire à répondre à des non-pensées voire à lire avec indifférence l'invective sortant de leurs langues fleuries.
Un sauvetage qui met en fureur et énervé ceux qui cherchaient la décadence socio-économique de la Tunisie, et ce pat tous les moyens les plus ignobles et les plus inhumains. Et dire qu'on est déjà au premier siècle du troisième millénaire ; de se demander si les risques de revoir l'illettrisme et l'ignorance peuvent reparaitre ?!
Espérons le contraire !
pour faire quoi ?
rien du tout.
En effet, plus de mauvaises décisions sont prises et plus on s'enfoncent. C'est très grave.

