Le cabinet politique du Parti destourien libre (PDL) et le comité de défense de sa présidente, Abir Moussi, ont tenu un point de presse, mardi 19 novembre 2024, pour commenter les récents développements dans l’affaire dite « du bureau d’ordre ».
Lors de cette conférence, l’avocat Ali Bejaoui a révélé que le juge d’instruction a décidé de poursuivre Abir Moussi conformément à l’article 72 du Code pénal. Cet article stipule : « Est puni de mort l'auteur de l'attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement, d'inciter les gens à s'armer les uns contre les autres ou à provoquer le désordre, le meurtre ou le pillage sur le territoire tunisien ».
Le comité de défense a rappelé que le juge d’instruction avait précédemment clos l’enquête et classé les accusations criminelles relevant de l’article 72. Ainsi, les charges retenues contre Abir Moussi avaient été requalifiées en délits, nécessitant son jugement devant une chambre correctionnelle. Bien que le ministère public ait fait appel de cette décision, la chambre des mises en accusation avait rejeté cet appel, confirmant la décision initiale du juge.
Cependant, le ministère public a introduit un pourvoi en cassation, ce qui a conduit à un nouveau renvoi de l’affaire devant le juge d’instruction. Ce dernier vient de décider, une fois encore, de retenir des charges basées sur l’article 72 contre la présidente du PDL.
Le comité de défense a dénoncé cette nouvelle décision, soulignant l’absence de tout élément nouveau dans le dossier d’instruction. Il a également annoncé son intention de faire appel de cette accusation qu’il juge injustifiée.
S.H
Rajouter le traitement du nombre "72", aux quelques neurones orphelins dont il dispose, ce serait tout comme demander à un baudet ; quel est le nombre exact de planètes dans l'univers !!!
Par conséquent, votre affirmation est fantaisiste et ne veut rien dire.
Même le naze au service des chameliers dans ce forum, celui qui ne se met pas à genoux, uniquement pour prier, sera d'accord avec mes dires,
Il se reconnaîtra.
Eux, les 5% à toutes les élections démocratiques postrévolutions du 14 janvier 2011, prétendent avoir un "cabinet politique" sans le moindre pouvoir, bien que poursuivis par la Justice tunisienne, comme les pires des criminels. Un "cabinet politique d'Ali Chwèrrib" ou au féminin "d'Abir Moussi".
Un cabinet politique de grenouilles, qui coassent dans leur propre sale étang, sans le moindre avantage pour les Tunisiens. Ils ne le font que pour les mangeurs de grenouilles en France comme en Italie et alentour.
Il est impossible que la Zalèma Abir Moussi, puisse échapper aux Châtiments divins, jusqu'à la fin de sa vie. Tellement, elle nous a détruit tous les rêves de liberté et de l'accession au niveau du monde libre, d'une génération à une autre.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Elle aurait déjà commencé à réparer tous les dégâts d'Ennahdha et de Kaies Saied.
La Tunisie serait redevenu un pays où il fait bon vivre, où les investisseurs se bouculent, où l'administration redémarre, où les jeunes auraient de nouveau un espoir, dans un pays apaisé, sans histoires de ommi sissi "complots", idéologie de Mao et de panarabisme, etc.
ça, le Dictateur, il le sait.
Il sait qu'elle représente un danger pour son pouvoir personnel.
Il sait qu'elle le dépasse de 1000 années lumières sur tous les plans, surtout la communication, la modernité, l'efficience,l'organisation et la stabilité.
Donc, en bon dictateur, et pour que sa place au soleil continue sans que personne ne le fasse chier, il s'acharne sur la Dame ; "Patriote" dites vous ? "Ndhif" dites vous ? Un patriote et un ndhif ne s'acharne pas sur les gens compétents, patriotes et plus ndhaf que lui.
Tout se paie dans cette vie ; l'Histoire le jugera lui et ses déscendants.
Pas d'opinion.
Notre Roi est tout puissant.
On a le droit, et on peut avoir des arguments pour discuter ou rejet ses options, sa vision et son projet.
En revanche, criminaliser le travail de sa présidente en lui instruisant un procès oermanent, il y avait les barbus pour cela, et nous assustames au pire de leur part dans cette besogne sale.
Les juges ne sont pas des dieux, ils ont leurs options, leur vision des choses et pour les plus fins d'entre-eux leur vision du monde.
Cette persévérance est malsaine, elle salit la justice, le pouvoir, et donne à voir l'image d'une magistrature couchée, servile ou revanchard.
Il se pourrait qu'il y ait de tout cela à la fois.
Foutez la paix à cette femme, elle fait son travail et avec un courage difficile à trouver chez des hommes!