La chambre correctionnelle près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé, ce lundi 20 janvier 2025, de reporter au 17 février prochain l'examen de l'affaire intentée contre Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL), indique radio Mosaïque Fm. Ce report vise à permettre à son équipe de défense de consulter le dossier et de préparer les moyens de défense.
Le ministère public près le Tribunal de première instance de Tunis avait décidé de renvoyer Abir Moussi, en état de liberté, devant la sixième chambre correctionnelle pour être jugée pour des accusations d'atteinte à autrui et de diffamation publique via les réseaux de télécommunication. Ces accusations font suite à une plainte déposée contre elle par l'Organisation pour la défense des sacralités et des croyances.
S.H
Abir Moussi - Report au 17 février de l'affaire de diffamation
La chambre correctionnelle près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé, ce lundi 20 janvier 2025, de reporter au 17 février prochain l'examen de l'affaire intentée contre Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL), indique radio Mosaïque Fm. Ce report vise à permettre à son équipe de défense de consulter le dossier et de préparer les moyens de défense.
Le ministère public près le Tribunal de première instance de Tunis avait décidé de renvoyer Abir Moussi, en état de liberté, devant la sixième chambre correctionnelle pour être jugée pour des accusations d'atteinte à autrui et de diffamation publique via les réseaux de télécommunication. Ces accusations font suite à une plainte déposée contre elle par l'Organisation pour la défense des sacralités et des croyances.
Ces derniers années on constate des cas incroyables ?
a posté le 21-01-2025 à 12:45
Comment on accuse une cheffe de partie pesant de motifs qui ne portent aucun risque sur la sécurité Cet organisme qui avait déposé la plainte contre cette femme loyale à sa patrie peut être ils non pas bien étudier la la réglementation des parties ça ou L être humain se trompé la preuve cet organisme ne fait pas de distinction entre un grand responsable et citoyen ordinaire 'L'essentiel cet organisme n' a été guerre en cohabitation avec quiconque de barrer la route a cet Militante afin qu elle laisser la scène pour certains assoiffés de pouvoir . Ce qui est très surprenant qu il n' y a plus d'humanité le fait que ceux qui ont été à L origine de son incarcération non pas donné D importance à ses fils et son conjoint qu ils laisser seules .On pose la question est ce que durant la période de la gestion des anciens présidents les femmes sont traités de cette impossible cet phénomène le semble qu elle est etrangée dans la société Tunisienne selon certains informations incertains L affaire de L emprisonnement du cheffe de partie PDL devenue le problème de l'heure et surtout chez les jeunes dans des cafés plusieurs D entre eux ne sont pas contents de l'arrestation des femme pour eux c est un desonheur et surtout le dialogue échanger entre deux jeunes Tunisiens Slayem et Mjayed c est deux amis fidèles sont très préoccupés de L emprisonnement de Cette Militante car selon deux c est leur espoir car son programme donne L importance aux préoccupations des jeunes soit qu il soit son niveau d'instruction et surtout la formation localement ou par la coopération avec l'extérieur et surtout avec les pays d savoir faire dans le domaine de L hydraulique et L agriculture .