
Le mouvement Ennahdha a dénoncé, vendredi 7 mars 2025, le procès relatif à l’affaire de complot contre la sûreté de l’État, le qualifiant de manœuvre politique visant à exclure l’opposition.
Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, Ennahdha a indiqué que son bureau exécutif s’était réuni le 5 mars 2025 pour exprimer sa vive préoccupation concernant le procès lié à l’affaire de complot, impliquant plusieurs de ses dirigeants ainsi que des figures de l’opposition nationale.
Le mouvement a rejeté fermement ce procès, qu’il considère comme une violation flagrante des garanties d’un procès équitable et une menace sérieuse pour la démocratie et les libertés en Tunisie. Il a également dénoncé la tenue du procès à distance, privant ainsi les accusés de leur droit à la défense, ainsi que la fuite à l’étranger du juge initialement chargé de l’affaire, ce qui soulève des doutes sur l’intégrité du dossier.
Ennahdha a aussi condamné les manipulations médiatiques orchestrées par certains médias proches du pouvoir, qui diffusent des extraits tronqués des procès-verbaux d’enquête afin de discréditer les opposants et influencer l’opinion publique.
Le mouvement a ensuite souligné que ces pratiques sapent l’indépendance de la justice et compromettent l’équité des procès. Il affirme que l’affaire en question s’inscrit dans une stratégie plus large visant à éliminer toute opposition politique par des moyens judiciaires, en utilisant des dossiers dépourvus de fondements légaux solides et de procédures équitables.
Le mouvement a mis en garde contre les dangers de l’instrumentalisation de la justice à des fins politiques, soulignant que ces poursuites ne résoudront pas les crises économiques et sociales que traverse la Tunisie. Au contraire, elles risquent d’aggraver les tensions et d’isoler davantage le pays sur la scène internationale.
Enfin, le communiqué a appelé à un dialogue national inclusif et au respect des droits et libertés fondamentales pour sortir de la crise, tout en rejetant toute tentative de retour à un régime autoritaire, en exhortant les organisations de défense des droits de l’homme et les forces politiques nationales à suivre de près ce dossier et à résister à toute dérive autoritaire.
H.K
Peux-t'ont faire confiance à ces serpents à sonnettes...
Si aujourd'hui encore nous sommes dans cette situation c'est bien à cause de ces parasites qui nous pourris la vie dans l'ensemble de nos institutions, un vrai cancer dans le pays.
Méfiance la fin n'est pas programmé pour bientôt...
Pour les infinités de mal qu'il a causé à Notre adorable Tunisie'?'Yezzi'?'c'est dire peu: heureusement que le sort nous ait envoyé une personne honnête pour tout désinfecter de cette vermine de parti maudit'?'vive notre Kaissoun National '?'..il faut lui donner le temps nécessaire pour une désinfection radicale.
Comme dit l'adage, "c'est la première poule qui crie qui a pondu", alors on dirait
qu'ils savent déjà ce qui les attend en sachant pertinemment ce qu' ils ont fait.